• Aujourd'hui, Google a créé un doodle vidéo pour célébrer le 122e anniversaire de la star du cinéma muet Charlie Chaplin décédée en 1977.

    Décidément, Google ne perd pas une occasion de créer un nouveau doodle. Aujourd'hui, c'est à Charlie Chaplin, l'acteur vedette du cinéma muet, que le géant américain a décidé de célébrer. Mais bien plus qu'un simple doodle, Google a fait les choses en grand à l'occasion du 122e anniversaire de la naissance de la star.

    Au lieu du logo habituel, c'est donc un doodle vidéo spécialement réalisé par l'équipe Google qui accueille les internautes sur la page principale du moteur de recherche. Un clip en noir et blanc qui met en scène des acteurs dans une comédie typique de Charlie Chaplin. On y retrouve le célèbrissime personnage à moustache, chapeau melon et canne qui rencontre au fil de son aventure différents protagonistes. Pendant les deux minutes de la vidéo, se succèdent alors mimes, gags mêlés à des apparitions du logo Google.

    Né le 16 avril 1889 en Angleterre, Charlie Chaplin est devenu une véritable icône de son époque grâce à son personnage de Charlot créé dès 1914. En 50 ans de carrière, il aura tourné près de 100 films et courts métrages parmi lesquels le Kid, le Dictateur et les Temps Modernes. Plusieurs fois récompensés, il meurt en Suisse en novembre 1977.


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  • Depuis le début de la semaine, la radio Skyrock vit un moment difficile et surtout historique depuis la mise à l'écart de Pierre Bellanger (boss). Auditeurs et artistes se mobilisent, retour sur cet evenement...

    Nous avons interviewé l'animateur de la radio Mrik qui nous éclaire sur cette situation jamais vue !

    1/ Bonjour Mrik, expliques-nous la situation actuelle au sein de la radio.
    La situation est exceptionnelle, les auditeurs et toute l'équipe sont mobilisés depuis mardi soir pour défendre notre radio. Le boss Pierre Bellanger a été viré d'une manière très violente et nous avons été prévenus en même temps que le public de la situation. Du coup notre radio qui est atypique dans le monde FM est en danger, la liberté d'expression est en danger, voila pourquoi on en parle.

    2/ Cet événement était-il prévisible ?
    On savait que la radio avait été un peu moins rentable en 2010 mais que cette situation éclate du jour au lendemain et de cette manière, c'est du jamais vu à Skyrock. Nous sommes une grande entreprise, une radio privée commerciale mais c'est également une entreprise très humaine donc un évenement comme celui-ci ne passe pas, c'est évident. On a tous été bousculé et choqué.


    3/ Y'a t'il du nouveau depuis cette annonce qui a eu lieu mardi soir ?

    Oui , d'abord les auditeurs ! Je tiens à leur rendre hommage car ils sont mobilisés comme jamais pour leur radio. On a jamais eu autant de messages de soutien par sms, sur le site ou via les applis. La page Facebook "Défendons la liberté de Skyrock" a dépassé les 400 000, le mot le plus Twitter dans le monde était Skyrock le 1er jour de cette crise, c'est juste incroyable. Les politiques se mobilisent et Pierre Bellanger à proposé hier de racheter ses parts afin de garder le contrôle de Sky, on attend la suite avec impatience et tout ce soutien inédit en radio nous permet d'y croire.


    4/ Depuis quand travailles-tu a Skyrock ?

    Cela fait 2 ans et demi que je travaille à Skyrock.


    5/ As tu deja connu une situation de crise similaire ?

    Non je ne pensais pas vivre un choc pareil, lorsque j'étais petit, je me mobilisais pour Difool à l'époque de Fun radio qui était en danger également et bien sur j'ai vu des images d'archives de la défense des radios libres comme NRJ dans les années 80 mais de vivre ça en 2011, c'est dingue, je me sens actif et je sens que j'ai un rôle à jouer. Avec une voix, un micro on peut tout changer, je suis actuellement à l'antenne chaque jour depuis le début de la crise et on fait quelque chose de grand, j'ai conscience que ca restera un souvenir qui restera gravé dans ma mémoire.


