• Le site de socialisation Facebook a révélé vendredi qu'il venait de lever 1,5 milliard de dollars, dont 1 milliard auprès de clients de la banque d'affaires Goldman Sachs hors Etats-Unis.

    "Facebook annonce qu'il a levé 1,5 milliard de dollars au cours d'une opération le valorisant à 50 milliards de dollars environ", indique le géant internet dans un communiqué.

    Facebook a ainsi levé le voile sur des informations qui avaient circulé dans la presse financière ces dernières semaines, provoquant une polémique et une enquête des autorités boursières sur son offre privée, qui est susceptible d'enfreindre la réglementation boursière américaine.

    Face à cette polémique et au risque juridique, Goldman Sachs avait annoncé lundi qu'il renonçait à placer des actions Facebook auprès de clients américains, au risque de mécontenter nombre d'entre eux.

    "La transaction a consisté en deux parties: une offre sursouscrite aux clients hors Etats-Unis, au sein d'un fonds qui a investi 1 milliard de dollars dans des actions Facebook ordinaires", indique le communiqué.

    L'autre opération a été effectuée en décembre. L'actionnaire de Facebook "Digital Sky Technologies (DST), Goldman Sachs et un fonds géré par Goldman Sachs ont investi 500 millions de dollars dans d'autres actions ordinaires pour la même valorisation", détaille le communiqué.


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  • Le site de socialisation Facebook a révélé vendredi qu'il venait de lever 1,5 milliard de dollars, dont 1 milliard auprès de clients de la banque d'affaires Goldman Sachs hors Etats-Unis.

    "Facebook annonce qu'il a levé 1,5 milliard de dollars au cours d'une opération le valorisant à 50 milliards de dollars environ", indique le géant internet dans un communiqué.

    Facebook a ainsi levé le voile sur des informations qui avaient circulé dans la presse financière ces dernières semaines, provoquant une polémique et une enquête des autorités boursières sur son offre privée, qui est susceptible d'enfreindre la réglementation boursière américaine.

    Face à cette polémique et au risque juridique, Goldman Sachs avait annoncé lundi qu'il renonçait à placer des actions Facebook auprès de clients américains, au risque de mécontenter nombre d'entre eux.

    "La transaction a consisté en deux parties: une offre sursouscrite aux clients hors Etats-Unis, au sein d'un fonds qui a investi 1 milliard de dollars dans des actions Facebook ordinaires", indique le communiqué.

    L'autre opération a été effectuée en décembre. L'actionnaire de Facebook "Digital Sky Technologies (DST), Goldman Sachs et un fonds géré par Goldman Sachs ont investi 500 millions de dollars dans d'autres actions ordinaires pour la même valorisation", détaille le communiqué.


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  • Le site de socialisation Facebook a révélé vendredi qu'il venait de lever 1,5 milliard de dollars, dont 1 milliard auprès de clients de la banque d'affaires Goldman Sachs hors Etats-Unis.

    "Facebook annonce qu'il a levé 1,5 milliard de dollars au cours d'une opération le valorisant à 50 milliards de dollars environ", indique le géant internet dans un communiqué.

    Facebook a ainsi levé le voile sur des informations qui avaient circulé dans la presse financière ces dernières semaines, provoquant une polémique et une enquête des autorités boursières sur son offre privée, qui est susceptible d'enfreindre la réglementation boursière américaine.

    Face à cette polémique et au risque juridique, Goldman Sachs avait annoncé lundi qu'il renonçait à placer des actions Facebook auprès de clients américains, au risque de mécontenter nombre d'entre eux.

    "La transaction a consisté en deux parties: une offre sursouscrite aux clients hors Etats-Unis, au sein d'un fonds qui a investi 1 milliard de dollars dans des actions Facebook ordinaires", indique le communiqué.

    L'autre opération a été effectuée en décembre. L'actionnaire de Facebook "Digital Sky Technologies (DST), Goldman Sachs et un fonds géré par Goldman Sachs ont investi 500 millions de dollars dans d'autres actions ordinaires pour la même valorisation", détaille le communiqué.


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  • Le compte à rebours est lancé ! A partir d'aujourd'hui et jusqu'à lundi prochain 22 heures, le Grand Palais sera ouvert jours et nuits pour permettre aux retardataires de profiter des tableaux du célèbre impressionniste Claude Monet.

