• Il est parfois difficile de suivre le jeune fils de millionnaire. Un coup, il est en larmes et en colère contre Léo qui vient de lever la main sur lui; le coup d'après, il veut le faire revenir dans le jeu. Alors que nombre de ses camarades verrait bien le leader des jeunes être définitivement exclu de l'aventure Secret Story, Fx s'est dit en faveur de la levée de la sanction. Difficile à suivre !

    Enfin pas tant que ça, quand on commence à penser en termes de stratégie. Ce que le candidat de 20 ans ne semble pas du tout perdre de vue, malgré la soirée karaoké qui battait son plein, hier soir. François-Xavier s'est dit prêt à pardonner à Léo, sans pour autant oublier son geste. "Je ne lui en veux pas, assure-t-il. Je le verrai à l'extérieur ». Mais, il y a aussi autre chose qui l'obnubile : le fait de se retrouver en infériorité numérique. "On ne sera jamais assez de garçons pour nominer les mêmes filles, craint-il. Il faut à tout prix que l'on fasse les choses bien". Et cela sous-entendrait le retour de Léo dans la maison des secrets ?


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  • Depuis l'élection du président Barack Obama, l'image exécrable des Etats-Unis dans le monde s'améliore. C'est la conclusion, prévisible, d'une étude menée dans 25 pays par l'institut de sondage américain Pew Research Center et publiée jeudi 23 juillet.

    L'étude révèle que la perception des Etats-Unis dans le monde est désormais aussi "positive" qu'au début des années 2000, c'est-à-dire avant le mandat de George W. Bush. Cette tendance, portée par la popularité de M. Obama, est particulièrement prononcée dans les pays européens où l'étude a été réalisée – Grande-Bretagne, France, Allemagne et Espagne.

    L'opinion française est celle qui perçoit le plus positivement les Etats-Unis, avec 75 % d'opinions favorables en 2009. L'Allemagne est le pays européen qui a le plus changé son regard sur les Etats-Unis, de 31 % d'opinions favorables en 2008 à 64 % aujourd'hui.

    Bien que modestement, l'image des Etats-Unis s'améliore dans une partie du monde musulman. Mais si l'Egypte, la Jordanie et le Liban se montrent un peu plus confiants envers la politique des Etats-Unis, "l'animosité reste très forte en Turquie, dans les territoires palestiniens et au Pakistan", précise l'étude. Israël est le seul pays où la confiance envers les Etats-Unis s'effondre, conséquence, selon les auteurs de l'étude, du discours du président américain au Caire, le 4 juin, au cours duquel Barack Obama avait appelé Tel-Aviv à stopper la colonisation en Cisjordanie.


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  • La Bourse de New York a bondi à son plus haut niveau depuis début novembre, jeudi 23 juillet, dopée par des résultats de sociétés et un indicateur immobilier meilleurs que prévu. Le Dow Jones a gagné 2,12 % et le Nasdaq 2,45 %.

    Le Dow Jones Industrial Average, qui s'était un peu replié la veille, a progressé de 188,03 points à 9 069,29 points, son plus haut niveau de clôture depuis le 5 novembre. Il n'avait plus franchi le seuil de 9 000 points depuis début janvier. Le Nasdaq, à dominante technologique, est lui monté de 47,22 points, à 1 973,60 points, alignant sa douzième séance de hausse consécutive. L'indice Standard & Poor's 500, à la composition plus large, s'est adjugé 2,33 % (22,22 points), à 976,29 points. "Ce que dit le marché, c'est que la reprise est là", a résumé Peter Cardillo, d'Avalon Partners.

    Sur le front des indicateurs, les reventes de logements anciens aux Etats-Unis ont augmenté plus que prévu en juin, de 3,6 % par rapport à mai, alimentant les espoirs de voir l'immobilier redémarrer après plus de deux ans de profonde crise. Le marché a surtout été confronté à une avalanche de résultats d'entreprises, ressortis en grande partie supérieurs aux attentes des analystes, dont deux membres du Dow Jones : le groupe diversifié 3M (+ 7,36 %) et l'opérateur téléphonique AT&T (+ 2,58 %).

    "On a maintenant tourné la page, a jugé Anthony Conroy, vendeur d'actions pour BNY ConvergEx Group. On a des bons résultats de sociétés, on a de bons indicateurs. Tous ceux qui étaient restés à l'écart veulent mettre de l'argent en jeu."