    6/ Quel est ton point de vue en tant que salarié, toi qui est au coeur de l'evenement ?

    Mon point de vue c'est que pour travailler à Sky, et avoir fait d'autres radios avant, l'ambiance et l'atmosphère qu'il y'a ici est complétement atypique et n'existe qu'ici. Si je suis venu dans cette radio c'est pour pouvoir me sentir libre dans mes paroles, développer ma personnalité radiophonique, avoir de l'interactivité avec les auditeurs et les internautes via Skyblog aussi, je n'ai pas envie de perdre ça et lorsque j'entends les témoignages des auditeurs, cette radio leur appartient, c'est fragile donc on doit se battre pour protéger ce que Pierre, Difool et Laurent Bounneau ont créer avec toute l'équipe.


    7/ Du coté des artistes, ont-ils peur de l'avenir ?

    Bien sur , au niveau national, Skyrock est la seule radio à jouer du rap massivement. Y'a plus de 30 artistes qui sont passés dans les studios ou qu'on a eu au téléphone depuis le début de cette crise. Grâce à Skyrock, la rap est devenu une musique populaire, la nouvelle génération n'a que Sky pour découvrir de nouveaux talents dans des émissions comme Planete rap ou La nocturne de Fred.


    8/ La mobilisation des internautes est tres forte sur Internet, comment expliques tu cela ?

    C'est la plus grosse manifestation virtuelle jamais faite. Il y'a 4 millions d'auditeurs quotidiens à l'écoute de Skyrock, on est la 1ère radio de France des moins de 25 ans, un public particulièrement actif sur le web et c'est leur combat comme le notre.


    9/ Pour terminer nous avons entendu dire que certains animateurs comme Fred envisageaient de quitter le navire, qu'en penses tu ?

    Le futur de sky est imprévisible, je suis pas encore au stade de réflexion, on veut gagner ce combat, on verra ensuite.

    Mercu d'avoir répondu a nos questions.

    Propos recueillis par Rémi D


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  • De l'entrée de la future princesse à Westminster au départ du couple en

    lune de miel… Un timing ultra serré pour des noces de rêve.

    Onze heures – midi, heure française. Un milliard et demi de téléspectateurs (peut-être même davantage, prédisent déjà certains spécialistes) assistent en direct à l’arrivée de Catherine Middleton à l’abbaye de Westminster. Aidée par Pippa, sa sœur cadette et demoiselle d’honneur en chef, la jeune femme s’extrait avec mille précautions de l’arrière de la voiture – une Rolls Royce couleur bordeaux appartenant à la reine Elisabeth, choisie par la jeune femme pour ses larges vitres offrant une excellente visibilité au public. De la foule massée à l’extérieur de l’édifice religieux jaillissent des cris, des applaudissements et des vivats qui grondent et roulent comme le tonnerre. Le long de la nef, les mille neuf-cents invités rassemblés pour la cérémonie se lèvent comme un seul homme dans un long et délicieux froissement de robes de soie.

     


    Carrosse chevaux blancs

    L’heure est solennelle, vibrante, pleine d’émotion. Au bras de son père, Michael, la jeune femme entame sa marche lente vers l’autel, accompagnée par les trente-neuf musiciens de l’Orchestre de chambre de Londres sous la direction de Christopher Warren-Green, l’organiste Robert Quinney, les quarante-huit chanteurs des chœurs de l’abbaye de Westminster et de la Chapelle royale et les huit trompettistes de la cavalerie de la Maison royale emmenés par le major Grant Sewell-Jones. Encore trente minutes, quarante peut-être, et la voilà princesse, officiellement unie à William, l’héritier en second du trône d’Angleterre. Bonheur fou…

     


    Un peu après les douze coups de midi, la sortie du couple est triomphale. Il fait beau ? Pour rejoindre le palais de Buckingham, celui-ci monte alors dans le Landau d’Etat déjà emprunté par Charles et Diana le jour de leurs noces, il y a trente ans, une spacieuse calèche lie de vin, rouge et or capitonnée de satin vermillon et tirée par six chevaux – en cas de pluie, il est prévu que les époux fassent le trajet à bord du célèbre Glass Coach, le Carrosse de verre traditionnellement de service dans les grands mariages de la famille Windsor, construit en 1881 et acquis par la cour en prévision du couronnement de George V, en 1911.

