• Il y a quelques mois, un livre choc révélait les salaires des animateurs : Christophe Dechavanne empocherait 5 000 € par quotidienne de La Roue de la Fortune (un chiffre que l'intéressé a démenti) alors que Nagui ne se contenterait "que" de 2 000 € par quotidienne de Tout le monde veut prendre sa place. Un chiffre "plus bas" pour l'animateur-producteur qui s'explique par sa présence sur une chaîne publique (et donc dotée d'un budget moins important). Mais rassurez-vous, Nagui n'est pas à plaindre pour autant, comme le révèle un encart du magazine Le Point signé Emmanuel Berreta.

    Animateur incontournable (12 heures de présence à l'antenne sur France 2 et France 4 en comptant les rediffusions) et puissant producteur de France Télévisions (sa société Air Prod gère notamment ses propres programmes), le business de Nagui fait rêver.

    Son excellente émission du midi Tout le monde veut prendre sa place a réussi à détrôner le traditionnel Attention à la marche de TF1 (jeu animé par Jean-Luc Reichmann) : avec des audiences autour de 3 millions de téléspectateurs et 25 % de PDM (et autour de 20% de parts de marché, rien que sur la ménagère de moins de 50 ans), l'animateur est en grande odeur de sainteté en ce moment !

    Mais le rigolo du PAF est aussi (et surtout ?) un businessman : son émission du soir (qu'il présente et produit) N'oubliez pas les paroles est facturé 70 000 € à France 2 (sauf gains des candidats, à la charge de la chaîne). Le prime time (dont le dernier, pour la Saint-Valentin, a cartonné à 4,8 millions de téléspectateurs pour 20,1 % de PDM) coûte quant à lui, 350 000 € à France 2 : argent reversé partiellement à Nagui, principal bénéficiaire en tant qu'investisseur. En outre, quelque 60 000 € se promènent pour la production de l'émission culte Taratata (diffusée sur France 2 et France 4), somme pour laquelle le CNC (Centre National du Cinéma et de l'image animée) apporte une participation financière. Enfin, via sa société, Nagui contribue également (financièrement) à l'aspect technique (notamment la logistique) de l'émission En toutes lettres (jeu de Julien Courbet et Pierre Bellemare sur France 2).

    Mais l'animateur et son équipe sont également des professionnels de la négociation puisque, toujours d'après le magazine Le Point, Nagui a remporté le contrat de la Fête de la musique : les villes de Carcassone et Nîmes (on ne sait pas encore laquelle est choisie...) ont accepté de prendre en charge les frais colossaux (300 personnes à payer entre autres !) du concert prévu cette fois en Province. Malin, l'animateur et producteur prolixe a décidé de ne communiquer le nom de la ville élue ("la décision est prise" déclare-t-il) qu'après les régionales "pour éviter les parasitages politiques..."

    En tout, toujours d'après Le Point, l'un des animateurs des récentes Victoires de la musique, bénéficierait d'un chiffre d'affaires d'au moins 18,5 millions d'euros avec France Télévisions... par saison !

    Le papa de Nina, Roxanne et Annabelle est aussi, ne l'oublions pas à la radio sur Europe1, chaque matin depuis la rentrée. Il avait d'ailleurs déclaré dans Le Parisien en août 2009 : "Je gagne 2 000€ par jour, sans compter la radio. C'est beaucoup, je sais" ! Il est lucide le Nagui.

    C'est amusant de voir où il en est, chez France Télévisions, presque 15 ans après le scandale des "voleurs de patates" (comme les avait appelé Les Guignols) qui avait explosé en 1996 et dont Jean-Pierre Elkabach a fait les frais. Il était à cette époque, à la tête du groupe France Télévisions, et on lui a reproché l'affaire des "Animateurs - Producteurs" : montants mirobolants alloués aux productions, clauses spéciales et avantages apparaissent alors aux yeux du grand public en visant plus particuliérement Nagui, Delarue et Arthur ! Ce "scandale" obligera Elkabach à démissionner de son poste... Nagui, Delarue travaillent plus que jamais sur la télévision publique, Arthur a fait le chemin que l'on sait.

