• Une Néo-Zélandaise au chômage vend ses fesses au tatoueur le plus offrant afin de payer ses factures.

    Tina Beznec, 23, a publié une annonce en ligne "Votre tatouage sur mon derrière" en mettant aux enchères le droit pour le tatoueur le plus généreux de graver son séant.

    Après seulement 24 heures, les enchères avaient atteint 10.250 dollars néo-zélandais (6.300 euros).

    Vingt pour cent de l'offre gagnante iront à des oeuvres caritatives "et le reste à moi, je le mérite, j'ai été licenciée deux fois cette année", justifie dans son annonce cette jeune habitante de Wellington.

    Dans une enchère rivale, une "mère célibataire" dit imiter Tina Beznec "pour payer (ses) factures".

    Un homme, S. J. Parker, a expliqué avoir décidé lui aussi de se lancer, pour les mêmes raisons.


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  • Des petits fragments de tuf sont tombés samedi du Colisée sans blesser personne mais relançant les demandes pour une reprise plus rapide des travaux de restauration d'un des monuments antiques les plus visités d'Italie.

    "Même si cela n'est pas grave, cela prouve que les travaux ne peuvent être repoussés", a déclaré le surintendant pour les biens culturels de la capitale, Umberto Broccoli.

    Le maire de droite, Gianni Alemanno, venu lui aussi sur les lieux, a appelé à des décisions rapides: "Maintenant assez! La situation frôle le ridicule. Nous ne pouvons renvoyer la restauration. Les chantiers doivent s'ouvrir maintenant".

    Il n'a pas exclu qu'un visiteur ait jeté le fragment principal qu'il aurait pris ailleurs auparavant, de peur d'être découvert.

    De petits morceaux de tuf s'étaient déjà détachés, sans doute à cause de la présence d'oiseaux, à la fin de l'année dernière d'un Arc du Colisée.

    La directrice du site, Rossella Rea, avait dénoncé "une psychose de l'effondrement comme cela s'est produit par le passé".

    Les travaux de restauration, financés à hauteur de 25 millions d'euros par le fabricant italien de chaussures et sacs Tod's, devraient débuter en mars et s'étaler sur trois ans environ. Au terme desquels les zones visitables du Colisée augmenteront de 25%, selon Roberto Cecchi, commissaire des zones archéologiques de Rome.

    Actuellement, la façade du Colisée, abîmée par les intempéries et noircie par la pollution automobile, offre un triste spectacle. En mai 2010 déjà, des morceaux s'étaient détachés des parois.

    Le nombre de visiteurs au Colisée, plus grand amphithéâtre jamais construit sous l'Empire romain (188 mètres sur 156, pour une hauteur de 48,50 mètres), est passé en une dizaine d'années d'un million de visiteurs annuels à environ six millions.


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  • La zone euro, qui espérait traverser une accalmie, replonge dans la crise après la dégradation en rafale par Standard and Poor's de plus de la moitié de ses membres, dont la France, privée de sa note "triple A" et décrochée de la locomotive allemande.

    Ces nouvelles turbulences sont aggravées par l'impasse des négociations sur la dette de la Grèce, pourtant vitales pour éviter à Athènes la faillite.

    Après le succès des premières émissions obligataires de l'année en Italie et en Espagne, qui semblait éloigner le risque de voir la crise empirer, Standard and Poor's (SP) a mis vendredi une grande partie de ses menaces à exécution.

    L'agence d'évaluation financière, qui envisageait d'abaisser la note de 15 des 17 Etats de l'Union monétaire, en a finalement dégradé neuf. La principale punition concerne la France, deuxième économie européenne, qui perd son AAA, meilleure note possible, et descend d'une marche, comme l'Autriche, à AA+.

    La sanction est d'autant plus nette que les quatre autres "triple A" de la zone euro, Pays-Bas, Luxembourg, Finlande mais surtout Allemagne, conservent cette distinction qui permet de s'endetter à moindre coût.

