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  • Project Origin est un FPS sur PC qui mise beaucoup sur son ambiance inquiétante et oppressante. Cette suite de F.E.A.R. commence juste après les événements du premier jeu alors qu'une équipe des Forces Spéciales exécute une mission de routine à Auburn. La ville est soudainement frappée par une explosion surnaturelle. Une seule explication possible : Alma est en colère et cette fois, la petite fille n'épargnera rien sur son passage.

    • Editeur : Warner Interactive
    • Développeur : Monolith Productions
    • Type : FPS
    • Sortie France : 13 février 2009
      (10 février 2009 aux Etats-Unis)
    • Classification : Interdit aux - de 18 ans

    Note  : 15/20

    Lorsque Monolith décide de reprendre en main son bébé, F.E.A.R. est voué à renaître de ses cendres. Faisant table rase des deux add-on de TimeGate, certes sympathiques mais ayant troqué le scénario contre une surenchère d'action, Project Origin débute là où le premier épisode s'achevait. Une entrée en matière cataclysmique puisque se déroulant dans l'ombre d'une gigantesque explosion dont vous, Michael Becket, venait juste d'échapper. Les acteurs sont en place, le rideau vient de tomber, la tragédie d'Alma peut continuer.

    Sans faire montre d'une originalité hors normes, F.E.A.R. aura marqué les esprits à l'aide d'une IA d'une redoutable efficacité mais aussi et surtout grâce à son ambiance, digne héritière de films d'action hollywoodiens et du cinéma d'horreur made in Japan. Pourtant opposés, ces deux univers parvinrent malgré tout à fusionner pour nous donner un FPS aussi énergique que terrifiant. Si les deux suites tentaient tant bien que mal de poursuivre l'oeuvre de Monolith, le résultat s'avéra quelque peu décevant. Ainsi, la firme américaine choisit sciemment de reprendre la série là où elle s'était arrêtée à la fin du premier volet pour son Project Origin bien plus ancré dans la mythologie F.E.A.R. que ne l'étaient Extraction Point et Perseus Mandate. Pour autant, le scénario de Project Origin est-il si évolué que celà ? Eh bien, pas vraiment.

    A contrario, on pourra être déçu par la liberté toute relative de Project Origin. Si il faut avouer que cet aspect ne nous a nullement gâché notre plaisir, disons que l'éclectisme des environnements ne masque en rien des "niveaux couloirs" faisant le jeu d'un level-design rectiligne. On "tripera" d'ailleurs beaucoup plus dans des espaces confinés à même de nous offrir une atmosphère bien plus étouffante qu'en extérieurs, ceci collant bien plus à F.E.A.R. Pour autant, on appréciera de retrouver moins de décors en contreplaqué, et une certaine diversité dans les lieux visités, certains évoquant beaucoup ceux de Condemned, l'école abandonnée en tête de liste. En somme, on pourra scinder l'aventure en deux phases nous amenant à progresser à travers des bâtiments dévastés ou dans des ruelles détruites qui seront généralement le théâtre d'affrontements dantesques ou juché dans un énorme mecha, vous devrez user de deux gatlings et de missiles afin d'éradiquer les hostiles.

    Malgré cela, Project Origin reste un jeu très accessible, plus orienté grand public que ses grands frères. On regrettera d'ailleurs quelques choix passablement inutiles, surtout lorsqu'on s'aperçoit qu'en mode Ralenti, les ennemis sont désormais entourés d'un halo disgracieux afin qu'on les repère plus facilement. Dans le même registre, votre pointeur virera désormais au rouge lorsque vous viserez un ennemi. Ici aussi, on se demande bien l'intérêt d'un tel élément de gameplay puisque le jeu reste très abordable même en Moyen, grâce audit Ralenti. Néanmoins, les gunfights sont à nouveau au centre de cet épisode qui impressionne tout de même moins que l'opus original question IA. Précisons tout de même qu'elle n'est pas mauvaise, loin de là, d'autant que les ennemis peuvent désormais renverser des éléments pour se planquer derrière ou disposent d'une panoplie plus étendue d'actions pour nous prendre à revers. Au rayon des petites nouveautés, on signalera la lampe torche qui ne s'éteint plus. Vous aurez bien droit à quelques interférences de temps en temps influençant l'intensité de la lampe mais rien de bien grave. Enfin, ceci vaut surtout sur PC et Xbox 360 puisque malheureusement, l'utilisation de la lampe provoque de gros ralentissements sur PS3, ceci étant synonyme d'un plaisir de jeu moins grand sur cette machine.