    Si ces chiffres de nos confrères sont vrais, Nagui est le roi de France Télévisions ! On comprend qu'il ne soit pas particulièrement enthousiasteà l'idée que son émission du midi soit face au remake de Fa si la chanter !


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  • Toute auréolée de gloire, Marion Cotillard a le rouge des aréoles qui lui monte au front. La semaine passée, Marion Cotillard faisait une apparition dans un mini-film pour Dior. Sexy en diable, glamour à mort, elle jouait les vamps-rockeuse-chic. Rupture de ton XXL dans son dernier clip "promotionnel" où elle arbore, une paire de faux-seins collée au-dessus de ses jolis yeux. Mais qu'est-ce qui lui a pris pour s'adonner à cette bonne vieille pochade de potaches avec ses nouveaux amis américains?

    A vue d'oeil, Marion Cotillard fait un 90 (Nine...ty, in english, même si aux USA, ça équivaut à du 34), sans doute B... A vue d'oeil, car cette année, les seins se portent au-dessus des sourcils, si l'on en croit la fausse pub' qu'elle a tournée pour le site US, Funny or Die. Une parodie qui s'inspire des campagne pour les produits cosmétiques et vante la pseudo-marque Janae et ses seins de front.

    "Aux Etats-Unis, tout est possible. Le pays des opportunités où les rêves deviennent réalité", commente Marion Cotillard, d'une voix sensuelle sur fond de musique de défilé, en traversant un décor de cinéma . Mais, car il y a un "but", les femmes sont confrontées au harcèlement sexuel... A l'appui, quelques scènes où l'on voit bien les regards... appuyés de ses collègues de cinéma sur son joli décolleté.

    Mais, ô, miracle, les "femmes françaises savent depuis des siècles que pour gagner le respect des hommes, vous devez faire en sorte qu'ils vous regardent dans les yeux." Et de coller sa paire de seins en plastique sur son joli front... Nous aussi, on ne la regardera plus jamais comme avant, Marion Cotillard. Car malgré les récompenses (même si elle n'a pas eu de Golden Globe cette année...), son sex-appeal et la gloire, elle reste une môme. Et nous, on l'aime aussi comme ça.Regardez la vidéo:

    Forehead Tittaes w/ Marion Cotillard from Marion Cotillard

    Jean-Frédéric Tronche


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  • Ce fût finalement le meilleur ! Ce soir, en battant le Real Madrid (1-0) grâce à un but extraordinaire de Jean II Makoun, l'OL a frappé un grand coup et marqué les esprits. Les Lyonnais ont prouvé que leurs résultats en 2010 n'étaient pas entièrement dûs à la chance ou la réussite, ils ont montré de très bonnes choses face au Real. Au cours d'une première période plutôt équilibrée, l'OL a su contenir Madrid, jouant son jeu (enfin!), les Lyonnais imposaient leur rythme aux espagnols contraints de procéder par contres. A l'image de govou, Cris, Boumsong, Makoun ou encore Pjanic, l'Olympique Lyonnais a montré un autre visage, celui que l'on connaissait à la plus belle époque, capable de faire douter n'importe quelle équipe. Une fois encore, le duo Argentin Delgado-Lisandro a fait mal. Le récent sauveur de l'OL face à Lens trouvait même le poteau juste avant la mi-temps sur une superbe reprise de volée consécutive à un corner de Pjanic.

    Dans une deuxième mi-temps complètement folle, l'OL a su trouver l'ouverture très rapidement (47e) par l'intermédiaire du tant décrié Jean II Makoun. Le milieu Camerounais profitais d'un contre Lyonnais pour faire reculer Garay et placer une frappe magistrale des 25 mètres dans la lucarne de Casillas. Par la suite, l'OL a su gérer son match, obligeant même le Real à déjouer, étouffant complètement les stars comme Ronaldo, Kaka, Higuain et Benzema. Les Gones auraient même pu doubler la mise par l'intermédiaire de Lisandro Lopez et Ali Cissokho. Aucune réelle frayeur donc sur le but de Lloris, c'est dire si l'OL ce soir à réaliser un bon match. De l'intensité, du jeu, des occasions, voilà un Lyon comme on l'aime et comme on l'a si souvent vu gagner ! Notons également que Lyon s'est toujours qualifié en quart de finale de Ligue des Champions quand les Gones se sont imposés chez eux. On espère que Lyon donnera raison à cette statistique, tout comme ils l'ont fait ce soir en l'emportant à nouveau face au Real Madrid à Gerland.


