• Le Figaro a pu essayer la nouvelle console de salon de Nintendo et son GamePad, une manette aux allures de tablette tactile.

    Ce premier contact avec la Wii U nous a également permis de dégager quelques observations:

    • Pour les jeux d'action traditionnels comme Ninja Gaiden 3, le GamePad n'est pas l'option la plus pratique. Le joueur régulier retrouvera bien plus facilement ses repères sur le Wii U Pro Controller, dont le design rappelle l'excellente manette de la Xbox 360.

    • Les jeux les plus avancés parmi ceux qui étaient présentés provenaient… d'Ubisoft! ZombiU et Rayman Legends tiraient intelligemment parti des capacités de la console et de son GamePad pour introduire de nouvelles idées de gameplay.

    • La plupart des jeux multijoueurs proposent un gameplay dit «asymétrique»: le joueur qui détient le GamePad a souvent un rôle différent des autres joueurs, équipés de Wiimotes et de manettes classiques. Idéal pour introduire de nouveaux mécanismes et susciter des rivalités, en particulier dans les groupes de trois joueurs ou plus.

    • Le GamePad est clairement conçu pour être tenu à deux mains. Il est beaucoup moins confortable de le contrôler à une main. Les (rares) jeux qui nécessitent un usage répété de l'écran tactile nécessiteront donc sans doute une position assise… ou une bonne endurance physique.

    • Nintendo ne présentait pas que des jeux: une borne était dédiée à Panorama View, une application qui permet de découvrir à 360 degrés des lieux touristiques. GamePad en main, il suffit de tourner sur soi-même pour explorer les décors présentés sous toutes leurs facettes. Une application amusante, qui gagnerait à proposer une expérience plus profonde avec des fonctionnalités additionnelles (mode photo, objets cachés…)

    • La console est un peu plus volumineuse qu'on ne pourrait le penser en regardant les vidéos diffusées par Nintendo. Légèrement plus épais qu'une Wii, le boîtier dépasse les 25cm de profondeur et ne peut être posé verticalement.

    Par Adrien Guilloteau | Journaliste, LeFigaro.fr


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  • Bachir Saleh, ex-président du Fonds libyen des investissements africains, a démenti dimanche avoir reçu une note sur un soutien libyen à la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. 

    Samedi, le site d'information Mediapart a publié un document attribué à un ex-dignitaire libyen affirmant que Tripoli avait accepté de financer pour "50 millions d'euros" la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. Bachir Saleh, ex-président du Fonds libyen des investissements africains, a démenti dimanche "avoir été jamais destinataire d'un tel document", dans une déclaration transmise à l'AFP. 

    Bachir Saleh, ex-directeur de cabinet de Kadhafi, qui se trouve en France, selon son Me Pierre Haïk, "émet au préalable les plus expresses réserves sur l'authenticité de la note publiée par Mediapart et opportunément présentée comme constituant la preuve d'un financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy" à la présidence française.  

    "En toute hypothèse", M. Saleh, "affirme n'avoir jamais été le destinataire d'un tel document et dément catégoriquement avoir participé à une réunion le 6 octobre 2006 au cours de laquelle un accord aurait été conclu en vue de déterminer les modalités d'un soutien financier à la campagne présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy", selon sa déclaration transmise par Me Haïk. "Ces allégations, à visée politicienne, sont dénuées de tout fondement", conclut le communiqué de M. Saleh. 

    Une réunion entre Takieddine, Hortefeux et les dirigeants libyens

    Le site Mediapart a publié samedi un document attribué à Moussa Koussa, ex-chef des services de renseignements extérieurs de la Libye, aujourd'hui en exil, affirmant que Tripoli avait accepté de financer pour "50 millions d'euros" la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. Ce document en arabe, portant la signature de Moussa Koussa, fait état d'un "accord de principe" pour "appuyer la campagne électorale du candidat aux élections présidentielles, M. Nicolas Sarkozy, pour un montant d'une valeur de cinquante millions d'euros".  

    La note ne précise pas si un tel financement a effectivement eu lieu. Selon ce document, traduit par Mediapart, Moussa Koussa précise que cet accord est consécutif à une "réunion tenue le 6/10/2006", à laquelle ont participé côté libyen "le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi, ex-chef du renseignement militaire actuellement détenu en Mauritanie, ndlr) et le président du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh, ndlr), et du côté français M. Brice Hortefeux et M. Ziad Takieddine". 

    Le Canard Enchaîné avait affirmé début avril que Bachir Saleh, recherché par Interpol, a obtenu un titre de séjour en France "au nom du regroupement familial". Le 12 mars, un haut responsable militaire nigérien avait déclaré à Tripoli que son gouvernement avait délivré un passeport à Bachir Saleh avant de l'annuler. 

    Avec


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  • Le 11 février dernier, Whitney Houston disparaissait, laissant derrière elle un vide immense dans le monde du show business américain. Lors de funérailles émouvantes une semaine plus tard, ses proches lui rendait hommage à l'église baptiste de New Hope à Newark, dans laquelle la chanteuse avait débuté comme enfant de choeur. Parmi les invités, de nombreuses célébrités, telles qu'Alicia Keys, Mary J. Blige ou son partenaire dans le film Bodyguard, Kevin Costner. Mais surtout, était présente sa fille Bobbi Kristina, fragilisée depuis le décès de sa maman.

    La jeune femme de 18 ans a fait une frayeur à sa famille le jour de l'enterrement de sa mère. D'après le magazine Daily Beast, Bobbi Kristina se serait éclipsée durant l'événement, sans prévenir quiconque, pour être finalement retrouvée sous l'emprise de la drogue quelques heures plus tard dans une chambre d'hôtel de la ville. Ce n'est pas la première fois que la jeune femme aurait succombé aux sirènes des produits stupéfiants. En mars 2011, celle qui souhaite aussi devenir chanteuse avait été prise en photo en pleine consommation de cocaïne, et elle était entrée en cure de désintoxication peu après.

    "C'est assez horrible. Ils ont essayé de sauver Whitney, et cela n'a pas marché. Maintenant, avec Bobbi, tout le monde a peur que l'histoire ne se répète. Bobbi Kristina est tout ce qui reste de Whitney pour Cissy (la mère de Whitney Houston, ndlr). Elle est tellement fatiguée, mais elle est prête à se battre pour sa petite-fille", explique un proche de la star.

    Selon le porte-parole de la famille la chanteuse disparue, Bobbi Kristina n'aurait pas du tout consommé de drogue cet après-midi là : "Il y a une confusion à propos des agissements de Bobbi Kristina, hier soir, mais elle va bien. Elle a besoin d'être seule. Elle ne se droguait pas, mais, comme vous pouvez l'imaginer, elle traverse une période très difficile".

    (Photo © Abaca|voila.fr)


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  • No Pants Subway Ride 2012 est un concept original qui a eu lieu dans 27 pays et 59 villes.

    Cet événement a permis de rassembler le dimanche 8 janvier 2012 des dizaines de milliers de personnes en sous vêtement dans le métro.

    Le principe est de ne pas porter de pantalon.


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