• Le nouveau James Bond aura les honneurs du Royal Film Performance


    Chaque année, un film est projeté en exclusivité mondiale lors du
    traditionnel et très couru gala de la "Royal Film Performance". Un
    événement pour la bonne cause qui est marqué par la présence d'une tête
    couronnée (la reine Elizabeth ou le Prince Charles...). En 2002, Meurs
    un autre jour, avait eu cet honneur. En 2006, ce sera Casino Royale, le
    nouveau James Bond, d'être à la fête. Ca se passera depuis l'Odeon
    Leicester Square Theater de Londres, le 14 novembre prochain ; la
    sortie officielle étant programmée pour le 22 novembre.


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  • Le 11 septembre et les versions non officielles : quelles logiques sont à l'œuvre ?






    Cet article a été rédigé par un reporter
    d'AgoraVox, le journal média
    citoyen qui vous donne la parole.

     

    Pourquoi et comment les
    thèses sur le thème « la vérité est ailleurs » autour des causes du
    11/09 connaissent-elles autant de succès ? Ce sujet troublant mérite
    qu'on s'y arrête et qu'on se pose aussi la question de la crédibilité
    de ces thèses alternatives.



    Carlo Revelli publie à
    nouveau un article
    sur la couverture médiatique du 11 septembre et plus particulièrement sur la
    « publicité » - ou l'absence de publicité - faite aux hypothèses remettant
    en cause la version officielle des attentats. Le succès des articles sur ce
    sujet et les nombreux commentaires qu'ils suscitent révèlent un vrai trouble
    alors que le scénario officiel paraît pourtant solidement établi.

    Tout d'abord il convient
    de noter que toutes les interprétations alternatives convergent vers deux
    affirmations centrales : on ne nous dit pas la vérité d'une part, et le
    gouvernement américain - ou ses alliés, ou la CIA, ou les néo-conservateurs...
    autant de variantes du même thème - sont en fait derrière ces attentats d'autre
    part. Ces thèses qu'on qualifiera de « complotistes » ont connu des
    fortunes diverses, on se souvient par exemple du succès inattendu de l'ouvrage
    « L'effroyable Imposture » de Thierry Meyssan, mais il semble que ces
    derniers temps, elles connaissent un regain d'intérêt.


    Au-delà du contenu même
    de ces théories, sur lequel nous reviendrons, il nous paraît pertinent de nous
    interroger sur leur émergence et sur leur résurgence actuelle.


    Approximations et
    cercle vicieux


    Les attentats du 11
    septembre ont provoqué une forme de sidération (« suspension brusque des
    fonctions vitales », et l'on peut associer à ce mot l'image d'un George
    Bush comme absent lorsqu'il apprend la nouvelle dans une école) sur nous tous. Après
    cet état il faut être capable de digérer l'évènement, de le surmonter et de
    rejoindre le flot vital. Un des besoins essentiels pour reprendre le cours des
    jours est celui de la compréhension : pourquoi ces attentats ?
    Qui ? Comment ? Ces explications sont pour les populations touchées,
    et en un sens le « Nine Eleven » est la première catastrophe
    médiatique mondialisée en temps réel ce qui a fait de nous tous
    des personnes concernées, indispensables pour vivre à nouveau. Devant l'ampleur
    de la catastrophe il faut une causalité, des responsables, et demain des
    coupables. Dès lors les Pouvoirs Publics, et en l'occurrence le gouvernement
    américain, doivent être immédiatement capables de fournir des explications. Ne
    pas donner de grille de lecture à ces évènements revient à rendre impossible le
    retour à la vie des survivants. Alors des explications sont fournies : Ben
    Laden et Al-Qaïda, les terroristes saoudiens, les leçons de pilotage... et
    elles sont vraies. Mais lorsque des zones d'ombre existent, lorsque les autorités
    ne possèdent pas tous les éléments, elles biaisent, tronquent, passent sous
    silence. En effet au moment des faits, il est impossible de dire « nous ne
    savons pas » car cela ajouterait l'impuissance au désastre. A ce moment, le
    doute n'est pas permis car il indiquerait une faiblesse supplémentaire. En ces
    jours troublés tout discours autre que celui des explications serait inaudible
    par les populations : elles veulent des explications car elles en ont
    besoin pour surmonter leur détresse.


    Dans les semaines ou les
    mois qui suivent le 11 septembre, les plaies sont encore béantes et personne ne
    revient sur les omissions ou les à peu près, mais une fois cette période
    passée, certains - journalistes, écrivains, internautes - s'en emparent et les
    mettent à jour. Le cercle vicieux se referme alors : il est impossible
    pour les pouvoir publics de reconnaître qu'ils n'ont pas tout dit ou qu'ils ont
    donné une information partielle, ce qui contribue en retour à alimenter toutes
    les rumeurs ou les théories.


