• C’est la première fois que le célèbre interprète, compositeur et auteur britannique, Seal (de son vrai nom Seal Henry Olusegun Olumide Adelo Samuel) rencontre ses fans en Tunisie. « Ce ne sera pas la dernière visite » promet l’artiste au public, lors de son concert.

    « Cette soirée est l’ouverture effective de Carthage » a lancé l’une des journalistes présente lors du concert de Seal, samedi 24 juillet 2010, au Festival International de Carthage : l’amphithéâtre affiche complet, l’artiste est à haut niveau et l’ambiance est extrêmement chaleureuse.

    C’est la première fois que le célèbre interprète, compositeur et auteur britannique, Seal (de son vrai nom Seal Henry Olusegun Olumide Adelo Samuel) rencontre ses fans en Tunisie. « Ce ne sera pas la dernière visite » promet l’artiste au public, lors de son concert.

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    Sur scène, Seal a interprété « I can’t stand the rain », « it’s man’s man’s world », « Crazy », « Amazing », « Kiss from a rose » et pleins d’autres chansons de ses albums « Soul (2008), « System » (2007) et « Soul IV » (2003). En compagnie d’un groupe de musiciens talentueux (Steve Sindelnyc (batterie), Marc Summerlin (guitare) et Marcus Brown (basse), Seal a joué du pop, des rythmés de rock, de blues et de soul.

    Talentueux et d’une voix suave, Seal a aussi le don de faire bouger les 9 milles personnes présentes. Avec beaucoup d’humour, l’artiste a garni son spectacle d'histoires qui ont enflammé encore plus les fans. Parfois il fait danser un petit garçon sur scène ou une jeune femme, et parfois il laisse la parole au public qui le remercie.

    Seal nous a montré qu’on peut être professionnel, artiste et aimable.  L’un n’empêcherait jamais  l’autre. Depuis le démarrage du festival, nous n’avons pas vu un public aussi nombreux et aussi enthousiasmé comme dans la soirée de Seal. Plusieurs présents nous ont confirmé que « c’est la première soirée intéressante pour cette année ».

    Arrivé avec son avion privé, Seal a débarqué le jour même de son concert puisqu’il avait déjà une soirée programmée le 23 juillet 2010 en Espagne. Après le concert, il est rentré directement par le même moyen.

    (Tunis-scope)


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  • Tout le monde attend la prochaine édition du trophée des champions qui opposera l’OM, champion de France, au PSG, vainqueur de la Coupe de France, mercredi 28 juillet au Stade de Rades. 14000 billets ont été vendus.

    OM- PSG à Tunis: Radès afficherait complet

    Tout le monde attend la prochaine édition du trophée des champions qui opposera l’OM, champion de France, au PSG, vainqueur de la Coupe de France, mercredi 28 juillet au Stade de Radès. 14000 billets ont été vendus.

    Le stade de Radès devrait afficher complet le jour du match. L’OM a déjà prévu un déplacement de 2.000 supporters à Radès à cette occasion. Les Français arriveront, donc, en masse pour assister au match. Les Tunisiens, quant à eux, attendent, à leur habitude, le jour J pour acheter leurs billets. Rappelons que les deux équipes françaises comptent plusieurs fans tunisiens.

    Il est prévu de voir Radès qui peut accueillir 60 000 spectateurs, remplis par des Tunisiens et des Français et même des Maghrébins pour assister à l’un des plus importants matchs de l’année. Des mesures de sécurité sévères ont été prises pour éviter toute éventualité d’incidents.

    Les deux équipes resteront trois jours à Tunis. D’après « le Renouveau »,  le maire de Paris, Bertrand Delanoe, invite les deux équipes à un déjeuner à Bizerte, sa ville natale.