    65 000 personnes, dont 33 000 pendant les nuits, sont attendues pour cet événement selon la Réunion des musées nationaux (RMN). A ce jour, plus de 845 000 personnes ont déjà découvert cette exposition. La moitié des places se font sur réservation sur le site du Grand Palais, le reste étant vendu sur place, aux guichets.

    Il faudra pourtant s'armer de patience pour accéder aux portes de cette exposition. Le temps d'attente peut être de deux à trois heures vers minuit. Plus tard dans la nuit, vers trois heures du matin, il suffira d'attendre une quinzaine de minutes. Le meilleur moment pour éviter les files d'attente très longues, c'est de venir entre trois et quatre heures du matin. Avis aux noctambules !

    Au programme de cette exposition ? 170 toiles sont présentées et proviennent du musée d'Orsay pour une cinquantaine d'entre elles et de musées étrangers et collections privées pour les autres. Vous savez ce qu'il vous reste à faire !

    (actustar)


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  • Melbourne, morne plaine. Un à un, les Français encore en lice à l’Open d’Australie tombent comme des mouches. De quatre, le maigre contingent tricolore est passé à deux, après les nettes défaites au troisième tour de Richard Gasquet, balayé par Tomas Berdych (6/2, 7/6, 6/2), et de Gaël Monfils, méconnaissable face à son ami Stanislas Wawrinka (7/6, 6/2, 6/3).

    Si le défaite du Biterrois était plus que prévisible, le scénario du match peut laisser quelques regrets à l’ex-numéro 7 mondial, qui a laissé passer sa chance (surtout dans le deuxième set) sans donner l’impression d’y croire, comme satisfait par son parcours australien. A force de jouer trois mètres derrière sa ligne de fond de court, Richard s’est exposé à la foudre des frappes adverses et sa défense s’est peu à peu étiolée sous la mitraille. Incapable de briller en Grand Chelem depuis sa demi-finale à Wimbledon en 2007, Gasquet semble vouloir donner une nouvelle orientation à une carrière qui bat de l’aile : l’ex-enfant prodige du tennis français devrait en effet entamer une collaboration avec Sébastien Grosjean, ancien 4e mondial et tout jeune retraité des courts. Espérons que le Marseillais, pour sa première expérience d’entraîneur, sera capable d’insuffler un esprit offensif (perdu depuis longtemps) au tennis de Gasquet, dont le talent s’exprime à merveille quand il prend le jeu à son compte.

    L’énigme Monfils

    Le cas Monfils est plus complexe et sa prestation contre Stanislas Wawrinka inexplicable. Comme face à Novak Djokovic en quart de finale du dernier US Open, “la Monf” a tenu la distance le temps d’un set (perdu au tie-break) avant de plonger de manière spectaculaire. Frustré, le Français a donné le spectacle d’un joueur perdu, sans solution et sans idée. Incapable de trouver son rythme au service, Gaël s’est également montré friable à l’échange et s’est rué au filet à la moindre occasion, se faisant transpercer neuf fois sur dix par un Suisse qui n’en demandait pas tant. Pris entre deux feux, coincé entre sa volonté de prendre l’initiative et son naturel défensif, le Guadeloupéen a collectionné les erreurs grossières et offert sur un plateau les deux dernières manches à Wawrinka, qui s’est contenté de remettre consciencieusement la balle dans les limites du terrain. Largement suffisant face à ce Monfils là. Quand on sait que le Français avait annoncé que 2011 pourrait bien être son année, il y a de quoi se poser des questions après ce genre de performance consternante.

    Les ténors, eux, n’ont rencontré aucune difficulté. Après sa frayeur contre Simon, Roger Federer a expédié Xavier Malisse sans ménagement (6/3, 6/3, 6/1) et attend Tommy Robredo avec sérennité. Novak Djokovic a lui profité de l’abandon de son compatriote Viktor Troïcki (6/2, ab.) pour s’économiser en vue de son huitième de finale contre Nicolas Almagro. Quant à Andy Roddick, il lui a fallu deux sets pour prendre la mesure de la puissance du Néerlandais Robin Haase (2/6, 7/6, 6/2, 6/2).


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