• Si on ne sait toujours pas qui dessinera la robe de mariée de Kate Middleton, on ens ait plus sur les tenues des invités !

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    J - 1 et encore quelques heures de patience avant de découvrir la robe de mariée de Kate Middleton... Mais en attendant, on en sait un peu plus sur les choix vestimentaires des invités. Eh oui pas question d'arriver habillée en souillon !

     

    Le créateur british Christopher Kane aura le privilège d'habiller deux invitées de marque : Samantha Cameron, l'épouse du premier ministre anglais David Cameron mais aussi Alexandra Shulman, patronne du Vogue anglais, celle qui avait lancé la rumeur selon laquelle Sarah Burton pour Alexander Mc Queen pourrait créer la robe de Kate.

     

    Toujours du côté des invitées, on sait que Anya Hindmarch portera une robe Emilia Wickstead, et que Victoria Beckham portera l'une de ses créations... tandis que la rédactrice en chef du Harper's Bazaar's Sara Parker-Bowles, portera une robe Osman. 

     

    Roland Mouret, ami de Victoria Beckham habillera la vicomtesse Serena Linley et Camilla Parker Bowles, Duchesse de Cornouailles, portera pour cette occasion une robe signée Anna Valentine pour la maison Robinson Valentine qui avait déjà dessiné sa robe de mariée.


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  • Comme chaque année depuis 1998, le Time Magazine dresse la liste des 100 personnalités les plus influentes de la planète. En 2011 et pour la première fois, c’est un Africain qui prend la tête d’un classement qui témoigne de la puissance du Net.

    Pendant la révolte égyptienne fin janvier, Waël Ghonim est passé du statut d’ingénieur anonyme à celui de leader de la révolution egyptienne en seulement quelques jours. Le responsable de Google pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient a mené le mouvement de contestation égyptien à partir de ses comptes Facebook et Twitter, grâce auxquels il administrait des pages de soutiens aux cyber-dissidents emprisonnés ou battus à mort par des policiers du régime d’Hosni Moubarak. Il avait été interpellé à son tour le 27 janvier dernier et libéré douze jours plus tard. Lors d’une interview télévisée accordée à la chaîne égyptienne Dream 2, il s’effondre en larmes à la vue des images de jeunes Egyptiens tués lors de la répression des manifestations. Dès le lendemain, il est accueilli en héros sur la place Tahrir et déclare : « J’aime à appeler ça la révolution Facebook mais après avoir vu les gens ici, je dirais que c’est la révolution du peuple égyptien. C’est formidable ». Son rôle dans la révolution égyptienne relève surtout du symbole, puisque des centaines d’autres manifestants ont également connu la prison mais son apparition au sommet du classement du magazine américain fait de lui une icône africaine.

    La palme aux révolutionnaires

    Au total, six personnalités du continent apparaissent dans le classement. Ils étaient cinq en 2009 et deux en 2010. Le gouverneur de la banque centrale nigériane, Lamido Sanusi, occupe la onzième place devant Fathi Terbil. L’avocat libyen, pionnier de la révolte libyenne née à Benghazi, est lui classé 26e. Du côté du pouvoir, le fils du dirigeant Mouammar Kadhafi, Saïf al-Islam arrive au 47e rang des personnalités les plus influentes du monde. Autre figure du "printemps arabe", le rappeur tunisien El Général, qui est l’auteur de la chanson Rais Lebled ("Le chef du pays" en arabe) qui a accompagné la révolution tunisienne et que les Égyptiens ont repris à leur compte. Le classement 2011 fait ainsi la part belle aux leaders des révolutions arabes. Enfin, en queue de peloton, figure l’économiste sénégalaise Bineta Diop. La seule femme issue du continent africain dans ce classement occupe la 98e place.

    Le Net, terreau d’influence

    La cyber-dissidence, le rôle des réseaux sociaux dans les révolutions arabes et, encore plus récemment, dans la crise ivoirienne ont été largement commentés par la presse et les spécialistes du genre. Le classement du Time Magazine fait également écho à ce phénomène. Trois individus issus du monde d’Internet apparaissent parmi les dix personnalités les plus influentes du monde en 2011. En plus de Waël Ghonim sur la plus haute marche du podium, Mark Zuckerberg, le créateur et dirigeant de Facebook occupe la sixième place du classement. Enfin, Julian Assange, éditeur et porte-parole de site Wikileaks arrive en neuvième position.