    (Tunis-scope)


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  • L'héritière de L'Oréal, Liliane Bettencourt, a déclaré aux policiers ne pas se souvenir d'avoir reçu 50 000 euros en espèces début 2007, selon une partie de sa déposition publiée mardi 27 juillet par Le Figaro. La milliardaire avait été auditionnée pendant deux heures dans les enquêtes préliminaires ouvertes par le parquet de Nanterre, sur les soupçons de financement politique illégal, de fraude fiscale et sur l'embauche de l'épouse du ministre du travail, Eric Woerth.

    "Je ne me souviens pas de ce rendez-vous", a dit Liliane Bettencourt selon le procès verbal, à propos d'une remise de la somme en liquide par son ancienne comptable, Claire Thibout. Cette somme aurait été destinée, selon cette dernière, au financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.

    A propos de l'épouse d'Eric Woerth, embauchée en 2007 chez Patrice de Maistre, elle a assuré ne pas la connaître : "Je l'ai vue seulement une fois alors qu'elle était en compagnie de son mari." L'existence d'un dîner entre le couple Woerth et Liliane Bettencourt à son domicile de Neuilly début 2008 est reconnue.

    Concernant tous les aspects de l'affaire, la milliardaire a la plupart du temps expliqué ne pas se rappeler les faits en question, expliquant toutefois se souvenir du nom de Renaud Donnedieu de Vabres, élu de droite et ancien ministre de la culture, comme bénéficiaire d'un chèque légal de financement de parti de 7 500 euros. Quant à d'autres chèques pour le même usage, elle a déclaré : "Je ne me souviens que du seul nom d'Eric Woerth." L'actuel ministre du travail a un "microparti" dans l'Oise, qui recevait des chèques de financement. L'audition d'Eric Woerth par la police est programmée dans les prochains jours, mais la date exacte de sa convocation n'a pas été rendue publique.


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  • Crédit d'impôt aidant, le glamour parisien fait plus que jamais recette au grand écran puisque les Américains Woody Allen, Martin Scorsese et Madonna posent leur caméra dans la Ville Lumière lors d'un bel été où une vingtaine de longs métrages seront tournés dans la capitale.

    "Après le ralentissement d'activité observé l'an dernier et début 2010, Paris voit s'épanouir cet été un grand nombre de tournages dans ses rues", se félicite Michel Gomez, qui pilote la Mission cinéma de la Ville de Paris.

    En 2009, seul l'Américain Christopher Nolan avait profité de la belle saison pour tourner pendant une semaine une scène emblématique du thriller "Inception" avec Leonardo DiCaprio et Marion Cotillard, actuellement en salles.

    Cet été, trois projets venus d'outre-Atlantique y seront tournés.

    En s'installant pour sept semaines, jusqu'à fin août, dans la capitale pour filmer "Midnight in Paris" - qui réunit Marion Cotillard, Owen Wilson et un second rôle ultra-médiatisé, Carla Bruni-Sarkozy -, Woody Allen a donné le ton.

    Une équipe quasi 100% française tourne cette comédie romantique en costumes des années 20, où la vie d'un couple est bouleversée par un voyage à Paris.

    Le mois prochain, Martin Scorsese filmera pendant dix jours "The invention of Hugo Cabret" adapté du roman éponyme de Brian Selznick, où un jeune orphelin vit dans une gare et héberge un automate.

    De son côté, la chanteuse Madonna viendra trois jours début août tourner des scènes de son drame historique "WE" consacré au roi Edouard VIII d'Angleterre.

    "Ces films d'époque nécessitent une intervention sur la voie publique pour modifier le mobilier urbain, enlever le marquage au sol, les panneaux", explique Sophie Boudon Vanhille, de la Mission cinéma.

    Mis en place fin 2009, le crédit d'impôt international - qui s'étend à 20% des dépenses de production réalisées en France, jusqu'à un plafond de 4 millions d'euros - a été décisif pour attirer ces tournages.

    A ce jour, 22 productions, séries TV comprises, en ont bénéficié, ce qui représente 330 jours de tournage et 100 millions d'euros de dépenses.

