• Laurence Ferrari a épousé son compagnon, le violoniste Renaud Capuçon. Après un an passé ensemble, les deux tourtereaux se sont dit "oui" ce midi.

    Laurence Ferrari et Renaud Capuçon ont organisé un mariage très simple. Le couple a décidé de se marier à la mairie du XVIe arrondissement de Paris devant leurs familles et quelques amis. Parmi les invités, on pouvait apercevoir ses compères de TF1, Claire Chazal, Nikos Aliagas et Flavie Flament. La présentatrice était vêtue de manière très simple : une robe bustier et une veste blanches. La cérémonie s'est déroulée à 11h30 et n'a duré qu'une petite demi-heure selon Gala. Devant les invités et les témoins des mariés, deux amies pour elle et un agent de star et le journaliste Philippe Labro pour lui, ils ont été déclarés mari et femme. Après le mariage, les deux époux se sont éclipsés dans une voiture pour rejoindre le lieu de la fête, la fondation Singer-Polignac, où étaient attendus 150 invités pour célébrer l'événement jusqu'à l'aube.C'est le second mariage de Laurence Ferrari, qui a passé quatorze ans aux côtés de Thomas Hugues. Mais la belle s'est vite consolée dans les bras de Renaud Capuçon, de 10 ans son cadet, qu'elle a rencontré l'été dernier. Nous leur souhaitons beaucoup de bonheur pour leur vie future.


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  • Une rumeur de plus ? Selon le blogueur Perez Hilton, le corps de Michael Jackson, mort le 25 juin dernier, présenterait des douzaines de traces d'injections.

    C'est désormais un fait, un anesthésique puissant, le Propofol, utilisé en chirurgie, a été découvert dans la demeure du chanteur. Ce qui accréditerait la thèse d'une très forte addiction de Michael Jackson aux produits dopants.

    D'après certaines sources, il souffrait de graves insomnies, se nourrissait très mal et était très angoissé à quelques jours de son premier concert-come-back.

    La thèse de l'overdose pourrait alors revenir au premier plan. Une fois encore, cette information est à prendre au conditionnel.


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  • La star algérienne de la musique raï Cheb Mami a comparu en pleurs devant le tribunal correctionnel de Bobigny pour des violences contre sa compagne, qu'il aurait voulu forcer à avorter en 2005.

    Le chanteur de 42 ans, de son vrai nom Mohamed Khelifati, est en prison en France depuis lundi et son retour d'Algérie pour faire face à ses juges, après deux années de fuite.

    Dans le box entre deux policiers, chemise blanche, pâle, il a versé des larmes lors des premières questions. Il a affirmé qu'il était "piégé" dans cette affaire mais a fait amende honorable pour sa fuite de mai 2007.

    Icône en Algérie où il a lancé le raï dans les années 80 avant de l'exporter en France et dans le monde, il est connu dans le monde entier pour des duos avec Zucchero ou Sting en 2000, avec lequel il a réalisé le tube "Desert rose".

    Il ne joue plus, mais compose toujours, a-t-il expliqué.

    "Pour un jour où, Inch Allah ("Si Dieu le veut", ndlr)...", a-t-il dit.

    Cheb Mami joue en effet son avenir dans cette affaire pour laquelle il a déjà été emprisonné trois mois entre le 28 octobre 2006 et le 2 février 2007. Le jugement sera mis en délibéré à la fin du procès et devrait être rendu après l'été.

    Il encourt jusqu'à dix ans de prison et 150.000 euros d'amende.

    Il est lui reproché d'avoir organisé l'enlèvement et la séquestration à Alger les 28 et 29 août 2005, de son amie, une photographe française, qui venait de lui annoncer qu'elle attendait un enfant de lui.

    Son agent Michel Le Corre alias "Levy", 56 ans, qui aurait selon le parquet organisé le traquenard, est aussi jugé. Il est venu au tribunal au contraire de deux proches du chanteur, Hicham Lazaar, 27 ans, et Abdelkader Lallali, 42 ans, également poursuivis, qui sont donc jugés par défaut.

