• Le roi du Maroc s'est rendu place Jamaâ el-Fna, deux jours après l'attentat qui a fait 16 morts.

    La visite est symbolique. Mohammed VI, le roi du Maroc, est arrivé samedi après-midi par avion à Marrakech. Il s'est aussitôt rendu sur la place Jamâa el-Fna, visée jeudi par un attentat meurtrier qui a fait 16 morts dont sept Français.

     

    Un quart d'heure place Jamaâ el-Fna

    Le souverain, sous haute escorte, est d'abord allé sur les lieux de l'attentat. Il a fait une halte d'une quinzaine de minutes sur la place Jamâa el-Fna. Puis il s'est rendu devant le café Argana, qui a été soufflé par l'explosion d'une bombe commandée à distance, et où des couronnes et des bouquets de fleurs ont été déposés samedi matin, en hommage aux victimes.

    Plusieurs centaines de personnes, surtout des femmes et des enfants, étaient sur la place, brandissant des drapeaux marocains et des photos du roi. "Vive le roi", ont lancé des groupes de badauds. De nombreux Marocains criaient également un slogan : "Ne touche pas à mon pays", en réponse au terrorisme. "C'est pas un Marocain qui a fait ces choses-là !", assure un commerçant.

     

    Visite aux blessés

    Le roi s'est également rendu au chevet des blessés. Il est ainsi allé à l'hôpital Ibn-Tofail, où se trouvent selon l'agence marocaine Map sept blessés, deux Marocains et cinq Français, ainsi qu'à l'hôpital militaire, où deux Néerlandais, deux Français et un Marocain reçoivent des soins. L'ambassadeur de France devait accompagner Mohammed VI dans cette étape.


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  • Kate Middleton, une mariée de toute beauté dès son arrivée

    On devine dès son arrivée en voiture que la mariée est sublime sous son voile.Le 29 avril 2011 restera un jour de grand bonheur pour le Royaume Uni grâce aux deux tourtereaux que sont Kate Middleton et le Prince William...

    Cheveux longs magnifiquement coiffés et surmontés d'un diadème de diamants, teint de pêche aux joues roses, sourire ultra bright d'une Kate qui mord la vie à pleines dents, la beauté de la princesse est radieuse !

    Nous vous avons sélectionné avec amour les plus jolies photos de cette reine de beauté, la star du jour, princesse Catherine !

    La future mariée rayonne sous son voile

    Les cheveux de Kate, boucles et diamants

    Un regard de caractère parfaitement maquillé

     

     

    plurielles.fr


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  • Certainement trop obnubilé par la double confrontation contre le FC Barcelone en ligue des champions, le Real Madrid s'est piteusement incliné contre le Real Saragosse (2-3), samedi soir, en ouverture de la 34e journée. Sans âme, et pauvres dans le jeu, les Merengue propulsent un peu plus le Barça sur la voie du titre. Les Catalans sont attendus dans la soirée à Saint-Sébastien, contre la Real Sociedad.

    Kaka et  les Merengue ont certainement dit adieu au titre. (Reuters)
     Kaka et les Merengue ont certainement dit adieu au titre. (Reuters)

    Deux visages, une vérité. Malgré une équipe largement remaniée, ce Real Madrid version Liga n'a pas fait mieux que son alter ego dédié à l'Europe. Trois jours après la défaite contre le Barça en demi-finale aller de la Ligue des champions, et trois jours avant le match retour, les Merengue ont fait une croix pratiquement définitive sur le titre de champion en s'inclinant ce samedi face au Real Saragosse (2-3). C'est la troisième défaite à Bernabeu en l'espace d'un mois pour ce Real qui patine, et qui laisse au Barça l'occasion de prendre onze points d'avance à quatre journées de la fin, en cas de victoire contre la Real Sociedad (20h).

    En laissant Lassana Diarra, Xabi Alonso, Raul Albiol et Cristiano Ronaldo en tribunes, Mesut Özil, Angel di Maria et Marcelo sur le banc, José Mourinho avait clairement annoncé la couleur. Mais le technicien portugais espérait sans doute voir son équipe s'amuser contre Saragosse, comme elle l'avait une semaine plus tôt à Mestalla contre le FC Valence (6-3). Il n'en a rien été. Cette fois la mayonnaise n'a pas vraiment pris entre Benzema, Higuain et Kaka. Il faut dire que le schéma madrilène était difficilement lisible pour cette rencontre. On a souvent vu le Français dézoner en première période, et Higuain déserter son flanc droit. Pour un piètre résultat : une seule occasion, pour Kakà (18e), durant 45 premières minutes d'une indigence rarement vue à Madrid cette saison. Hormis peut-être contre le Barça il y a trois jours...

