• In my former dressing room of my old Dallas gay stomping grounds. They supported me first. SO RAD COWBOYS.


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  • En pleine tempête médiatique autour de l'affaire Bettencourt, l'élite politique doit affronter une période de turbulences et le président de la République, Nicolas Sarkozy, était même en première ligne. Pour tenter de calmer le jeu et détourner l'attention, le chef de l'Etat a déclaré cette semaine sur France 2 que "le plus récent des scandales politiques a eu lieu en Angleterre, pas en France". Une annonce qui n'a pas fini de nourrir les attaques en Grande-Bretagne qui a peu goûté cette assertion.

    Dès lors le journal Daily Mail a répliqué et a publié un article affirmant que Carla Bruni-Sarkozy est également mêlée à l'affaire Bettencourt. Sa fondation bénéficierait d'un soutien financier de L'Oréal grâce au "Programme Révélations Lancôme". L'ancien top model s'est rapidement opposé à ces rumeurs. Dans le quotidien Le Parisien, elle a précisé qu'il était question d'un "programme financé par Lancôme qui, tout à fait officiellement dans le cadre de ses activités de mécénat, a souhaité financer un programme de tutorat pour les accès aux métiers d'art et aux écoles d'art". Et pour cause Lancôme verse à cette fondation "500 000 euros par an sur trois ans". Soit une somme très importante.

    Mais le feu de la rumeur ne devrait pas se propager outre mesure. La première dame de France a coupé court à toute velléité d'accusations à son encontre. Elle a su faire oublier les critiques au profit de son allure qu'elle a savamment exposée le jour du 14 juillet. Elle participait aux festivités aux côtés des épouses d'hommes d'état africains. Elle avait notamment à sa droite Chantal Biya, la première dame du Cameroun à la chevelure flamboyante. Carla est apparue rayonnante, bien loin de tout remous politique.
    (Photo © Abaca)


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