• Eva Longoria Parker, qui est mariée au champion de basketball Tony Parker, a révélé qu'elle adorait être attachée pendant l'amour.

    Eva Longoria Parker a expliqué: "Ça ne me dérange absolument pas d'avoir les mains attachées par des foulards en soie. J'aime qu'un homme prenne les choses en main. Il y a quelque chose de très excitant dans la soumission."

    Dans l'enquête concernant La Meilleure Relation Sexuelle effectuée par le magazine Cosmopolitan, l'actrice Kirsten Dunst avait également évoqué ses expériences révélant qu'une fois elle avait fait l'amour dans une cabine d'essayage avec l'acteur Jake Gyllenhaal.

    Depuis quelques mois, Eva Longoria Parker et Kirsten Dunst ne sont plus les seules célébrités à évoquer sans tabous leurs vies sexuelles. Mel B, l'ancienne Spice Girl, a quant à elle révélé que son époux, le producteur Stephen Belafonte, était le seul homme avec qui elle partageait le même appétit sexuel."Je sais que je lui serai toujours fidèle car je ne me suis jamais retrouvée autant en phase avec quelqu'un. Mes autres amants arrivaient à être en phase avec moi pendant un moment mais pas tout le temps alors qu'avec Stephen, c'est toujours parfait. A vrai dire, je n'avais jamais rencontré quelqu'un ayant un plus grand appétit sexuel que moi.", a confié la star.

    Mel B a également confié que sa silhouette de rêve était sans doute le résultat de la régularité de ses relations sexuelles. Elle a expliqué: "En plus de mon entraînement sportif, je fais l'amour jusqu'à cinq fois par jour, ça a sans doute quelque chose à voir avec ça. Je dois bien admettre que je suis un peu nymphomane avec lui, c'est de l'exercice !"


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  • Un homme dont les proches ont déclaré qu'il se droguait en respirant des vapeurs d'essence a pris feu lundi après qu'un policier lui a tiré dessus avec son Taser pour l'arrêter alors que l'individu courait vers les policiers avec un bidon d'essence. 

    L'homme âgé de 36 ans identifié par sa famille comme s'appelant Ronald Mitchell était dans un état critique dans un hôpital de Perth après l'incident qui s'est déroulé à Warburton, une communauté aborigène située à 1.540km au nord-est de la capitale de l'Etat d'Australie-Occidentale.

    La police d'Australie-Occidentale a précisé que des agents s'étaient rendus sur place pour répondre à un appel en provenance de la maison d'où est sort Mitchell en courant avec un briquet et une grande bouteille de plastique contenant ce que les policiers pensaient être de l'essence. Quand Mitchell a refusé d'obéir à l'injonction d'un policiers pour qu'il s'arrête, un autre policier a alors utilisé son Taser pour l'immobiliser.

    L'homme s'est aussitôt transformé en torche humaine. Le policier l'a alors jeté à terre et tenté d'éteindre les flammes à mains nues, précise le communiqué de la police qui ajoute que ce policier souffre de brûlures aux mains et d'une coupure du cuir chevelu provoquée par des jets de pierre d'une jeune femme de 18 ans.

    Mitchell a été inculpé pour refus d'obtempérer et possession d'une substance toxique. La jeune femme âgée de 18 ans qui a jeté des pierres sur le policier a, elle, été inculpée pour agression sur agent. Deux autres personnes qui étaient également présentes dans la maison ont été inculpées pour possession de substance toxique.

    Le Taser, capable de paralyser pendant quelques secondes une personne grâce à une décharge électrique pouvant atteindre 50.000 volts, est utilisé par les forces de l'ordre, dans 43 pays aujourd'hui. AP


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  • Après moult tergiversations, Rihanna fera finalement la couverture d’un numéro ultérieur du plus célèbre magazine de mode féminin Vogue. Mais rassurez-vous Anna Wintour, la fameuse et mystérieuse rédactrice en chef du Vogue américain, n’est pas du genre à revenir sur ses décisions, du coup c’est l’édition italienne du mensuel qui honorera la chanteuse Barbadienne. En effet, au mois d’avril dernier, la prêtresse de la mode aurait longuement entretenu avec la jeune chanteuse sur une éventuelle collaboration pour un numéro du célèbre magazine de mode mais les photos du scandale de la belle brune ont mis Anna Wintour hors d’elle-même et ne voulait plus d’elle en couverture de son magazine. Après le tollé médiatique qu’a provoqué cette décision, l’édition italienne Vogue serait fortement intéressée à honorer l’ex-petite amie de Chris Brown. La décision a été prise par Franca Sozzani, celle qui dicte les tendances dans le milieu de la mode au pays de Silvio Berlusconi, et le photographe a été choisi (il s’agit de Steven Meisel). Au programme : Une série de photos extravagantes et très inspirées réalisé par celui qui depuis 20 ans réalise exclusivement les couvertures de l’édition italienne. En attendant d’avoir plus d’informations, admirez ces beaux clichés de Rihanna arborant sa toute nouvelle coupe de cheveux en plein cœur de New York City.