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  • Burnout Paradise est un jeu de courses PC offrant au joueur la possibilité de dévaster une ville nommée Paradise City. Chaque intersection offre sa décharge d'adrénaline en raison d'un risque non négligeable de crashs et de carambolages destructeurs. Ce cinquième opus ouvre les portes du champ de bataille ultime pour pilotes de course.

    • Editeur : Electronic Arts
    • Développeur : Criterion Studios
    • Type : Course
    • Sortie France : 5 février 2009
      (3 février 2009 aux Etats-Unis)
    Note : 16/20

    S'il lui a fallu une année complète pour être porté sur PC, Burnout Paradise ne débarque pas les mains vides. Nanti de toute une flopée de mises à jour et d'un contenu additionnel inclus par défaut, il s'offre aux PCistes sous sa forme la plus achevée pour moins de 50 euros.

    Burnout Paradise : The Ultimate Box est donc une version améliorée et complétée du titre d'origine. Elle comprend tout d'abord, en plus du contenu de base, l'update Cagney, le pack de motos et le Paradise Party, un mode multijoueur hors ligne. En sus, elle profite d'une somme de corrections et d'optimisations tels qu'un navigateur de sites et une boutique intégrés ou le rééquilibrage du mode Road Rage. Autant de raisons pour les joueurs PC de ne pas être frustrés d'avoir patienté douze mois avant de pouvoir mettre la pagaille dans Paradise City. Notez donc qu'avec l'update Cagney, vous pourrez profiter de trois modes de jeu en ligne (Séquence cascade, Traque et Road Rage) de 70 challenges inédits, de deux voitures que sont la Hunter Olympus et la Nakamura Rai-jin Turbo RWD, de deux créations de fans ainsi que du système de classement repensé pour plus de transparence. Le pack de deux-roues quant à lui se compose de deux motos, la Nakamura FV1100, de 70 défis freeburn pour ces deux demoiselles, d'un cycle jour/nuit ainsi que d'une météo dynamique.

    Mais le gros plus de l'Ultimate Box, c'est le Paradise Party, un mode qui permet à huit joueurs de s'affronter à tour de rôle sur des mini-épreuves hors ligne. Un effort des développeurs qui vient combler une partie de la déception qui était la nôtre à l'origine, lorsque Burnout Paradise était sorti sur consoles sans mode multi Offline. Une partie seulement car il faut avouer que ce Paradise Party nous laisse un peu sur notre faim en termes de multi et de parties entre amis, et ce, pour deux principales raisons. La première est que, comme indiqué plus haut, on ne parle ici que de multi avec une seule manette. Ne comptez donc pas faire de courses à plusieurs sur une même machine, ce n'est toujours pas d'actualité. En réalité, ce mode n'est qu'un enchaînement de courts défis (de un à huit selon le choix des participants) répartis en trois catégories : cascade, aptitude et vitesse. La seconde est que les défis proposés n'ont guère de pétillant et qu'on les aurait aimés un brin plus originaux. Il s'agit par exemple de réussir à effectuer une vrille à plat sur un saut, de déraper sur le plus de distance possible en 20 secondes ou encore de réussir à circuler le plus longtemps à contresens. Reste que la possibilité de choisir la catégorie de chaque épreuve est sympa, à l'instar du comptage des points qui offre la dose de suspense nécessaire pour donner de l'intérêt à une partie.

     


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  • 1 - Où se trouve t'il ce point G?

    Le point G

    (d'après le nom du gynécologue allemand Ernest Von Grafenberg, qui l'a identifié en 1950) est une petite zone de tissu érectile, située sur la face avant du vagin, à 4 ou 5 cm de son orifice, entre l'os du pubis et le cervix (col de l'utérus).

    Une zone ou un point ?   Grafenberg lui-même l'identifiait au point où l'urètre se rapproche de la partie supérieure de la paroi vaginale. Perry et Whipple affirment qu'il est situé plus haut encore, tandis que le sexologue israélien Dr. Zwi Hoch pense que c'est toute la paroi antérieure du vagin, (plutôt qu'un point précis) qui est remplie de terminaisons nerveuses.

