• Le Juste Prix est de retour sur TF1 ! Retrouvez Vincent Lagaf' avec toute sa bonne humeur et son humour, dans une version modernisée de ce jeu culte, pour votre plus grand plaisir !

    Chaque jour, trois candidats seront sélectionnés pour rejoindre Vincent Lagaf' au centre du plateau et se frotter aux cultissimes jeux du Juste Prix ! Au total, les candidats pourront s'essayer à plus de 30 épreuves différentes dont les incontournables Fakir, Mini-Golf, Tyrolien ou Coup de poing. A la clé, des cadeaux de rêve : scooters, voitures, home cinéma, matériel hi-fi, voyages…

    A l'issue de chaque émission, les 3 candidats tourneront la roue. Un seul d'entre eux pourra ensuite tenter de remporter la vitrine, à condition de trouver… Le Juste Prix !


    votre commentaire
  • Chacun des 10.000 spectateurs qui ont assisté hier soir au concert de Charles Aznavour à Carthage devaient se dire en rentrant « oui ! j'y ai été » tant le spectacle était mémorable. Il ne s'agissait pas seulement de retrouvailles nostalgiques, ce n'était pas seulement 90 minutes de belle musique et de chants merveilleux.

    <script type="text/javascript"></script>

     Non, ce que chacun retenait en premier, c'est d'avoir été pendant le concert en présence d'une légende vivante de la chanson. Charles Aznavour paraissait encore plus jeune qu'il y a 50 ans. Il a charmé un public tout acquis à son art et à son genre musical. Ceux qui reprenaient avec lui ses airs les plus connus  avaient tout au plus la trentaine. Mais les plus de 40 ans retrouvaient un peu leurs amours de jeunes en écoutant «  Mourir d'aimer », « Paris au mois d'août », «  Je n'ai rien oublié », «  Il faut savoir », « L'Amour c'est comme un jour », «  C'est triste Venise » et bien évidemment «  La Bohème » 

    Aznavour, comme à son habitude, a chanté l'amour, la tendresse, le temps qui passe et les passions déçues, mais il a choisi d'entamer son récital par une chanson lourde de significations « L'Immigrant » remonte aux premiers temps des grands mouvements migratoires du XXe siècle. Mais en chantant cet air dans le contexte actuel marqué par les drames de l'émigration clandestine et par les affronts multiples endurés par les ressortissants maghrébins et africains en France et en Europe d'une manière générale, Aznavour a dénoncé  à sa manière les conditions des immigrés sur le vieux continent.

    Les 10.000 spectateurs applaudissaient chaque couplet et au dernier refrain, la communion était déjà totale entre l'artiste et ce très nombreux public tout simplement émerveille. Judicieux choix qui assura d'emblée l'adhésion de ces nouveaux spectateurs orientaux devant lesquels Aznavour s'est produit la même semaine. Après le succès remporté à Beyrouth, Carthage fut l'arène du triomphe. Aznavour était éblouissant. Nous mesurons nos mots en utilisant ce qualificatif: sur les gradins de l'amphithéâtre de Carthage, on n'a enregistré aucun débordement indigne de la qualité artistique des tours de chant de Charles Aznavour ; les spectateurs étaient exemplaires et réagirent en vrais mélomanes aux merveilleuses chansons du récital.

    Le plaisir était visiblement réciproque, car Aznavour se donnait tout entier à ce public de qualité qu'il gratifia des airs qui lui sont les plus chers.

    Il ne le priva  pas non plus d'humour puisqu'à chaque courte pause, il commentait plaisamment un fait ou un geste quelconque.

    Vivre 90 minutes de familiarité et de convivialité avec un mythe de la chanson qui, un jour, fut élu "Artiste de variété du siècle" (c'était en 1988), c'est un privilège qu'Aznavour consentit hier soir au public tunisien qui l'a aimé, l'aime encore et l'aimera toujours.

    Puisse le monstre sacré revenir tous les ans pour lui chanter ses tubes favoris et tous les refrains inoubliables et éternellement actuels.

    Un souper en l'honneur de Charles Aznavour offert par le président du "Groupe Dar Assabah", M. Mohamed Sakher El Materi

     

    <script type="text/javascript"></script>

    En hommage à sa stature et à la soirée de bonheur qu'il a célébrée à Carthage, Charles Azanavour, a été hier soir l'invité d'honneur du président du "Groupe Dar Assabah", M. Mohamed Sakher El Materi, au restaurant "Le Café Vert" à la Goulette.

    <script type="text/javascript"></script>

    M. Aznavour était accompagné des siens. Le grand artiste était ravi par un tel accueil et en super forme malgré un long marathon sur scène.