    Un terrain
    favorable


    Dans ce contexte, les
    théories conspirationnistes vont trouver un terrain favorable pour se déployer,
    puis vont connaître une vitalité nouvelle depuis quelques mois ; on pense
    par exemple au film « Loose Change  »
    de Dylan Avery qui a connu un retentissement important. A notre sens plusieurs
    facteurs convergents vont permettre ce nouvel élan : tout d'abord une
    raison totalement exogène au sujet qui est l'explosion du phénomène des blogs
    et de la diffusion vidéo sur le Net. Un nombre croissant d'internautes peuvent
    élaborer et faire connaître leurs opinions ou thèses et les étayer en
    partageant des vidéos, des interviews... et le 11 septembre a évidemment été un
    de leurs thèmes de prédilection. De même on peut penser qu'il est toujours plus
    séduisant, et ce quel que soit le sujet, de travailler sur le mystère, le
    non-dit, le caché, plutôt que d'avaliser une explication rationnelle, mais trop
    lisse. Et d'ailleurs plus les scénarios alternatifs seront "osés"
    plus leur popularité sera grande.


    Le second facteur à
    prendre en compte est lié à la perception des phénomènes hors du commun ;
    lorsque « l'impensable arrive », en l'occurrence que des terroristes
    aient pu ourdir de tels attentats et faire vaciller l'hyper-puissance
    américaine, avec des moyens finalement limités, il faut, après le choc initial,
    faire revenir l'évènement dans l'ordre du possible. Dans ce cas précis cela se
    traduit par l'idée que seules des personnes très puissantes, au cœur même du
    système, auraient pu organiser les attentats.


    Le troisième élément à
    intégrer est le fiasco complet de la guerre en Irak qui contribue à délégitimer
    un peu plus l'administration Bush. Par un paradoxal retour de boomerang, alors
    que le dossier irakien n'a rien à voir avec les attentats du 11/09
    contrairement d'ailleurs à ce que voulait faire croire l'administration Bush,
    l'échec américain à Bagdad libère les paroles et les critiques sur le dossier
    des attentats. L'enlisement dans le bourbier afghan ne contribuant évidemment
    pas à arranger les choses. Le fait que Jean Pierre Chevènement, grand
    pourfendeur des Etats-Unis, puisse préfacer le livre de Jürgen Elsässer n'a dès
    lors rien d'étonnant.


    Enfin la situation
    internationale (tensions au Proche orient, crise iranienne, guerre au Liban)
    alimente l'anti-américanisme et les ennemis de l'Oncle Sam trouvent dans le
    débat autour des causes du 11 septembre un sujet idéal de critique des
    Etats-Unis.


    Mobiles et moyens


    On nous a donc
    menti : tel est le nœud central du récit conspirationniste. A partir de là,
    il est facile de dérouler une histoire, quelle qu'elle soit, puisque par
    définition ceux qui nous mentent ne vont pas venir nous le confirmer. Pierre
    André Taguieff analyse très bien ce mécanisme auto-régulateur des différentes
    formes des théories du complot dans son livre paru en 2005 - La foire aux
    illuminés, Ed. Mille et Une Nuits
    . Mécanisme qui disqualifie par avance
    toute critique de la théorie du complot (celui qui nie la théorie du complot
    devient à son tour suspect).


    Dès lors il est presque
    vain d'essayer d'aborder et de réfuter, point par point, les "zones
    d'ombre" soulevées par les uns et les autres car très rapidement les
    débats deviennent totalement incompréhensibles. A titre d'exemple les questions
    soulevées par certains spécialistes ou présumés tels sur l'effondrement des
    tours du World Trade Center avec force schémas, argumentaires sur la structure
    des matériaux, la résistance des solides, les phénomènes d'implosion et
    d'explosion, afin de prouver que des charges explosives avaient été placées
    dans les tours pour les faire s'effondrer est totalement hermétique pour le
    profane (d'autant plus que des experts patentés soutiendront des conclusions
    totalement inverses à partir de l'analyse des mêmes phénomènes).


    Aussi, seule une
    appréhension globale semble pertinente pour "démonter" les théories
    conspirationnistes sur le sujet. Dans ce contexte revenons sur l'hypothèse clé
    de ces théories : les attentats du 11 septembre ont été facilités voire organisés
    par des hommes de l'ombre appartenant aux services secrets américains et leurs
    alliés et/ou des membres influents de l'administration américaine notamment
    néo-conservateurs et/ou le complexe militaro-industriel américain. L'objectif
    de ces hommes étant d'étendre leur pouvoir et leur influence à des fins
    mercantiles et stratégiques. Là où cette théorie nous semble inopérante - nous
    n'évoquerons même pas les implications morales, politiques et juridiques de
    telles affirmations qui sous-tendent que ces hommes ont sciemment tué des
    milliers d'individus, nous nous plaçons ici délibérément dans l'hypothèse où
    tout serait possible à des fins de démonstration - c'est que les mêmes
    objectifs auraient pu être atteints beaucoup plus facilement et avec un coût (humain,
    financier, géopolitique) et une prise de risque bien moindres.