    Les pays déjà dans le viseur des marchés sont aussi durement frappés: l'Italie et l'Espagne sont dégradées de deux crans, les dettes du Portugal et Chypre sont reléguées par SP au rang d'investissements "spéculatifs". Les notes de Malte, de la Slovaquie et de la Slovénie sont abaissées d'un cran.

    L'agence laisse aussi planer la menace d'une nouvelle dégradation d'ici fin 2013 pour tous les pays de la zone euro, hors l'Allemagne, plus que jamais dans la peau du bon élève, et la Slovaquie.

    Le scénario d'un éclatement de la zone euro n'a pas été retenu par SP dans ses décisions. En revanche, les institutions et les dirigeants européens sont les premiers visés par ses critiques sur les solutions "insuffisantes" échafaudées au fil des multiples sommets "de la dernière chance".

    "L'environnement politique dans la zone euro n'a pas été à la hauteur des défis croissants engendrés par la crise", a résumé Moritz Kraemer, responsable de SP pour la notation des pays européens, lors d'une téléconférence samedi.

    "Tous les gouvernements et toutes les institutions européennes sont mobilisés (...) "je reste étonné du moment choisi par l'agence", a déclaré le commissaire européen aux Services financiers Michel Barnier, regrettant que l'agence ne prenne "pas en compte les progrès actuels".

    Bruxelles a qualifié d'"aberrante" la décision de SP. Le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle, a reproché aux agences de notation d'entretenir ""artificiellement" la tension.

    "L'efficacité, la stabilité et la prévisibilité de la politique et des institutions politiques européennes ne sont pas aussi solides qu'il le faudrait", a jugé SP, qui déplore "une réforme reposant sur le seul pilier de l'austérité budgétaire".

    C'est donc en partie le futur traité de stricte discipline budgétaire voulu par l'Allemagne, avec le soutien de la France, qui est dans son collimateur. Ainsi que l'insuffisance des "ressources" et de la "flexibilité" octroyés aux fonds de secours de la zone euro.

    Mais c'est la France, avec son "niveau relativement élevé de la dette publique" et les "rigidités de son marché du travail", qui fait les frais de ce réquisitoire.

    A moins de cent jours de l'élection présidentielle française, la dégradation tombe mal pour Nicolas Sarkozy, candidat attendu à un second mandat. Le président a longtemps fait une priorité de la sauvegarde du "triple A".

    Son adversaire socialiste François Hollande, favori des sondages, l'a accusé samedi d'avoir "perdu" sa "bataille" pour "la conservation du triple A". La dégradation est "une alerte qui ne doit pas être dramatisée, pas plus qu'elle ne doit être sous-estimée", a rétorqué le Premier ministre François Fillon, répétant que "la France reste un pays sûr" financièrement.

    Pour la chancelière allemande Angela Merkel, il reste "encore un long chemin" à la zone euro avant de regagner "la confiance des investisseurs".

    "Il est cependant aussi visible que nous sommes engagés de façon décidée sur ce chemin d'une monnaie stable, de finances solides et d'une croissance durable", a-t-elle relativisé.

    "Nous sommes tous étroitement liés les uns aux autres", a fait valoir son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble. "Nous sommes ensemble sur la bonne voie", a-t-il estimé.

    Alors que Paris se retrouve fragilisé sur la scène européenne et au sein du couple franco-allemand, François Fillon a assuré qu'il n'y avait "aucune raison pour que nos relations changent" avec l'Allemagne.

    La dégradation risque d'augmenter les taux d'intérêt auxquels emprunte la France, qui sera confrontée jeudi à une importante émission obligataire.

    Elle risque surtout d'avoir de graves répercussions dans la zone euro. Le Fonds européen de stabilité financière (FESF), ce mécanisme de secours pour les Etats en difficulté, pourrait perdre à son tour dans les prochains jours sa note AAA, ce qui compliquerait encore plus sa tâche.

    La décision de S&P a presque occulté un autre séisme, venu de Grèce, épicentre de la crise depuis 2010: les banques, engagées dans un Bras de fer avec les dirigeants européens pour aboutir à l'effacement de la moitié de la dette grecque qu'elles détiennent, ont suspendu vendredi les négociations.