    Une heure de glissade involontaire pour Aznavour

    <script type="text/javascript"></script> Le point noir de la soirée fut la scène burlesque qui imposa à Aznavour quelques moments de glissade involontaire. En effet, on arrosa d'eau la scène juste avant le spectacle et malgré les coups de raclette passés sur les planches, celles-ci mirent du temps pour sécher.

    <script type="text/javascript"></script>

     On n'eut l'idée de couvrir la scène à l'aide d'un tapis qu'avec un quart d'heure de retard. Cela donna du temps pour Aznavour afin d'ironiser sur la situation embarrassante où les organisateurs l'on mis plus d'une heure durant.

    TEL PERE TELLE FILLE



    votre commentaire
  • On l'a découverte vêtue d'une robe fleurie, la choucroute et le sourcil ébouriffés, mais avec une voix en or. Elle, vous vous en doutez, c'est Susan Boyle, la candidate révélée par Britain's Got Talent (la version anglaise d'Incroyable Talent).

    Celle qu'on surnommait "l'ange poilu" (si, si) a depuis été reprise en main par un producteur, et donc une armée de stylistes, maquilleurs, coiffeurs...

    Après une grosse déprime, puis une mise au vert, notre poilue de la chanson avait quelque peu disparu du devant de la scène. Que faisait-elle ? Elle travaillait d'arrache-pied afin de peaufiner son retour.

    Ledit retour a eu lieu aujourd'hui, lors d'une interview enregistrée pour le show américain Today, qui sera diffusé le 22 juillet prochain.

    Susan y est apparue métamorphosée ! Vêtue d'une robe violette très élégante, c'est surtout le visage de Susan qui a changé. Adieu bouclettes rebelles et sourcils broussailleux, place à un visage dégagé... et soigneusement maquillé.

    Interviewée par Meredith Viera sur ses changements de look, Susan confiera qu'il y en a bien eu un "léger". "Je me suis quelque peu améliorée", a t-elle déclaré.

    A propos de sa nouvelle notoriété, Susan dit : "Je passe du bon temps. C'est incroyable, indescriptible. Je ne veux pas que cela s'arrête".

    Il est vrai qu'avant cette émission, cette célibataire de 48 ans - qui n'a jamais connu l'amour - vivait recluse, avec ses chats. Aujourd'hui, elle s'est vue, d'après la presse américaine (?) offrir un rôle dans Ugly Betty, prépare un disque avec Simon Cowell (sous son label) et tout le monde se l'arrache... Comment regretter son ancienne vie.

    Si Susan n'a pas remporté la saison de Britain's Got Talent, finissant deuxième derrière le groupe Diversity. Son premier album est attendu - avec beaucoup d'impatience - avant Noël.


    votre commentaire
  • Disparition énigmatique du vol Paris-Rio d'Air France, crash d'un Airbus de Yemenia Airlines au large des Comores, 168 morts en Iran. Trois catastrophes aériennes en moins de six semaines... Cette fois c'est sûr, la loi des séries a encore frappé; c'est reparti pour un été noir comme celui de 2005, quand la planète avait assisté avec horreur à l'incroyable série de cinq crashs meurtriers pour le seul mois d'août.  Les plus prévenants ont déjà annulé leurs déplacements estivaux en avion au profit du train ou du bateau, espérant «laisser passer l'orage» et attendre la fin de la série noire. Faut-il vraiment éviter de prendre l'avion cet été?

    Selon les chiffres officiels de l'Association internationale du transport aérien (IATA), la moyenne sur les dix dernières années se situe autour d'un accident pour un million de vols. Cette statistique ne prend en compte que les avions de ligne construits dans les pays occidentaux et les accidents ayant entraîné une destruction partielle ou totale de la carlingue de l'appareil. En recoupant avec d'autres statistiques, on arrive plutôt à une moyenne autour d'un accident tous les 500.000 vols.

    Probabilités

    A la lecture de ces chiffres, il semble en effet très peu probable que cinq crashs majeurs se produisent en 22 jours, comme en août 2005. Les études portant sur la probabilité des crashes selon le jour de l'année ou le mois ont été abandonnées depuis les années 1990, car on s'est vite rendu compte qu'elles étaient inutiles. Il n'y a pas de mois ou de jour de l'année plus propice aux accidents. Tout juste peut on affirmer qu'il y a légèrement plus de crashs en été: mais comme le trafic est plus intense, cela ne change rien à la probabilité.

    En fait, si l'on accepte le chiffre d'un crash tous les 500.000 vols, et qu'on arrondit le nombre de vols commerciaux par jour dans le monde à 20.000, la probabilité pour que l'événement «5 accidents d'avions en 22 jours» se réalise est de... 1/10. Une probabilité faible mais loin d'être impossible.