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  • Le régime libyen a annoncé que ses troupes allaient se retrirer de la ville rebelle assiégée de Misrata. Selon le vice-ministre des affaires étrangères, Khaled Kaaim, l'armée est incapable de venir à bout des rebelles en raison des raids de l'OTAN. Tripoli a donc décidé de confier aux tribus loyalistes de la région la mission de mettre fin au conflit dans cette ville par le biais de négociations ou par la force.

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    L'annonce par le régime de la mobilisation d'habitants des villes environnantes, comme Bani Walid ou Zliten, fiefs de la tribu des Werfella, vise semble-t-il à compliquer la tâche de l'OTAN en impliquant ces "civils". Elle ne devrait cependant pas apporter de changement majeur sur le front, car une grande partie d'entre eux y combattrait déjà, sous la bannière de l'"armée populaire" composée de milices de "volontaires".

     

    Un char de l'armée de Mouammar Kadhafi détruit à Misrata.

    Un char de l'armée de Mouammar Kadhafi détruit à Misrata. AP/STR

    Les rebelles annoncent la libération de Misrata. D'intenses combats se sont néanmoins déroulés samedi matin dans la troisième ville de Libye, faisant au moins dix morts, selon un responsable de l'hôpital de la ville. Un porte-parole des rebelles a parallèlement annoncé que la ville portuaire, assiégée depuis près de deux mois, avait été libérée. Cette annonce n'a pas pu être confirmée de source indépendante, mais des soldats loyalistes capturés par les insurgés avaient indiqué samedi matin qu'ils avaient reçu l'ordre de se retirer de la troisième ville de Libye.

    "Misrata est libre, les rebelles ont gagné. Certains soldats des forces de Kadhafi ont été tués et les autres sont en fuite", a déclaré le porte-parole, Gemal Salem, joint au téléphone par Reuters. Il a ajouté que les forces fidèles au Guide libyen restaient aux abords de Misrata d'où elles pourraient reprendre leurs bombardements. Les rebelles, a-t-il précisé, passent actuellement au peigne fin la ville et débarrassent les rues de leurs débris. Avant de partir, les forces de Kadhafi, dit-il, ont dissimulé des charges explosives dans des corps, des véhicules et des habitations.

     

    Un soldat pro-Kadhafi se fait soigner à l'hôpital de Misrata,  samedi.

    Un soldat pro-Kadhafi se fait soigner à l'hôpital de Misrata, samedi.REUTERS/YANNIS BEHRAKIS

    Situation humanitaire critique. Misrata est la dernière grande ville tenue par l'insurrection à l'Ouest. Elle est assiégée depuis près de deux mois et la situation humanitaire y est catastrophique. On estime que le siège de cette ville de Tripolitaine devenue le symbole de la résistance aux forces de Mouammar Kadhafi s'est soldé par des centaines de morts parmi une population civile affamée.

    En fin de semaine, les rebelles semblaient regagner du terrain dans la ville. Vendredi, les insurgés avaient annoncé avoir repris le contrôle d'un important immeuble situé rue de Tripoli, principale artère qui relie le centre aux quartiers situés au sud. Ce bâtiment qui abritait auparavant les services d'une compagnie d'assurance avait été investi par des snipers kadhafistes dont les tirs limitaient grandement les possibilités de déplacement des insurgés au sol.

    Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a souligné que la situation humanitaire se dégradait à Misrata où l'accès à l'eau et les soins médicaux sont problématiques. Un navire affrété par l'OIM est arrivé samedi à Misrata avec 160 tonnes d'aide humanitaire (nourriture, matériel médical, tentes) et devait quitter la ville pour Benghazi dans l'après-midi, en évacuant un millier de réfugiés étrangers, notamment Nigériens. L'OIM a déjà évacué de Misrata plus de 3 100 réfugiés de 21 nationalités.

     

    Les autorités libyennes ont guidé les journalistes vers ce  qu'elles assurent être le lieu de Tripoli frappé par les forces armées  occidentales.

