• Citroën DS3 France contre Brésil - Crédit Citroën.

    A l’occasion de la rencontre amicale France – Brésil, CITROËN présentera deux CITROËN DS3 inédites personnalisées aux couleurs des deux équipes de football. Les fans de la Marque auront la possibilité de voter pour leur version préférée sur la page Facebook CITROËN France et de gagner l’un de ces deux modèles uniques.

    Partenaire officiel de la Fédération Française de Football et de l’équipe de France, CITROEN réaffirme son soutien aux bleus et célèbre la rencontre prestigieuse France – Brésil qui aura lieu au stade de France le 9 février 2011 en présentant deux CITROËN DS3 personnalisées aux couleurs des deux équipes.

    >> ESSAI DS3 : la Citroën DS3 soigne son style

    Blanche à toit bleu, la CITROËN DS3 aux couleurs de l’équipe de France arbore fièrement des jantes bleues, des centres de roues et des coquilles de rétroviseur rouge ainsi qu’un bandeau latéral blanc. Le pavillon est agrémenté d’un adhésif « France » et de bandes blanches et rouges. Clin d’oeil au titre de champion du monde, une étoile comme celle que portent les bleus sur leur maillot, orne les portières.

    Jaune à toit vert, la CITROËN DS3 aux couleurs de l’équipe du Brésil dispose quant à elle de jantes vertes aux centres de roue jaune, de coquilles de rétroviseur bleues et d’un bandeau latéral vert. Le pavillon est agrémenté d’un adhésif « Brasil » et de bandes blanches et jaunes. Cinq étoiles situées sur la portière rendent hommage aux cinq titres de champion du monde de la « seleção » Brésilienne.

    Source : Citroën


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  • La chaîne TF1 va commencer à afficher à partir de lundi des icônes sur ses publicités afin d'informer le téléspectateur de la possibilité de bénéficier de promotions ou d'informations supplémentaires sur internet, qui devraient bientôt être "interactives", a-t-elle annoncé vendredi.

    Ces "tags" sont intitulés "coupon" pour ceux qui renvoient vers la possibilité de télécharger sur le site www.tf1conso.fr des bons de réductions, "bonus" pour ceux renvoyant vers des informations supplémentaires (interview, jeu-concours...) et "info conso" pour des informations sur le bilan environnemental des produits de la publicité.

    "On attend de voir comment les tags vont être reçus par le public et ensuite on pourra les déployer sur des télévisions interactives, qui sera la deuxième étape", a expliqué à l'AFP Guilaine Leboeuf, responsable marketing de TF1 Publicité chargée de la diversification.

    De plus en plus de téléviseurs vont pouvoir se connecter à internet dans un futur proche, ce qui devrait ouvrir la voie à l'installation d'une panoplie d'applications permettant de naviguer sur la toile, de consulter la météo en temps réel ou de faire des achats depuis le petit écran.

    Dans ce cadre, les icônes de TF1, sur lequel le téléspectateur pourra cliquer avec la télécommande au moment où elles apparaissent dans le spot publicitaire, pourront renvoyer soit vers le site www.tf1conso.fr, soit vers le site de la marque, qui apparaîtront sur le petit écran.

    En 2011, 2,65 millions de téléviseurs connectables devraient être vendus, puis 4,875 millions en 2012, contre 750.000 en 2010, selon le syndicat de fabricants Simavelec.

    La chaîne de télévision, qui cherche comme tous les groupes de médias à diversifier son activité pour s'assurer des sources de revenus complémentaires à la publicité, a lancé son site dédié aux promotions et bons de réduction il y a un an.

    Environ 1.000 points de vente, pour l'essentiel dans la grande distribution - Cora, Intermarché ou Leclerc-, acceptent les bons de réduction du site de TF1, également distribués sous forme de chéquiers dans les magasins lors d'opérations spéciales.

    Ces coupons, auxquels 42 marques ont déjà participé, dont Unilever, Henkel ou Procter and Gamble, ont permis de faire progresser leurs ventes de 7%, affirme TF1.

    Les "tags" seront facturés aux annonceurs 15 à 45.000 euros nets en sus de l'achat de temps d'antenne, a précisé Laurent Solly, directeur général de TF1 Publicité.


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  • Face à une contestation qui ne faiblit pas, le président égyptien a décidé de remplacer le chef du parti au pouvoir, le PND, par un homme ayant de bons rapports avec l'opposition.

    Le bureau exécutif du parti du président égyptien Hosni Moubarak a démissionné samedi, une étape «positive» dans l'attente de «gestes supplémentaires», selon Washington, vers une transition démocratique dans ce pays en proie à une contestation populaire ne montrant aucun signe d'essouflement. «En tant que président du Parti national démocrate (PND), le président Hosni Moubarak a décidé de nommer Hossam Badrawi secrétaire général du parti», a précisé la chaîne, écartant les rumeurs sur la démission du raïs de la tête de son parti. Le fils du président, Gamal Moubarak, a été évincé du poste de président du comité politique du PND, au profit également d'Hossma Badrawi, connu pour avoir de bons rapports avec l'opposition.

    Alors que Washington avait appelé vendredi Moubarak à s'effacer le plus rapidement possible, l'émissaire personnel du président Obama pour l'Egypte, Frank Wisner, a déclaré samedi qu'il devait «rester en place pour mettre (les) changements en oeuvre». Ces propos n'«engagent que lui et non le gouvernement américain», a très vite rectifié l'administration américaine.

    Sur la place Tahrir, emblème de la contestation antigouvernementale dans le centre du Caire, des milliers de manifestants demandaient toujours samedi soir le départ immédiat du président Moubarak. La démission de la direction du parti présidentiel «c'est comme des cartes que l'on jette sur la table afin de plaire à la rue», a dit Mahmoud Momen, un homme d'affaires de 46 ans. «Les piliers du régime s'écroulent, ce qui signifie que la révolution de la jeunesse a causé un important séisme», a affirmé de son côté Farid Ismaïl, un membre en vue des Frères musulmans. Dans la matinée, les chars de l'armée qui voulaient quitter la place, en ont été empêchés par les manifestants qui redoutaient de nouvelles attaques meurtrières des pro-Moubarak.

     

    «Une preuve qu'il est toujours là»

    Hosni Moubarak a réuni samedi le premier ministre Ahmad Chafic, qui avait exclu la veille une transition entre Moubarak et le vice-président Omar Souleimane, ainsi que le ministre du Pétrole, le chef de la Banque centrale et le ministre des Finances. C'est la première fois qu'il le faisait depuis le limogeage le 29 janvier du précédent cabinet sous la pression de la rue. Pour le chef du mouvement d'opposition Kefaya, Georges Ishaq, cette réunion «est une preuve qu'il (Moubarak, ndlr) s'accroche à sa position et veut montrer au peuple qu'il est toujours là».

    Pour autant, à l'étranger, la presse faisait état de plusieurs scénarios pour assurer une sortie digne à Moubarak. Selon le New York Times, Omar Souleimane et les chefs de l'armée examinent des hypothèses visant à limiter l'autorité d'Hosni Moubarak. Il pourrait être suggéré au raïs d'aller dans sa résidence de Charm el-Cheikh, ou de partir pour l'une de ces habituelles cures médicales annuelles en Allemagne, qui serait cette fois prolongée. Omar Souleimane formerait alors un gouvernement de transition et lancerait un dialogue avec l'opposition en vue de réformes.


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