    "IRRÉPROCHABLE"

    Accueillie à Alger par Hicham Lazaar à l'arrivée d'un voyage organisé par Michel Le Corre, la victime a été droguée puis conduite dans la villa de Cheb Mami, où Abdelkader Lallali et deux femmes non identifiées l'ont brutalisée et lui ont administré des produits, avant de la laisser partir.

    Revenue à Paris, la jeune femme a accouché d'une fille en mars 2006. Elle avait entre-temps porté plainte.

    Les témoins ont tous expliqué avoir été surpris et ont décrit Cheb Mami comme "irréprochable, gentil et abordable", selon les dépositions lues au procès.

    Le chanteur a dit que sa relation avec la victime engagée en 2004 avait été "épisodique". Il assure ne l'avoir vue que "cinq fois maximum" et ne voulait pas garder l'enfant.

    Fils d'ouvrier né à Saïda, Cheb Mami a chanté dès l'âge de 12 ans, connaissant le succès sous son nom de scène qui signifie "jeune môme" et s'installant en France dès 1985. Il a débuté à Bobigny, dans une salle proche du tribunal où il est jugé.

    Sa rencontre avec Michel Le Corre a lancé sa carrière et en a fait un homme riche, décrit comme pingre par plusieurs témoignages et "autoritaire" au temps de la gloire, selon sa première femme, dont il a eu un enfant en 1995.

    Cheb Mami était proche du régime d'Abdelaziz Bouteflika et a même fait campagne pour lui. Il l'a confirmé à la barre, en disant : "Je ne suis pas dans la politique, je voulais aider mon pays et aider les personnes qui veulent le rendre meilleur."

    Ses premiers mots de regrets ont concerné sa fuite en février 2007. Il avait quitté la France où il avait obligation de rester, grâce à un "passeport français périmé", a-t-il dit.

    "Ma mère était malade, ma famille me manquait. C'est vrai, j'ai pété un plomb, je suis parti. (...) J'ai fait une faute", a-t-il dit.

    Édité par Sophie Louet


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  • Voilà une affaire qui, en ce début d'été, va encore faire grand bruit. Le manuscrit du livre de Jamal Dati, 36 ans, le frère de l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati, 43 ans (qui a passé son relais de ministre à Michèle Alliot-Marie), vient d'être volé.

    Selon Le Parisien de ce matin, c'est entre le 22 et le 23 juin derniers que l'ouvrage - qui n'était pas encore la version finale destinée à être envoyée à l'impression - a été dérobé, sans effraction constatée, sur le bureau d'un employé de la maison d'édition Calmann-Lévy, qui se trouve dans le VIe arrondissement parisien.

    L'accès à la société n'est pourtant pas ouvert à tout le monde. En effet, un badge est nécessaire pour pouvoir pénétrer à l'intérieur des bureaux. Ce constat pourrait appuyer la thèse selon laquelle le cambriolage du manuscrit (qui est le seul document a avoir été volé) aurait été commis par des "professionnels" qui "savaient ce qu'ils venaient chercher". C'est sûr que pour entrer chez l'éditeur et ne voler que ce manuscrit... c'est signé ! C'est d'ailleurs étonnant que les voleurs n'aient pas souhaité que cette opération "récupération" ressemble à un fric-frac classique...

    Ce travail est un entretien entre Jamal Dati, condamné à un an de prison ferme au mois d'août 2007 pour trafic de stupéfiants, et un journaliste, dans lequel il est question des rapports qu'il entretient avec sa soeur, actuellement maire du VIIe arrondissement et députée européenne.

    L'auteur de ce livre - intitulé A l'ombre de Rachida y révèlerait une Rachida Dati cassante et négligente - avait été victime de pressions de la part de membres de sa famille, afin d'empêcher la parution de l'ouvrage. La rumeur a même couru qu'il pourrait y révéler le nom du papa de Zohra... N'ayant aucun rapport avec sa soeur aînée, elle n'a certainement pas dû lui faire ses confidences !