    D'un point de vue mathématique donc, les séries noires s'expliquent parfaitement. En revanche, nulle trace dans les livres de science d'une quelconque «loi des séries». Pourquoi alors avons-nous l'impression que les événements arrivent par séries? La première réponse se retrouve dans le calcul ci-dessus: l'homme a une mauvaise connaissance innée des probabilités. Un exemple est souvent utilisé pour illustrer ce constat: quand on demande à une classe de 23 élèves la probabilité pour que deux d'entre eux au moins aient la même date de naissance, les réponses tournent en général autour d'une chance sur cinq. Et pourtant, la bonne réponse est une chance sur deux.

    Un résultat qui prouve que les probabilités sont souvent contre-intuitives. Cette mauvaise compréhension des statistiques nous pousse à chercher des explications irrationnelles à des évènements certes peu probables mais parfaitement «normaux».

    L'Homme a appris à décoder son environnement et à déterminer, consciemment ou non, des corrélations significatives. C'est même un des traits qui lui a permis de survivre à la sélection naturelle. L'adaptation à des événements à occurrence régulière a façonné nos civilisations (les marées, les cycles du soleil et de la lune etc.), d'où l'importance de noter et d'essayer d'expliquer ceux qui sortent de l'ordinaire et des cycles connus.

    Psychologie

    La psychologie explique aussi notre croyance en la loi des séries. La tendance à la validation subjective, qui consiste à valider une information parce qu'on la trouve signifiante pour soi-même, est assez commune. Ce concept, additionné à celui de la mémoire sélective, explique pour beaucoup l'impression de coïncidence chez l'Homme: nous avons tendance à nous souvenir seulement des événements qui confirment la théorie en laquelle nous croyons et à oublier les contres vérifications, même si elles sont plus nombreuses. Les événements traumatiques marquent plus les esprits, d'où l'expression «un malheur n'arrive jamais seul.» De même, on se souvient longtemps d'un crash d'avion vu à la télévision, mais on ne pense jamais aux milliers de vols quotidiens qui se déroulent sans incidents.

    La médiatisation joue évidemment un grand rôle dans notre perception de la fréquence des accidents d'avion: les crashs d'avion sont moins nombreux qu'il y a trente ans mais beaucoup plus médiatisés. Il y a fort à parier que si tous les accidents de voiture étaient médiatisés à la manière des crashs d'avion, avec envoyés spéciaux et émissions spéciales en direct, beaucoup se poseraient plus de questions sur la sécurité routière.

    Si la loi des séries n'existe pas, on peut en revanche parler de séries noires, un enchaînement d'événements peu probable mais qui n'a pas de signification ou d'origine particulière. Pas plus dans le domaine des catastrophes aériennes que celui des décès de personnalités. Et pourtant, là aussi, beaucoup ont l'impression que 2009 n'est pas une année comme les autres: Michael Jackson, Farah Fawcett, Pina Bausch, Karl Malden, Robert Louis-Dreyfus, Omar Bongo, Alain Bashung, David Carradine..


    votre commentaire
  • Les autorités de Ramadi, dans l'ouest de l'Irak, ont décrété mardi l'état d'urgence et interdit la circulation des véhicules après un double attentat, précédé lundi par une explosion qui a tué deux policiers.

    Une voiture piégée conduite par un kamikaze et une bombe placée dans un véhicule stationné ont explosé quasi simultanément mardi près d'un ensemble de restaurants de Ramadi, capitale de la province occidentale d'Anbar, faisant trois morts et 13 blessés, a annoncé la police. Une autre source policière a fait état d'un mort et 18 blessés.

    "L'état d'urgence a été déclaré à Ramadi en raison de renseignements sur la présence en ville d'un troisième véhicule chargé d'explosifs", a déclaré un policier sous le sceau de l'anonymat.

    Cette mesure exceptionnelle inclut le déploiement de policiers supplémentaires et le renforcement des contrôles de sécurité. L'interdiction des véhicules a également été décrétée à Falloudja, deuxième ville de la province.

    Les devantures des restaurants ont été lourdement endommagées par les explosions et du sang était répandu sur le sol, a dit un témoin. Les rues se vidaient et les boutiques ont fermé leurs grilles.

    La province d'Anbar était jadis un bastion des groupes islamistes, dont Al Qaïda, mais le soulèvement des chefs tribaux sunnites contre l'insurrection, en 2006, a permis de mettre les activistes en déroute. Elle jouit depuis lors d'un calme relatif, mais a connu ces derniers mois un regain de violences.

    Lundi, deux policiers ont été tués par l'explosion d'une voiture piégée près d'un poste de contrôle à Ramadi. La semaine dernière, une bombe dissimulée au domicile d'un capitaine de la police a tué deux enfants à Falloudja.


    votre commentaire