     



    Suivent, dans deux landaus découverts de type Ascot – si le temps le permet –, le prince Harry (témoin du prince William), Pippa Middleton au côté des autres demoiselles et garçons d’honneur (parmi lesquels Lady Louise Windsor, la fille aînée du prince Edward, et Eliza Lopes, l’une des petites-filles de Camilla). Puis la souveraine et le prince Philip à bord de l’un des cinq landaus dits « Semi-State » que compte la collection des écuries royales. Enfin, fermant le cortège, le prince Charles et son épouse, et les parents de Kate.

     



    Les réjouissances ne font que commencer. William, Catherine et leurs proches sacrifient au rituel des photos officielles sous la houlette de Hugo Burnand, un photographe très apprécié des membres de la famille régnante qui, en avril 2005, déjà, avait déjà réalisé les portraits nuptiaux de Charles et Camilla. Sous les fenêtre du palais, ils sont près d’un million à attendre la première apparition au balcon des héros du jour. Quatorze heures, un peu plus peut-être. Une clameur assourdissante monte de la place lorsque les fenêtres du Center Room (le Salon central) s’ouvrent sur la silhouette des deux jeunes gens. La foule réclame un baiser – désir aussitôt satisfait.

     


    Catherine Middleton et le prince William

    Dans les salons de réception de Buckingham, six-cents convives se sont rassemblés autour du buffet offert par Sa Majesté – supervisé, dit-on, par l’une de ses cousines, lady Elizabeth Anson, fondatrice de Party Planners, à laquelle la reine avait déjà confié plusieurs missions d’importance comme l’organisation de la fête donnée à l’hôtel Ritz en l’honneur de ses quatre-vingts ans, en 2006. Dans la soirée, Charles sera l’hôte d’un dîner pour trois cents personnes réservé aux intimes des mariés, suivi par une fiesta dansante. Les époux pourraient profiter de la nuit pour filer à l’anglaise afin de profiter au plus vite de leur lune de miel. So romantic

     


    Coraline Lussac

     

    les premiers invités se présentent à l'entrée de l'abbaye.

     

    arrivée de Carole Middleton, la mère de Kate.

     

    arrivée des membres de la famille royale – la reine et le prince Philip ferment la marche. Le prince William devrait être accompagné par son frère et témoin, le prince Harry.

     

    arrivée de Kate au bras de son père et début de la cérémonie.

     


    12.00 :
    De 11.40 à 11.50 :
    11.30 :
    9.30 (heure française) :
    Le timing des arrivées à Westminster :

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  • L'opérateur nucléaire japonais Tepco a formulé, samedi 9 avril, des excuses pour les fuites radioactives émanant de la centrale de Fukushima-Daiichi, tandis que l'agence de sûreté nucléaire annonçait que le déversement d'eau radioactive en mer durerait jusqu'à dimanche.

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    Les excuses de Tokyo Electric Power sont intervenues au lendemain des craintes exprimées par la Chine et la Corée du Sud au sujet de la vidange des eaux contaminées de la centrale nippone frappée par le séisme et le tsunami du 11 mars, signe d'un malaise croissant face à cette crise. "Il y a près d'un mois que ce tremblement de terre a eu lieu. Je souhaite exprimer des excuses du fond de mon coeur pour les inquiétudes et les problèmes que nous causons à la société en raison de la fuite de matières radioactives dans l'atmosphère et l'eau de mer", a dit Sakae Muto, l'un des vice-présidents de Tepco, lors d'une conférence de presse. "Nous avons suscité des inquiétudes et des difficultés en prenant cette décision sans prendre assez de temps pour expliquer la question au préalable aux personnes affectées, à la presse, à l'industrie de la pêche et aux peuples d'outre-mer, ce dont nous sommes navrés", a-t-il ajouté.