    Comment le trouver ?   D'abord, accroupissez-vous, puis mettez un ou deux doigts à 4cm à l'intérieur du vagin, en les courbant afin de toucher la paroi avant. Vous pouvez également utiliser un Sexy Toy spécial Point G dont l'extrémité recourbée permet une stimulation plus directe.
    Cette expérimentation peut vous permettre de découvrir quel type de stimulation vous procure le plus de plaisir. Votre partenaire peut lui-même rendre cette découverte très agréable.

    Existe t'il vraiment ?   Son existence est en fait l'objet d'un débat. La plupart des sexologues sont convaincus qu'il existe. Il semble qu'il n'apparaisse pas chez toutes les femmes, mais selon le professeur Beverley Whipple toutes peuvent par certains exercices développer cette sensibilité bien précise. Selon certains experts, le point G n'est visible que quand il est stimulé : il passerait de la taille d'un petit haricot à celle d'une pièce de cinq francs.


    2 - Une zone particulièrement érogène

    Sous l'effet de la stimulation   (doigt, pénis), le point G grossit. Son volume n'est pas pour autant proportionnel à sa sensibilité. Au cours de la masturbation, cette zone s'engorge et se durcit. Stimuler le point G avec les doigts peut provoquer une envie pressante d'uriner, qui disparaît en principe après plusieurs minutes de stimulation. La stimulation est souvent plus efficace si la pression est intense et précisément localisée.
    Accroître progressivement cette pression vous permettra de découvrir quel moment vous procure le plus de plaisir érotique. Chez certaines femmes (environ une sur dix), la stimulation de cette zone particulièrement sensible peut augmenter l'excitation, mener à l'orgasme et à l'éjaculation : un liquide est alors évacué pendant les contractions orgasmiques.

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  • C'est en tout cas le résultat étonnant d'une enquête menée pour Marrakesh Records par des gens qui savent produire les statistiques qui feront parler. Sur mille britanniques de 16 à 24 ans interrogés, 60% préfèreraient se passer de sexe pendant une semaine que se passer de musique. Ca monte même à 70% pour les 16-19 ans. Je ne me suis jamais passé de musique pendant une semaine mais à mon humble avis, les résultats sont faussés par le fait que lorsqu'on s'adresse à des 16-24 ans, une part non négligeable des jeunes interrogés ne savent pas vraiment ce qu'ils ratent.

    Après avoir ainsi établi l'importance de la musique pour les jeunes, les auteurs de l'étude mettent en avant un autre chiffre soi disant paradoxal : 66% des jeunes interrogés pensent qu'il est moralement acceptable de télécharger de la musique gratuitement sur Internet. Les 34% restants ne sont-ils donc pas au courant que de nombreux artistes mettent leurs oeuvres en téléchargement gratuit en toute légalité ? Et les sondeurs ? S'ils l'avaient su, peut-être auraient-ils posé la question autrement, d'une façon qui ne prête pas à confusion et qui ne détruit pas toute valeur à leurs résultats. Voilà à quoi on aboutit avec des années de communication pipotées sur le téléchargement.

    De même, lorsqu'on se penche sur un autre chiffre mis en avant ("61% des jeunes pensent qu'ils ne devraient pas avoir à payer pour la musique qu'ils écoutent"), on remarque que la question portait sur la musique "qu'ils écoutent sur Internet". La différence est de taille. Quand Deezer, Jiwa, Spotify, Youtube et plein d'autres proposent de la musique en streaming gratuit, pourquoi devrait-on payer en effet ? D'ailleurs on se demandait bien pourquoi, toujours selon la même étude, la moitié des jeunes auraient acheté un mp3 sur iTunes et 70% auraient acheté un CD dans les trois derniers mois s'ils pensaient vraiment ne pas avoir à payer pour la musique.

    Bref, derrière les effets d'annonce, il y a tout de même quelques données intéressantes dans cette étude, la première étant que les jeunes écoutent et achètent toujours de la musique et qu'elle est toujours importante pour eux. La seconde, c'est qu'il ne faut pas faire confiance aux bureaux d'études.

    source: fluctuat

     


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