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  • Sept ans de retard. Lorsque le président John Kennedy annonce, le 25 mai 1961, l'ambition américaine de poser un homme sur la Lune avant la fin de la décennie et de l'en faire revenir sain et sauf, Objectif Lune est publié depuis plus de sept ans. Pour autant, aucun acte politique n'aurait pu être plus ambitieux que le lancement du programme Apollo. Car, lorsque Kennedy prononce son allocution devant le Congrès, aucune capsule américaine habitée n'a encore été, stricto sensu, mise sur orbite. Seul Alan Shepard a effectué, trois semaines auparavant, un vol suborbital de quinze minutes. Autant promettre de battre le record du monde du 100 mètres alors qu'on sait à peine marcher... et que l'adversaire, lui, trottine déjà.

    Pour les Etats-Unis, le début de l'année 1961 n'est pas bon. Mi-avril, c'est la débâcle de la tentative de débarquement de la baie des Cochons, à Cuba. Une semaine plus tôt, un Russe de 27 ans, Iouri Gagarine, était devenu le premier homme sur orbite. C'est sans doute cette accumulation de revers qui pousse le président américain à l'audace. S'agissant de la course à l'espace, ce n'est pas la première déconvenue : depuis la mise sur orbite du Spoutnik soviétique en octobre 1957, d'autres jalons ont été posés par l'URSS. En janvier 1959, la première sonde à survoler la Lune, Luna 1, est soviétique. En septembre, le premier objet fabriqué de main d'homme à toucher le sol lunaire, la sonde Luna 2, est soviétique. Un mois plus tard, c'est encore un appareil du programme Luna qui prend les premiers clichés de la face cachée de la Lune... De leur côté, les Américains pâtissent de fusées peu fiables. Entre décembre 1956 et septembre 1959, quatorze lancements de la fusée Vanguard sont tentés, généralement pour la mise sur orbite terrestre de petits satellites scientifiques : neuf sont des échecs.

    ÉCHECS AU LANCEMENT

    Les premiers pas des Etats-Unis vers la Lune ne sont pas moins compliqués. Le programme Ranger, destiné à envoyer des sondes sur une trajectoire de collision avec l'astre de nuit, montre à nouveau la faiblesse des lanceurs américains. Entre août 1961 et octobre 1962, les cinq tentatives se soldent par des échecs au lancement ou par des trajectoires fautives... Il faudra attendre 1964 pour que trois Ranger s'écrasent comme prévu sur la surface lunaire, non sans avoir envoyé auparavant de nombreux clichés.

    La suprématie de la technologie soviétique, qui prévaut jusqu'au début des années 1960, masque de profondes divergences au sommet de l'Union soviétique sur la nécessité des vols habités. En octobre 1963, Nikita Khrouchtchev dit même au New York Times que "pour le moment, [ils n'ont] pas l'intention d'envoyer des cosmonautes vers la Lune". Sans qu'on sache, encore aujourd'hui, si cette déclaration – sur laquelle il revient du bout des lèvres quelques jours plus tard – relevait de l'intoxication, du lapsus ou de l'aveu. Les dirigeants américains sont en tout cas sur les dents. A la NASA, on s'inquiète de l'année 1967, qui marque le demi-siècle de la révolution d'Octobre. La date serait idéale pour un alunissage soviétique. On s'inquiète d'autant plus de 1967 que 1966 a été particulièrement féconde pour les Soviétiques. Le 3 février, une sonde Luna se pose sur le sol lunaire, tandis que, deux mois plus tard, un autre engin, lancé depuis Baïkonour, devient le premier satellite de l'astre de nuit. L'URSS ne réalisera finalement pas de coup d'éclat lunaire pour le cinquantième anniversaire de la révolution. Mais les Etats-Unis déploreront, en janvier, la mort de trois astronautes du programme Apollo dans l'incendie d'une capsule, lors d'un exercice au sol.