    "NOUS SOMMES RÉELLEMENT NAVRÉS"

    En raison de capacités de stockage trop faibles, les ingénieurs de Tepco évacuent dans l'océan Pacifique l'eau de mer qui a été utilisée pour refroidir les barres de combustible et éviter que les coeurs des réacteurs n'entrent en fusion. Un mois après la catastrophe, les ingénieurs notent qu'ils sont encore loin d'avoir repris le contrôle des réacteurs et qu'il faudra probablement des mois pour les stabiliser et des années pour nettoyer le site, à 240 km au nord de Tokyo.

    A Djakarta, le ministre nippon des affaires étrangères Takeaki Matsumoto a exposé samedi la politique anticrise du Japon à ses homologues des dix pays asiatiques de l'Asean. Son porte-parole Satoru Sato a exhorté les voisins du Japon à ne pas exagérer les faibles taux de radioactivité enregistrés. "Nous sommes réellement navrés que les centrales nucléaires aient été la cause de ces craintes et de ces soucis dans le monde entier, mais il vous faut contrôler le degré de radioactivité dont parle l'AIEA", a dit le porte-parole.

    Hidehiko Nishiyama, directeur général adjoint de l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle (Nisa), avait déclaré auparavant aux journalistes : "Nous travaillons à l'évacuation des eaux (...) Nous terminerons probablement demain (dimanche)." Il a dit qu'un condensateur du réacteur n°2 avait été vidé samedi de l'eau à faible radioactivité qu'il contenait, ce qui permettra d'y transvaser l'eau fortement contaminée qui se trouve dans une tranchée du réacteur. "Le fait d'empêcher l'eau radioactive de la tranchée de déborder est une mesure importante, étant donné le risque de nouvelle contamination de la mer", a dit Nishiyama.

    PLUS DE 150 000 RÉFUGIÉS

    Tepco avait annoncé vendredi soir que la vidange en mer des eaux faiblement radioactives devrait être achevée dans la journée de samedi. Mais cette projection s'est heurtée à des difficultés liées notamment à la forte réplique sismique (7,1) enregistrée jeudi au large de la côte nord-est du Japon. Au total, le tremblement de terre de magnitude 9 et le tsunami géant qu'il a provoqué ont fait 28.000 morts et disparus, et dévasté la côte Nord-Est du Japon. Selon la police, un peu plus de 150 000 réfugiés vivent toujours dans des gymnases ou d'autres centres d'hébergement improvisés. Plusieurs villes touchées par le tsunami ont commencé à installer des habitants dans des logements provisoires, a rapporté la chaîne NHK.

    Le premier ministre Naoto Kan, dont la gestion de la crise a été critiquée par les médias et les partis d'opposition du pays, se rendra dimanche dans des villages de pêcheurs dévastés. Plusieurs Etats ont restreint les importations de produits alimentaires en provenance du Japon. La Chine va interdire les produits agricoles de 12 régions japonaises, ont fait savoir les autorités sanitaires du pays. Pékin avait annoncé auparavant son intention de surveiller de près les initiatives du Japon, en s'inquiétant des effets du déversement d'eau radioactive en mer sur l'environnement.

    Satoru Sato, porte-parole du chef de la diplomatie nippone, a déclaré sur ce point : "La Chine est pleinement en droit de prendre des mesures nécessaires, mais nous espérons que ces mesures seront raisonnables."

    La Corée du Sud a aussi critiqué le Japon, lui reprochant de ne pas avoir informé ses voisins de ces rejets dans l'océan. Le groupe Toshiba a proposé un plan de démantèlement de quatre des six réacteurs de la centrale de Fukushima-Daiichi sur dix ans. Mais le gouvernement juge prématuré de fixer dès à présent un cadre précis pour en finir avec la crise nucléaire, la plus grave depuis Tchernobyl.


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