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  • Demandez le programme ! Quelles sont les stars et les nouveautés du salon de Genève 2010 ? Avec plus de 250 exposants venant de 30 pays différents, le salon de Genève (du 04 au 14 mars 2010) est l'occasion de faire le point sur toutes les tendances auto qui vont marquer ces prochaines années. En avant, zoom !

    Abarth Punto Evo

    Abarth présente sa nouvelle sportive : la Punto Evo. La venimeuse citadine hérite de la technologie Multiair assurant une augmentation de puissance de 10% pour une réduction de consommation de 10%.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Alfa Romeo Giulietta

    Digne remplaçante de la 147, la nouvelle compacte Alfa Romeo est pour la première fois présentée au salon de Genève. Après avoir été nommée 149, puis Milano, le modèle prend donc le nom de Giulietta.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Quatre motorisations turbo sont disponibles, toutes couplées au système Start&Stop : deux blocs essence (1.4 TB de 120ch et 170ch MultiAir) et deux blocs diesels (1.6 JTDM MultiJet2 105ch et 2.0 JTDM MultiJet2 170ch).

    (AF.BLOGG.ORG)

    Bertone Concept-Car

    Pour fêter le centenaire d'Alfa Romeo, Bertone présente son concept-car au salon de Genève.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Bufori Mk VI

    Bufori est présent sur le salon de Genève 2010 avec un tout nouveau modèle : le Mk VI. En développement depuis 2 ans, cette berline "ultra-luxe" dispose d'un moteur 6.1l d'origine Dodge.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Carlsson C25

    Carlsson est un préparateur allemand haut de gamme spécialisé dans les préparations de Mercedes. Pour preuve c'est en se basant sur le roadster Mercedes SL65 AMG Black Series qu'il a donné vie à la Carlsson C25.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Edag Light Car

    Après avoir été l'une des attractions du salon de Genève 2009, la Light Car Open Source revient au salon 2010. La société EDAG est spécialisée dans les solutions de mobilité pour l'aérospatiale et l'automobile.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Fiat 500 1.4 Natural Power

    Cette Fiat 500 a été réalisée par une filiale suisse du Lingotto. Elle est exposée au salon de Genève sur le stand du partenaire helvétique Gasmobil, lui aussi impliqué dans le processus de développement.

    (AF.BLOGG.ORG)

    Hispano Suiza XIOV

    La marque qui était spécialisée dans le développement de limousines tente de percer sur le marché des supercars de luxe.

    (AF.BLOGG.ORG)


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  • PARIS - Au terme de neuf jours de défilés de prêt-à-porter, marqués par la récente disparition d'Alexander McQueen, Paris a dégagé une silhouette minimaliste, composée de valeurs sûres, comme un trait d'union avant une véritable reprise attendue sur le marché du luxe pour 2011.

    Modèle Hermès imaginé par Jean-Paul Gaultier. Au terme de neuf  jours de défilés de prêt-à-porter, marqués par la récente disparition  d'Alexander McQueen, Paris a dégagé une silhouette minimaliste, composée  de valeurs sûres, comme un trait d'union avant une véritable reprise  attendue sur le marché du luxe pour 2011. (Reuters/Benoît Tessier)

     

    Modèle Hermès imaginé par Jean-Paul Gaultier. Au terme de neuf jours de défilés de prêt-à-porter, marqués par la récente disparition d'Alexander McQueen, Paris a dégagé une silhouette minimaliste, composée de valeurs sûres, comme un trait d'union avant une véritable reprise attendue sur le marché du luxe pour 2011. (Reuters/Benoît Tessier)

    Après New York, Londres et Milan, les 89 griffes présentes dans le calendrier officiel parisien ont pris le parti d'un luxe intemporel, symbolisé par l'omniprésence de la fourrure et du cuir.