    L'avocat de Jamal Dati, Frédéric Berna, n'est pas surpris par ce vol et affirme : "Ce n'est pas la première fois que des documents disparaissent autour de ce projet. Le 16 mars, plusieurs feuillets du contrat passé entre mon client et Calmann-Levy avaient été dérobés à son domicile en Lorraine."

    Suite au vol de l'ouvrage - dont la sortie va être probablement repoussée -, une plainte a été déposée le 26 juin, et l'affaire a été confiée au groupe des affaires réservées de la 3e division de police judiciaire de Paris...

    D'après nos informations, Jamal Dati souhaitait, ces dernières semaines, arrêter la parution de ce livre.


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  • Selon le premier rapport d'enquête du BEA, chargé de déterminer les causes du crash du Rio-Paris, l'appareil s'est désintégré lorsqu'il est entré en contact avec l'océan Atlantique.

    L'airbus A330 Rio-Paris n'a pas explosé en vol. Un mois après le crash du vol Air France 447 au-dessus de l'Atlantique, le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) livre ses premières conclusions. Chargé de l'enquête technique, il a exclu jeudi l'hypothèse d'une dislocation en vol de l'avion, après l'examen des pièces récupérées.

    Depuis le 6 juin, 640 éléments provenant de l'ensemble des zones de l'avion ont été retrouvés. Selon les enquêteurs, l'état de ces éléments de l'avion montrent qu'ils ont subi une forte accélération verticale qui pourrait être la conséquence de l'impact de la surface de l'eau avec l'appareil. Ainsi, dans le galey - meuble où sont rangés les plateaux repas -, toutes les étagères sont descendues au fond, ce qui laisse à penser qu'il a subi cette accélération verticale.

     

    Les sondes Pitot, «un élément, mais pas la cause» de l'accident

    Un morceau de plancher retrouvé est déformé du bas vers le haut, impliquant que l'avion ait heurté la surface de l'eau. Le fait que la dérive (aileron vertical mobile) soit toujours fixée à la structure de l'avion et qu'elle ait été retrouvée au milieu des autres débris confirmerait également qu'elle n'a pas cassé en vol. «L'absence de gilets de sauvetage gonflés montre que visiblement les passagers n'étaient pas préparés à un amerrissage», précise le responsable de l'enquête Alain Bouillard.

    Le BEA estime donc que les sondes Pitot peuvent être «un élément, mais pas la cause» de l'accident. Les sondes sont «quelque chose qui est fortement soupçonné dans les incohérences de vitesse», c'est «un des facteurs mais ce n'est pas le seul», commente ainsi Alain Bouillard. Le BEA avait relevé dès le début de l'enquête des «incohérences» des vitesses mesurées, affirmant toutefois que rien ne permettait de lier les causes de l'accident de l'Airbus A330 aux sondes Pitot, qui mesurent la vitesse en vol. Air France a connu au total neuf incidents de givrage des sondes Pitot de mesure de vitesse entre mai 2008 et mars 2009, dont huit sur des avions long-courrier A340 et un sur un A330, selon une note interne diffusée le 18 juin aux pilotes.

     

    Recherches des boîtes noires prolongées

    Dans la foulée de ce point d'étape, le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses va prolonger jusqu'au 10 juillet ses recherches acoustiques des balises des boîtes noires. Leur durée réglementaire d'émission n'est que de 30 jours et elles auraient donc dû cesser d'émettre mardi. Une deuxième phase de recherche démarrera après le 14 juillet, «avec d'autres moyens et suivant une autre méthode». Mais la tâche reste complexe, étant donné la profondeur (évaluée entre 3.000 et 3.500 mètres) et le relief de l'océan dans la zone de l'accident de l'Airbus A330.

    Quant aux autopsies des 51 corps retrouvés, les résultats se font attendre, notamment pour les familles. «On a présenté des demandes pour les obtenir. On ne peut pas aller au-delà», indique les enquêteurs, estimant que cela pouvait ralentir leur travail car ils ne savaient pas ce qu'ils pouvaient tirer comme conclusion de ces résultats. Le 17 juin dernier, le BEA avait déjà regretté de ne pas avoir ces résultats.


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