    Les autorités libyennes ont guidé les journalistes vers ce qu'elles assurent être le lieu de Tripoli frappé par les forces armées occidentales. AFP/JOSEPH EID

    Frappes de la coalition à Tripoli. À Tripoli, capitale fermement tenue par Kadhafi, les avions de la coalition internationale ont touché, vendredi soir, une cible proche du centre de commandement de Kadhafi, situé dans le quartier de Bab al Azizia. Selon le gouvernement libyen, ces frappes ont fait trois morts.

    Selon l'agence Reuters, deux bombes de l'OTAN ont touché "ce qui ressemble à bunker", traversant le sol, puis une couche de béton renforcé. Le porte-parole du gouvernement libyen affirmé que l'endroit n'était plus utilisé.

    En visite vendredi à Benghazi, le sénateur américain John McCain, adversaire républicain de Barack Obama à l'élection présidentielle de 2008, a appelé Washington a se lancer plus franchement dans la bataille et à se servir d'avions de basse altitude, conçus pour attaquer des troupes au sol. L'amiral Mike Mullen, chef d'état-major de l'armée américaine, a reconnu de son côté que le conflit se dirigeait vers une impasse.

     

    Un drône américain Predator.

    Un drône américain Predator.REUTERS/POOL

    Premiers tirs des drônes américains. Le ministère de la défense a annoncé que des drones américains avaient procédé samedi à des frappes en Libye pour la première fois depuis le début du conflit.
    "Les premières frappes d'un Predator s'est déroulé en Libye samedi en début d'après-midi en heure locale", a indiqué un porte-parole du Pentagone. Les Predator sont un type de drone, des avions sans pilote guidés à partir du sol. Ces avions sans pilote sont des engins très endurants capables d'emporter deux missiles ou deux bombes de 125 kilos.

    "Ce qu'ils apporteront d'unique, c'est la capacité de voler plus bas et donc d'avoir une meilleure visibilité sur des cibles précises, maintenant qu'elles (les forces loyales au colonel Kadhafi) ont commencé à s'enterrer dans des positions défensives", avait expliqué jeudi le vice chef d'état-major interarmées, le général James Cartwright, précisant qu'ils étaient "parfaitement adaptés" aux zones urbaines.


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  • Des dizaines de milliers de Syriens en deuil enterraient leurs morts samedi au lendemain d'une répression féroce d'imposantes manifestations hostiles au régime, qui a coûté la vie à plus de 80 personnes et suscité l'indignation de la communauté internationale.

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    Les obsèques devaient être suivies d'une manifestation "gigantesque" contre le pouvoir, a indiqué un militant des droits de l'Homme sous le couvert de l'anonymat. Mais des "francs-tireurs" postés sur des immeubles et les forces de police auraient fait au moins onze morts parmi les participants. Cinq personnes auraient été tuées par balle dans la région de Deraa par les forces de sécurité, cinq à Douma (à 15 km au nord de Damas) par des tireurs embusqués sur des immeubles au passage du cortège funèbre et une à Damas.

    Deux députés, Nasser Hariri et Khalil Rifaï, ont affirmé en direct à la télévision al-Jazira avoir démissonné du Parlement pour protester contre la répression sanglante des manifestations.

     

    La journée du "Vendredi saint" - appelée ainsi par des groupes de l'opposition - a été l'une des plus sanglantes depuis le début du mouvement de contestation sans précédent le 15 mars et a vu une mobilisation inédite des protestataires à travers le pays. Les forces de sécurité ont ouvert le feu pour disperser les dizaines de milliers de manifestants qui réclamaient la chute du régime de Bachar el-Assad, le gouvernement ayant mis en garde contre toute manifestation organisée sans autorisation deux jours avant l'annonce de l'abrogation de l'état d'urgence.

     

    MOSCOU DEMANDE DES RÉFORMES

    Au moins 82 manifestants ont été tués et des centaines blessés, dont des enfants et des personnes âgées, selon des militants des droits de l'Homme qui ont averti que le bilan risquait de s'alourdir. La journée la plus sanglante jusque-là avait été le 23 mars à Deraa où plus de 100 personnes avaient péri. De Washington à Bruxelles, en passant par l'ONU, les Occidentaux ont exprimé leur indignation. Le président américain Barack Obama a directement accusé le président syrien de chercher l'aide de Téhéran afin de perpétrer cette répression.