    Elles menacent à demi-mot de revenir sur leur engagement de restructurer volontairement la dette d'Athènes pour éviter une faillite incontrôlée du pays qui, faute d'accord, pourrait intervenir fin mars. Les discussions doivent reprendre mercredi.


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  • La tauromachie n'est pas inscrite au patrimoine culturel immatériel de la France, mais seulement à l'inventaire de ce patrimoine, indique le ministère de la Culture et de la communication dans une lettre du 5 janvier rendue publique vendredi par l'Alliance Anticorrida.

    "Vous avez sollicité la communication du document administratif qui fait état de la décision d'inscription de la corrida à l'inventaire du patrimoine culturel immatériel de la France. Je vous informe que cette décision d'inscription n'existe pas", écrit Pascale Compagnie, sous-directrice des affaires juridiques du ministère, au porte-parole de l'association de défense des animaux.

    "Aucun acte formel d'inscription n'a été pris par le ministre de la Culture à l'occasion de l'enregistrement de la tauromachie comme fait ethnologique immatériel", poursuit-elle. "En tout état de cause, une telle inscription n'a aucun caractère décisoire, la demande est donc sans objet".

    Pour Claire Starozinski, porte-parole de l'Alliance Anticorrida, c'est une victoire. "Nous avons l'assurance que l'Etat français ne présentera jamais la demande du classement de la tauromachie au patrimoine immatériel de l'humanité de l'Unesco", a-t-elle dit.

    "Maintenant, les promoteurs de corrida qui comptaient sur l'inscription au patrimoine pour la protéger ont perdu", s'est-elle félicitée.

    L'inscription de la tauromachie au patrimoine culturel immatériel de la France avait été demandée en avril 2011 par l'Observatoire national des cultures taurines, créé en 2008 à Arles (Bouches-du-Rhône), provoquant de vives réactions des anticorridas.

    Selon le ministère, rien n'a bougé depuis l'année dernière.

    "La tauromachie est bien inscrite à l'inventaire du patrimoine immatériel de la France mais pas au patrimoine", a confirmé le ministère.

    "Dès le début de la polémique, le ministère a expliqué qu'il inventorie au titre du patrimoine immatériel, comme matériel, ce qui existe en France, comme la tarte tatin et la corrida, conformément à l'article 12 de la Convention de l'Unesco", a-t-il rappelé.


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  • Après six ans d'amour, Angelina Jolie sait que pour entretenir la flamme, il faut rester surprenante. Hors de question pour elle de s'enfoncer dans une routine ennuyeuse et de délaisser son compagnon ! Pour les 48 ans de Brad Pitt, le 18 décembre dernier, Angelina Jolie n'a pas lésiné sur l'originalité. L'actrice a joué les bonnes fées en offrant le rêve de sa vie à son bien-aimé.

    D'après le Dailymail, Angelina Jolie a acheté un terrain pourvu d'une chute d'eau, pour que son Brad Pitt adoré, passionné d'architecture (le comédien a fait des études dans ce domaine, ndlr), puisse réaliser la maison sur l'eau qu'il désire tant construire de ses mains. C'est la création de Frank Lloyd Wright, en Pennsylvanie, qui aurait donné envie à l'architecte en herbe de se lancer. Mais contrairement à cette demeure baptisée Fallingwater, qu'Angelina Jolie et Brad Pitt avaient visitée il y a cinq ans, la future maison du couple star pourrait être alimentée grâce à l'énergie hydraulique uniquement.

    "Brad a toujours aimé Fallingwater, et son premier voyage là-bas a été inoubliable", explique un ami de l'acteur au Dailymail. "Angelina a voulu lui offrir quelque chose incroyablement spécial, parce qu'elle sait combien il aime l'architecture, elle a pensé que ce serait parfait. Brad a toujours voulu réaliser sa propre maison. Il veut y mettre tous les aspects de la Nature, la lumière, le verre....", poursuit ce proche du couple. Brad Pitt, qui a annoncé qu'il cesserait sa carrière d'acteur à 50 ans, pourra ainsi trouver une activité passionnante pour s'occuper durant sa retraite.
    (Photo © BestImage)


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