    Pour les Etats-Unis, 1968 s'annonce aussi déplorable que 1961. L'offensive du Têt, en février, sonne le glas de l'engagement américain au Vietnam. Et, fin mars, un universitaire soviétique, Leonid Sedov, déclare simplement à Space Business Daily que l'URSS "pourrait envoyer un homme sur la Lune demain". Tous les éléments d'une belle frayeur sont en place. En septembre, des responsables du programme Apollo sont prévenus par des radioastronomes britanniques qui, le 19 septembre au petit matin, ont capté une conversation tenue, en russe, à bord du vaisseau Zond 5 – lancé vers la Lune quelques heures plus tôt !... La NASA se rend bien vite compte qu'il ne s'agit que d'un test de la chaîne de transmission et que Zond 5 est inhabité. Inhabité ? Pas complètement. A bord, une tortue, des plantes, quelques insectes et des cultures de bactéries. L'appareil est envoyé vers la Lune, il en fait le tour et revient sur Terre, où il est récupéré dans l'océan Indien. L'"équipage" est vivant. James Webb, l'administrateur de la NASA, déclarera qu'il s'agit là de "la plus importante démonstration spatiale faite par une nation à ce jour". A Washington, on est sûr que la prochaine fois sera la bonne : les Russes iront les premiers sur la Lune.

    La mission Apollo 8 est programmée en catastrophe pour la fin de l'année. Un équipage partira faire le tour de la Lune, sans s'y poser, et reviendra sur Terre. Avant le lancement, on ergote sur l'emport d'une caméra, qui va alourdir la capsule. Finalement, l'appareil est accepté à bord : il sera l'instrument de la victoire américaine. Les images tournées par les astronautes font, en ce Noël 1968, le tour du monde. Il reste bien sûr à tenir la promesse de Kennedy, mais les Etats-Unis ont d'ores et déjà gagné, fin 1968, la bataille de la Lune. Et, en dépit des apparences et d'un suspense savamment entretenu pendant près de dix ans, leurs adversaires n'ont sans doute jamais été en mesure de leur ravir cette victoire.

    Stéphane Foucart

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  • Dernière ligne droite pour Harry Potter !
    Le Prince de Sang mêlé emmène nos héros directement sur leur dernière quête pour une ultime aventure !
    Après avoir repoussé d’un an la sortie du sixième film, les producteurs ont décidé de ne pas nous faire attendre plus longtemps pour découvrir ce dernier volet.
    Depuis le 15 février déjà, les acteurs ont entamé le tournage de ce dyptique final tourné en même temps façon Pirates des Caraïbes.
    Pour les fans qui savent déjà ce qui les attend ou ceux qui veulent tout savoir, Ecran Large vous dit tout sur le septième et huitième film !

    Le chapitre final :
    Depuis mars 2008, la Warner a annoncé que le dernier tome serait pourtant divisé en deux parties. Une décision qui avait souvent été évoquée depuis le 4e tome, les livres gagnant en épaisseur. Les producteurs profitent de la franchise jusqu’au bout pour s’offrir une année supplémentaire, prétextant qu’ils auront plus de temps pour approfondir chaque élément.
    Les Reliques de la Mort est complètement différent des autres livres car il ne se passe plus à Poudlard suite aux évènements du Prince de Sang Mêlé. Harry, Hermione et Ron sont comme des fugitifs. Traqués, ils parcourent le monde à la recherche d’artefacts capables de détruire le pouvoir de Voldemort.


    Comme l’a défini Daniel Radcliffe, la première partie de ce dyptique sera comme un road movie. « Les gens ont eu tellement l’habitude de voir Harry Potter à Poudlard, et nous ne sommes tout simplement pas là de toute la première partie du film. Avec un peu de chance, cela amènera les gens à voir les films avec un œil neuf, parce que c’est tout simplement complètement différent quand vous n’êtes pas dans la même pièce tout le temps ».


    Les fans se sont longtemps interrogés où aurait lieu cette fameuse coupure entre les deux films. David Yates a révélé récemment qu’elle aurait lieu aux alentours du 23e chapitre. Harry, Ron et Hermione se font capturer par une bande de Rafleurs qui les emmènent au Manoir des Malefoy, nouveau QG de Voldemort. Un cliffangher qui n’est pas sans rappeler celui de la Communauté de l’Anneau quand les Hobbits Merry et Pippin se font capturer par les Uruk-haïs. Mais cette fin se révèle être un choix judicieux car leur enlèvement est situé juste après l’explication sur ces fameuses Reliques de la Mort, le temps de dévoiler tous les enjeux pour une deuxième partie pleine d’action et de rebondissements.



    Le casting :
    En plus du casting habituel, quatre nouveaux venus sont annoncés, et notamment deux acteurs anglais vus récemment dans le rock’n roll Good Morning England.

     

     


    Bill Nighy, tout d’abord, sera Rufus Scrimgeour, Ministre remplaçant du conservateur Cornélius Fudge. Même s’il essaie de rattraper les erreurs de son prédécesseur, il n’a de cesse de demander le soutien d'Harry Potter à sa cause.
    Longtemps attaché à l’univers Potter à cause de son amitié avec le réalisateur David Yates, Bill Nighy fait enfin faire une apparition dans le dernier film.