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  • L'ancien site de campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy est victime depuis plusieurs jours de plaisantins, et arrive ainsi en tête des résultats quand les internautes tapent l'expression "trou du cul du web" sur le moteur de recherche Google.

    www.sarkozy.fr, qui n'est plus utilisé, a subi ce que Google appelle un "Google Bombing", une technique qui permet aux concepteurs de sites web de faire "remonter des résultats inhabituels sur certaines requêtes", explique le géant américain dans un communiqué.

    "Dans ce cas précis, un grand nombre de webmestres ont utilisé l'expression en question pour pointer vers le site www.sarkozy.fr, faisant ainsi remonter ce site parmi les résultats de recherches liés à cette requête", ajoute-t-il.

    Interrogé par l'AFP, l'Elysée a souligné que le site était "dormant", sans autre précision.

    Le lien "va disparaître naturellement assez rapidement" du fait du manque de popularité du site, qui n'est plus actualisé, a déclaré à l'AFP une porte-parole de Google.

    "C'est quelque chose de très compliqué techniquement à mettre en oeuvre (...) Sur les milliards de pages indexées, c'est une infime minorité", a-t-elle souligné.

    Nicolas Sarkozy avait déjà été la cible d'une telle pratique il y a quelques années: quand on tapait son nom sur le moteur de recherche, le premier résultat qui apparaissait était la comédie "Iznogoud" de Patrick Braoudé, a rappelé à l'AFP un spécialiste en référencement, Jean-Pierre Caron.

    D'autres personnalités en ont été victimes, en France comme à l'étranger, à l'image de l'ancien président américain George W. Bush ou de l'actuel, Barack Obama.

    Lorsque l'on recherche par exemple l'expression "worst failure ever" (la pire erreur de tous les temps), le deuxième résultat cité est le site de la Maison Blanche.

    Dans son communiqué, Google dit "ne pas excuser cette pratique, ni aucune autre pratique visant à altérer l'intégrité de (ses) résultats de recherche". "Mais nous ne sommes pas plus enthousiasmés par l'idée de modifier manuellement nos résultats pour empêcher de telles informations d'apparaître", ajoute le premier moteur de recherches sur internet dans le monde.

    "Cette pratique malveillante du +Google Bombing+ est peut-être divertissante pour certains, mais en aucun cas leur démarche n'affecte la qualité générale de notre moteur de recherche", assure-t-il.


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  • Cent mille personnes ont été contaminées par le virus A(H1N1) de la grippe porcine la semaine dernière en Angleterre, soit environ deux fois plus qu'une semaine auparavant, et 63 d'entre elles sont en soins intensifs dans des hôpitaux, ont indiqué, jeudi 23 juillet, les autorités sanitaires.

    840 personnes souffrant de la grippe porcine sont hospitalisées, dont 63 en soins intensifs, a précisé le ministère de la santé. Ces chiffres ne valent que pour l'Angleterre, les autres régions britanniques devant publier de leur côté leurs propres données. Selon le dernier bilan pour le Royaume-Uni, 31 personnes ayant contracté le virus de la grippe porcine sont mortes depuis l'apparition de la maladie.

    Le principal conseiller médical du gouvernement, Liam Donaldson, a reconnu que l'augmentation du nombre de personnes contaminées était "important", mais il a souligné que la plupart des malades présentaient des symptômes légers.

    Ces nouveaux chiffres ont été rendus publics le jour où les autorités sanitaires anglaises ont annoncé la mise en place, inédite au monde selon le premier ministre Gordon Brown, d'une ligne téléphonique et d'un service sur Internet qui permettront aux malades de se procurer du Tamiflu sans consulter leur médecin.

    L'initiative est destinée à alléger la pression accrue sur le NHS (National Health Service, service de santé publique britannique), en particulier sur les médecins généralistes. Les autorités sanitaires s'attendent à recevoir plus de 200 000 appels par jour.

    De leur côté, deux influents archevêques de l'Eglise anglicane ont recommandé jeudi la suspension de l'usage du calice lors de la communion afin de limiter la propagation de la grippe A. Un évêque britannique avait déjà conseillé aux églises de ne plus mettre d'eau bénite dans les bénitiers.


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