    "La meilleure nouvelle de la saison est que chaque créateur a fait ce qu'il sait particulièrement bien faire", résume Glenda Bailey, rédactrice en chef du magazine britannique féminin Harper's Bazaar.

    "C'est une très bonne nouvelle pour la mode mais aussi et surtout pour les consommateurs parce que cela se traduit par des vêtements portables et désirables qui répondent vraiment à un besoin", a-t-elle expliqué à Reuters.

    Sur les podiums, la tendance est au cuir et aux coupes masculines, comme chez Hermès ou chez Celine. La deuxième collection de Phoebe Philo pour la griffe de LVMH a donné le ton de la saison: minimalisme tout en contrôle avec une influence sportswear et la fin annoncée du mini.

    Cette mode tolère peu l'excentricité, sauf si elle est signée Karl Lagerfeld pour Chanel. Seul défilé-spectacle de la semaine, Chanel a fait venir un iceberg sous la verrière du Grand Palais pour présenter ses femmes-yétis, en (fausse) fourrure de la tête aux pieds.

    Si le vert est la couleur de l'espoir, le message est clair. Prudents et au plus près de leurs codes maisons, les créateurs ont décliné le vert à l'envi, comme chez Dior et ses cavalières libertines.

    ENGOUEMENT POUR LES ACCESSOIRES

    Selon une étude du cabinet Bain & Co sur le secteur du luxe, le marché mondial devrait connaître une timide reprise cette année après une baisse moins forte que prévu en 2009. Le véritable redémarrage est attendu pour 2011.

    Mais les ventes de sacs, chaussures et accessoires devraient mieux résister. L'accessoire permet de mettre un pied dans le luxe et surtout de renouveler sa garde-robe à des prix plus accessibles.

    Conscient de cet engouement, le Printemps Haussmann, à Paris, consacre depuis plus d'un an un espace dédié aux accessoires et aux marques de luxe qui réalise un tiers du chiffre d'affaires du magasin, selon Catherine Newey, directrice du marché accessoires et luxe du Printemps.

    "On le sent de plus en plus, les accessoires prennent le pas sur la silhouette. L'accessoire donne maintenant le ton", dit-elle. Les créateurs l'ont bien compris, multipliant les petits objets de désir, comme les sacs glaçons chez Chanel ou les colliers plastrons chez Lanvin.

    "On constate un retour aux valeurs originelles des marques sur le prêt-à-porter et la maroquinerie avec des volumes cohérents", a ajouté Catherine Newey lors d'une interview accordée à Reuters.

    C'est le cas notamment de Marc Jacobs pour Louis Vuitton qui, après les besaces oversized de l'été, revisite la saison prochaine le "Speedy", sac iconique du maroquinier, ou de Dior qui relance à grands coups de communication le sac "Lady Dior".

    LES ADIEUX À ALEXANDER MCQUEEN

    Alors que le monde de la mode se résigne à l'absence de la maison Christian Lacroix, restée sans repreneur après son plan de redressement, il a fallu cette saison faire ses adieux à Alexander McQueen, qui s'est donné la mort il y a tout juste un mois, le 11 février, à son domicile londonien.

    Le groupe PPR, propriétaire de la maison du couturier britannique, a préféré annuler le défilé prévu le 9 mars et organiser une présentation privée, réunissant quelque 70 invités.

    Le rendez-vous, qui a tourné à la veillée funèbre, a réuni des assistants retenant leurs larmes et des journalistes prostrés dans le silence devant une collection dessinée et presqu'entièrement réalisée par Alexander McQueen s'inspirant des grands maîtres de la peinture.

    Si la pérennité de la griffe est assurée, on ignore encore le nom du créateur qui prendra la relève.

    En revanche, personne ne devrait succéder à Lindsay Lohan chez Emmanuel Ungaro, où la starlette avait été nommée en septembre conseillère artistique aux côtés d'Estrella Archs.

    Après une première collection très mal accueillie en octobre, la styliste britannique a assuré après le défilé que la starlette n'avait pas collaboré à la nouvelle collection, plus subtile que la première, en pantalons léopard et robes bijoux colorées.


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