    Selon Thierry de Segonzac qui dirige la Fédération des industries du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia (Ficam), le crédit d'impôt génèrera rapidement "plus de 200 millions d'euros de dépenses par an".

    "Pour les films en prises de vues réelles, le crédit d'impôt a pleinement atteint son objectif : générer de l'activité économique, et permettre aux cinéastes étrangers de filmer la France en France et non plus de la simuler ailleurs", explique à l'AFP Franck Priot, délégué général adjoint de Film France, une structure qui assiste les productions étrangères dans l'Hexagone.

    "Non seulement on tourne davantage de films en France, mais la durée de leurs tournages s'allonge", note-t-il.

    Et, fait rarissime, le studio américain Paramount a confié tous les effets spéciaux de son blockbuster "Thor", signé par Kenneth Branagh et tiré d'un des célèbres comic books de Marvel, à la société française Buf.

    De même, quatre films d'animation, dont "Moi, moche et méchant", en salles le 13 octobre, ont ainsi pu être réalisés en France.

    "Nous avons en France des stars internationales, des équipes mondialement reconnues, un pays qui fascine toute la planète, une tradition d'accueil des cinéastes qu'incarne le Festival de Cannes, des studios d'effets spéciaux et d'animation du niveau de ceux de Pixar ou DreamWorks. Il nous manque de grands studios intégrés comme ceux de Pinewood à Londres ou Babelsberg à Berlin", estime M. Priot.

    Un manque que la Cité du cinéma projetée par Luc Besson en Seine-St-Denis vise à combler.


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  • Le producteur et compositeur belge du tube de 1977 "Ca plane pour moi" a affirmé lundi qu'il avait été reconnu par la justice qu'il en était aussi en fait l'interprète, Plastic Bertrand n'ayant fait que le "chanter" en play back, a rapporté la chaîne de télévision RTL-TVI.

    Se fondant sur un rapport d'experts demandé par un tribunal, Lou Deprijk a assuré que ce document mettait un terme à la bataille judiciaire qui l'opposait à Plastic Bertrand depuis 2006 au sujet d'un titre qui s'est vendu à plus de huit millions d'exemplaires.

    Les experts ont analysé deux enregistrements de la voix de Lou Deprijk, en 1977 puis en 2006, a indiqué ce dernier dans une interview au quotidien La Dernière Heure, qui a eu la primeur de l'information.

    Le rapport, a ajouté M. Deprijk, "révèle qu'avec les terminaisons de phrases relevés sur les bandes, on ne peut attribuer la voix qu'à un ch'ti ou un picard".

    C'est-à-dire non pas à Plastic Bertrand, mais à quelqu'un originaire comme M. Deprijk de la région du sud de la Belgique où le dialecte picard est parlé, avec ses intonations particulières, que l'on rencontre aussi de l'autre côté de la frontière, dans le Nord de la France.

    Interrogé par RTL-TVI, Plastic Bertrand a d'abord plaisanté sur ce thème, en lançant : "Tout ce que le rapport dit, c'est que c'est quelqu'un qui a l'accent ch'ti ou picard qui l'a chanté. Alors c'est Dany Boon (humoriste français né dans le Nord ndlr)".

    Il a ensuite rappelé que "par deux fois le tribunal d'appel de Bruxelles" l'avait reconnu comme l'interprète légal de la chanson et que c'"était un jugement que l'on ne peut pas casser".

    Il a déploré cette volonté apparente de son ancien associé de vouloir "plus d'argent". Ce que M. Deprijk, toujours sur RTL-TVI, a démenti, assurant que tout ce qui l'intéressait c'était que l'on sache que le vrai chanteur c'était lui.

    M. Deprijk, dans l'interview à La Dernière Heure, a même affirmé qu'il avait été en réalité l'interprète des quatre premiers albums de Plastic Bertrand, en accord avec la maison de disque Vogue France.

    "Plastic a fait, à l'époque, des essais de voix, mais ça ne donnait rien... Il a une voix entre Michou et Hervé Vilard", a-t-il asséné.


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