    Et c'est finalement en toute logiquement que Saragosse a fini par ouvrir le score, juste avant la pause. Sur un long ballon en profondeur, Lafita profite de la grosse bourde de Casillas, et de la frappe manquée de son coéquipier Uche, pour pousser le ballon au fond des filets (0-1, 41e). Dès la reprise, le Real affiche enfin un peu d'envie, mais se fait sanctionner en contre. Carvalho concède un penalty, transformé par Gabi (0-2, 53e). Avec les entrées de Di Maria et Marcelo aux places des transparents Canales et Nacho, puis celle d'Özil pour Granero, les Madrilènes relèvent un peu la tête. Celle de Sergio Ramos permet de réduire l'écart (1-2, 62e), mais Lafita profite des espaces laissées dans leur dos par les défenseurs du Real pour s'en aller tuer le match (1-3, 77e).

    Merengue le plus actif, et de loin, Karim Benzema, après avoir frappé la barre un peu plus tôt (68e), sera récompensé par son 12e but de la saison en Liga, d'une frappe croisée sur un bon décalage d'Higuain (2-3, 85e). On se demande toujours pourquoi Mourinho se passe du Français pour affronter le Barça. Toujours est-il que, pour le Real, la rencontre va se terminer par une nouvelle expulsion. Celle de Carvalho (87e), averti à deux reprises. Preuve que ce n'était pas la semaine du Real.


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  • Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a fait part samedi au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, de la «préoccupation» de son pays face à l'accord de réconciliation entre l'Autorité palestinienne et les islamistes du Hamas.

    Lors d'une conversation téléphonique, M. Barak a affirmé à son interlocuteur que le «Hamas est une organisation terroriste qui tire des roquettes et des missiles» contre Israël, selon un communiqué officiel.

    Il a rappelé, dans ce contexte, la mort d'un adolescent israélien grièvement blessé le 7 avril par l'explosion d'un missile anti-char contre un bus scolaire tiré par le bras armé du Hamas au pouvoir à Gaza.

    Cette attaque avait déclenché une nouvelle spirale de violences, la plus meurtrière depuis l'offensive israélienne en décembre 2008-janvier 2009 qui avait coûté la vie à 1400 Palestiniens.

     

    «Nous attendons des dirigeants du monde entier et en particulier de ceux de l'ONU qu'ils mettent comme condition à toute coopération avec un gouvernement d'union palestinien - dans la mesure où il verra le jour - qu'il se plie aux conditions du Quartette» pour le Proche-Orient, a ajouté M. Barak.

    Le Quartette (États-Unis, Union européenne, Russie, ONU) a fixé plusieurs conditions jusqu'ici refusées par le Hamas: cessation des violences, reconnaissance des accords signés précédemment par Israël et l'OLP, et reconnaissance du droit à exister d'Israël.

    L'accord de réconciliation interpalestinien conclu mercredi, à la surprise générale, entre le Hamas et le mouvement Fatah du président Mahmoud Abbas ne mentionne pas ces principes.

    La Feuille de route, élaborée par le Quartette en 2003, exige en outre le gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-est, ce qu'Israël n'a jamais accepté.

    L'entretien de M. Barak avec le patron de l'ONU s'inscrit dans la campagne lancée par le gouvernement israélien pour contrer toute reconnaissance internationale d'un gouvernement d'union palestinien incluant le Hamas qui ne reconnaît pas le droit de l'État d'Israël à l'existence.


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  • Rome n'avait plus vécu pareil évènement depuis l'élection de Benoît XVI. Des centaines de milliers de chrétiens du monde entier vont assister ce dimanche à une cérémonie que le Vatican a voulu "simple".

    Peu à peu, en provenance de tous les coins du monde, les pélerins venus à Rome pour la béatification de Jean-Paul II se pressent sur le parvis de la basilique St. Pierre. Des épisodes de la vie de celui qui sera demain bienheureux sont diffusés en permanence sur des écrans géants.


    La béatification, contrairement à l'enterrement de Jean-Paul II est vécu par les Chrétiens comme un événement heureux. Une manière de se souvenir de lui sans affliction, dans la sérénité.

    Au Circus Maximus, les techniciens s'affairent aux derniers préparatifs de la veillée de prière qui aura lieu ce samedi soir. Ce sera la première des cérémonies de la béatification de Jean-Paul II. Des centaines de milliers de personnes sont attendues pour y assister. 

    Une béatification rapide

    En entrant dans le panthéon de l'Eglise, Jean Paul II rejoindra les nombreux papes qui ont été fait bienheureux avant lui. Mais sa béatification se distingue tout d'abord par sa rapidité. Cela ne fait que 6 ans que Jean Paul II est décédé. Mais dès l'annonce de sa disparition, ils étaient nombreux à demander la béatification de ce pape jugé exceptionnel.

    Un gros business

    Un grand moment de ferveur pour les chrétiens. Mais aussi une occasion inespérée pour les commerçants. Beaucoup se frottent les mains de voir débarquer des centaines de milliers de pélerins qui voudront sans doute ramener un souvenir de la béatification de Jean Paul II. 

    RTBF

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