    Prenons quelques exemples
    des justifications avancées : les attentats du 11 septembre auraient servi
    de justification à la guerre en Irak pour s'approprier des réserves pétrolières
    stratégiques. Or nous avons bien vu que les Américains sont partis en guerre en
    Irak sans mandat clair et en tentant de monter un dossier indépendamment du
    11/09 (voir par exemple l'épisode du soi-disant enrichissement d'uranium
    commandité par Bagdad). Nul besoin de faire autant de victimes avec les
    attentats pour lancer et justifier cette guerre dont le fiasco par ailleurs est
    patent. De même, ces attentats auraient permis à certains de spéculer et de
    s'enrichir : pour cela, là encore, nul besoin de faire des choses aussi
    complexes et "coûteuses". Quelques rumeurs distillées intelligemment
    sur les marchés financiers - et nos hommes de l'ombre qui sont si puissants
    pourraient le faire sans problème - permettent d'atteindre le même résultat
    beaucoup plus simplement. Le 11/09 aurait aussi permis de justifier des mesures
    restrictives en, matière de libertés civiles. Mais là encore dans quel
    but ? Connaître les conversations de Mr Smith ? Prendre le
    risque politique d'une levée de boucliers sur le sujet ? Pas très malin...


    En somme les thèses du
    complot ne résistent pas à l'examen du mobile, ou en tout cas des moyens mis en
    œuvre. Ces moyens paraissent totalement disproportionnés et inutiles quant aux
    résultats visés. Ainsi les adeptes des théories du complot nous dépeignent des
    individus puissants, d'un cynisme effrayant, sans foi ni loi, manipulateurs, en
    somme des monstres, mais qui dans le même temps utiliseraient des méthodes
    totalement inadaptées pour atteindre leurs objectifs. Etrange paradoxe...


    En conclusion on pourra
    faire plusieurs remarques : les autorités américaines ont sans doute
    occulté ou travesti une partie de la vérité sur les attentats du 11 septembre
    sans que fondamentalement cela remette en cause la réalité des auteurs et de
    leurs mobiles. L'implication passée des services américains dans
    l'instrumentalisation et l'utilisation des groupes islamistes au temps de la
    guerre froide et plus particulièrement au cours de la guerre en Afghanistan
    contre les Soviétiques ne les ayant sans doute pas incité malheureusement à
    être toujours très transparents sur ces questions... De même si certains ont
    « profité » des attentats - on peut penser par exemple aux
    attributions d'un grand cynisme de stock-options le 12 septembre au moment où
    les cours se sont effondrés ou à l'utilisation politique qu'en a faite
    l'administration Bush - cela n'en fait pas les organisateurs ni les
    instigateurs. Il y'a là une immense différence. Enfin sur des
    sujets aussi graves, il convient à chacun de réfléchir et de se faire son opinion
    en résistant aux sirènes toujours séduisantes de « la vérité est
    ailleurs ».


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  • Black Eyed Peas : pauvre Fergie !








    Pendant qu´elle bosse, son fiancée prend du bon temps !


    Les projets de mariage et de bébé de
    Fergie des Black Eyed Peas risquent de passer à la trappe ! En effet,
    pendant que la demoiselle bosse, son chéri, Josh Duhamel,l´acteur de la
    série « Las Vegas » prend du bon temps en charmante compagnie. De
    nombreuses photos circulent déjà sur les blogs américains et elles ne laissent aucun doute : Josh profite un max de ses vacances ... Sans elle !


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  • Lindsay Lohan : hospitalisée !









    Elle ne va pas bien en ce moment !



    Mais qu´arrive-t-il ces derniers temps à Lindsay Lohan
    ? Une fois de plus, la jeune actrice hollywoodienne vient d´être
    hospitalisée d´urgence dans une clinique de Los Angeles après avoir
    fait un malaise sur le tournage de « Giorgia Rule », son prochain film.
    Officiellement, elle a été victime de la canicule et souffrait de
    déshydratation, mais, certains évoquent plutôt ses excès de
    nightclubbeuse invétérée ... Aujourd´hui, ses proches s´inquiètent
    sérieusement ... Quel mal étrange Lindsay nous cache-t-elle ?


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  • Britney Spears, obligée de rester alitée ?


    Enceinte de sept mois de son
    deuxième enfant, la jeune femme s'est fait une grosse frayeur quand de
    nombreuses contractions l'ont assaillie.


    De crainte d'accoucher prématurément, Britney Spears
    s'est précipité à l'hôpital. Lors de sa première grossesse, elle avait
    déjà eu un épisode similaire accompagné de pertes de sang en plus à son
    quatrième mois de grossesse et elle avait alors craint la fausse couche.


    Cette fois encore, beaucoup plus de
    peur que de mal, la jeune femme a pu rentrer chez elle avec les
    recommandations des docteurs de manger beaucoup plus sainement,
    d'arrêter les fast-foods et de se ménager. Ils l'ont menacée de devoir
    la garder alitée jusqu'à la fin de la grossesse si elle continuait sur
    ce rythme. Elle a immédiatement engagé les services d'un nutritionniste
    pour la suivre de près.


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