     

    Le corps d'un manifestant à l'hôpital de Deraa, vendredi (photo  amateur).

    Le corps d'un manifestant à l'hôpital de Deraa, vendredi (photo amateur).Reuters/REUTERS TV

    La Russie a à son tour appelé samedi à une accélération des réformes en Syrie, pays avec lequel elle entretient de longue date des liens étroits. Moscou "s'inquiète de l'intensification des tensions et des signes de confrontation qui cause des souffrances à des personnes innocentes", écrit le ministère des affaires étrangères russe dans un communiqué. "Nous sommes fermement convaincus que seuls un dialogue constructif et une accélération des réformes politiques, sociales et économiques de grande ampleur telles qu'exposées par la direction syrienne peuvent permettre un développement stable et démocratique", ajoute le ministère. La Syrie, qui était le principal allié de l'ex-Union soviétique au Proche-Orient, reste un interlocuteur privilégié de la Russie dans la région, et continue d'acheter l'essentiel de ses armements à ce pays.

    Le ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, a lui aussi condamné samedi "la répression aveugle et brutale" et appelé les autorités syriennes "à renoncer à l'usage de la violence".

    "MASSACRE TERRIFIANT"

    "Les forces de sécurité ont commis au 39e jour de la révolution bénie un massacre terrifiant contre le peuple héroïque syrien qui a manifesté pacifiquement pour obtenir ses droits légitimes à la liberté et la justice", écrit le Comité des martyrs de la révolution du 15 mars. "Des dizaines de blessés sont dans un état critique". Selon ce groupe, c'est dans la localité d'Ezreh que le bilan a été le plus lourd : 21 morts. Dans la province de Damas et la province voisine appelée Rif, 41 personnes ont péri. Un bilan lourd également à Homs (centre) avec 16 morts.

    Cette répression sanglante survient malgré la levée de l'état d'urgence en vigueur dans le pays depuis l'arrivée au pouvoir du parti Baas en mars 1963, qui interdisait les manifestations, et l'abolition des tribunaux d'exception. Mais pour l'opposition syrienne, ces mesures sont insuffisantes.


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  • Elève ingénieur parisien de 18 ans, Kanneti Sae Han, champion de France de Rubik's Cube 2010, a conservé son titre avec un nouveau record, une moyenne de 10.22 secondes pour un cube de 3x3x3, épreuve phare, ont annoncé samedi les organisateurs de la compétition qui s'est déroulée à Paris.

    Kanneti Sae Han a créé deux fois la surprise en surpassant de 9 secondes l'actuel champion d'Europe dans cette même épreuve.

    Edouard Chambon, un ingénieur de 25 ans, originaire de Valence, a pris la seconde place avec 11.65 secondes, parmi les meilleures performances de cet ancien titré national.

    Thibaut Jacquinot, 22 ans, étudiant à Rouen, est arrivé en troisième position avec 11.86 secondes, toujours pour le cube 3x3x3.

    Dans la version 4x4x4, Pierre Lemerle, informaticien de 24 ans, de Clermont-Ferrand, a réussi le meilleur chrono avec 53.92 secondes. Philippe Virouleau, étudiant de 21 ans (Grenoble), se classe deuxième avec 58.72 secondes.

    Jules Desjardin, lycéen de 16 ans (Angoulême), s'est imposé en reconstituant un cube de 3x3x3 avec une seule main avec une moyenne de 1 minute 54 secondes et 61 secondes.

    Le champion de France 2011, Kanneti Sae Han participera au Championnat du monde de Rubik's à Bangkok (Thaïlande, 14/16 octobre).

    Dix-neuf collégiens de 11 à 14 ans étaient engagés pour le championnat de France 2011 qui a réuni 82 compétiteurs au total.

    Avec plus de 43 milliards de milliards de combinaisons possibles pour un cube standard, le "Rubik's Cube", inventé en 1974 par Erno Rubik, professeur d'architecture et de design d'origine hongroise, s'est écoulé à plus de 300 millions d'exemplaires dans Le Monde, et connaît un regain d'intérêt depuis peu. Chaque année, selon son diffuseur, 200.000 cubes sont vendus en France.


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