     

     


     
    Rhys Ifans, le colocataire fou de Notting Hill ou le DJ sex symbol de Good morning england, devrait incarner Xenophilius Lovegood, le père de Luna, l’écolière déjantée qui a fait son apparition dans l’Ordre du Phoenix. Ce sorcier journaliste dirige une sorte de « Canard enchainé » du monde des sorciers appelé le Chicaneur. C’est lui qui révèle à Harry et ses amis les mystérieuses origines de ces Reliques de la Mort.



    Jaimie Campbell Bower, jeune premier de Sweeney Todd, est Gellert Grindelwald : Le Maître du Mal ultime. Si Voldemort est souvent comparé à Dark Vador, alors Grindelwald en est l’Empereur. Ce sorcier avide de pouvoir a passé sa vie à chercher des objets magiques puissants.
    Il s’est aussi lié avec Dumbledore, sa parfaite Némésis, et a réussi à l’entraîner quelque temps à sa cause.
    Lors de la sortie du septième et dernier livre, JK Rowling avait révélé pendant une interview qui avait fait scandale que Gellert et Dumbledore avaient même eu une relation.
    David Yates sera t-il assez subversif pour faire plus que suggérer cet aspect du personnage ?

     


    Le look de l’acteur correspond en tout point à la description des livres : blond, les cheveux longs, il fait un parfait jeune démon au visage d'ange.
    A noter qu’après Robert Pattinson et Tom Felton, Jaimie est le troisième acteur à partager un rôle avac Twilight, l’autre saga magique du moment. Dans Tentation, il sera Caïus, l’un des chefs des vampires cachés en Italie.

     

     


    Rade Serbedzija, inénarrable russe invincible de Snatch devrait jouer un rôle plus mineur mais néanmoins important. Il sera Gregorovitch, vendeur de baguettes rival de Mr Olivander, vendeur de la baguette de Potter. Il détient notamment une puissante baguette qui devrait faire basculer le sort du monde…

    On pourra aussi compter sur le retour de Chris Rankin alias Percy Weasley, le frère de Ron travaillant pour le Ministère. Très effacé dans les films, il connaît une belle évolution dans les livres. Il trahit sa famille rebelle et préfère suivre le Ministère trop conservateur par rapport au retour de Voldemort. Le huitième et dernier film évoquera peut-être sa rédemption.



    Le tournage:
    Depuis le 15 février, le trio star a été aperçu à plusieurs reprises en tournage à l’extérieur.
    A Londres d’abord, avec une Emma Watson plus ravissante que jamais, sûrement pour la scène où ils s’enfuient du mariage d'un frêres Weasley.


     

    On a a pu aussi les apercevoir près d’une tente, quand ils sont perdus dans la Forêt, et aussi dans un cimetière brumeux quand Harry revient sur la tombe de ses parents à Godric’s Hollow. Une scène qui précède d’ailleurs l’un des chapitres les plus effrayants du dernier tome…

     



    Mais la grande scène qui a fait parler d’elle est celle où les trois héros creusent une tombe en plein jour pour y enterrer un ami proche. Les fans sauront rapidement de qui il s’agit. Cette scène est d’ailleurs reprise sur la couverture française du septième livre avec un Harry songeur au bord de la falaise.

     


    Enfin, en ce qui concerne LA fameuse scène du baiser entre Ron et Hermione, elle est déjà couchée sur pellicule. Les deux acteurs l’ont tourné récemment. « On se connaît depuis dix ans, c'est un peu comme embrasser ma sœur » a commenté Rupert Grint. « Nous étions déterminés à réussir du premier coup, mais ce fut un désastre, nous étions si embarrassés, on ne pouvait pas s'arrêter de rire.". Hélas il faudra sûrement devoir patienter jusqu’à Juillet 2011 pour juger de la performance de l’acteur…


    La musique:
    Les compositeurs se sont succédés sur la saga mais s’il n’y en avait qu’à retenir ce serait bien John Williams, grand compositeur des sagas Indiana Jones, Star Wars et créateur du thème d'Harry Potter
    Personne n’a oublié son thème au pipeau du Prisonnier d’Azakaban pour les moments entre Lupin et Harry, ni ses envolées lyriques quand Harry chevauche à dos d’hippogriffe.
    Il se murmure que le Maître pourrait revenir pour le dernier opus, histoire de clore la saga en beauté.

     



    D’ici novembre 2010, Les Reliques de la Mort auront le temps de faire parler d’elles.
    Le film est en tout cas bien parti pour réunir une dernière fois casting et musique dans un final digne de ce nom.


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