• Pierre Perret parlait dans une de ses chansons d'une "fleur de banlieue" (Cuisse de mouche) qui avait la taille "plus fine que la retraite des vieux"... La taille de ce mannequin serait plus fine que quoi alors ?

    Il paraît pourtant que Ioana Spangenberg, manequin de profession et roumaine de nationalité mange tout à fait normalement. Avec ses 38 kg pour 1m 67 et une taille de 50 cm, on peut en douter...


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  • Dans une vidéo publiée aujourd'hui par Anonymous Tunisie, le groupe montre qu'il continue ses actions contre le parti au pouvoir d'Ennahda.

    Anonymous Tunisia s'attaque encore une fois à Ennahdha

    Anonymous Tunisia s'attaque encore une fois à Ennahdha

    La vidéo qui crée le buzz sur le web montre plusieurs emails échangés entre plusieurs membres du parti. Voici la video:


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  • Le prototype de petit avion apte à circuler sur route avec les ailes repliées, fabriqué par l'américain Terrafugia, a volé pendant 8 minutes, hier. Le véhicule pourrait être commercialisé en fin d'année.

    La réalité rattrape encore un peu plus la science-fiction. La société américaine Terrafugia a en effet annoncé que sa voiture volante, un prototype de petit avion apte à circuler sur route avec les ailes repliées, a réussi à voler pendant 8 minutes.

    Le véhicule, baptisé Transition, pourrait ainsi être commercialisé d'ici un an, a précisé l'entreprise, dont le nom signifie en latin «s'échapper de terre». Le fondateur du groupe, Carl Dietrich, estime ainsi que le rêve de bon nombre d'automobilistes est désormais à portée de volant! «Avec ce vol, nos équipes ont montré leur capacité à rendre réel ce qui était jusqu'à maintenant considéré comme un rêve impossible à réaliser», a-t-il dit.

    Le véhicule devrait coûter 279.000 dollars (213.000 euros environ). La société précise que les nouveaux matériaux et une conception assistée par ordinateur permettent de diminuer le prix et le poids de ces véhicules afin de les rendre plus accessibles. Plus d'une centaine d'exemplaires auraient ainsi déjà été précommandés.

    Échec des tentatives précédentes

    Par ailleurs, le modèle, homologué aux États-Unis, dispose d'une autonomie de 787 km, et sa largeur de 2,3 m en version voiture permet de le garer dans un garage classique. Une fois les ailes déployées, le modèle fait 8 mètres de large.

     

    Une piste de 762 mètres est nécessaire.
    Une piste de 762 mètres est nécessaire.

    Toutefois, l'engin a besoin d'une piste de 762 mètres de long pour décoller, obstacle à l'envol dans de nombreux cas. Et pour voler en toute légalité, il faut partir d'un aérodrome certifié disposant d'une piste de décollage. Il faudra ainsi logiquement disposer d'une licence de pilote en plus de son permis de conduire pour prendre place à bord de l'appareil.

    Des contraintes qui ont pu freiner plus d'un acquéreur potentiel. De fait, Terrafugia n'est pas le premier constructeur à vouloir vendre ce rêve, mais, pour l'heure, aucun fabricant n'a réussi à céder plus de quelques unités. La société néerlandaise PAL-V a notamment testé un prototype de véhicule tenant de la voiture et de l'hélicoptère. La firme Moller International, basée en Californie, développe de son côté un avion personnel à décollage et atterrissage verticaux.

    www.lefigaro.fr


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  • Dix ans après, celui que tout le monde à la Meinau surnomme "Bayrou" a été condamné pour violences et outrages envers les forces de l'ordre.

    lepoint.fr

    Le jeune garçon giflé par François Bayrou lors de la campagne présidentielle de 2002 à Strasbourg alors qu'il essayait de "faire les poches" du candidat a été condamné, dix ans après, pour des outrage et violences lors d'une altercation avec des policiers, a-t-on appris mardi auprès de son avocat. Le jeune homme aujourd'hui âgé de 21 ans a été condamné lundi à quatre mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Strasbourg qui n'a pas requis de mandat de dépôt, a précisé son conseil, Me Thomas Beaugrand, confirmant une information des Dernières Nouvelles d'Alsace.

    Selon Me Beaugrand, il a reconnu avoir insulté des policiers qui avaient aspergé son père de gaz lacrymogènes lors d'un attroupement en juillet dans une cité de la Meinau, dans le sud de la ville. Il a toutefois nié avoir jeté des objets sur les agents. Celui que tout son quartier surnomme "Bayrou" depuis la claque de 2002 avait déjà six condamnations à son casier judiciaire, dont une pour outrage, ce qui lui valait de comparaître sous le coup de la récidive.

    En 2002, alors âgé de 11 ans, le petit garçon avait reçu sous l'oeil des caméras une gifle de François Bayrou alors qu'un attroupement s'était formé autour du candidat qui tentait de dialoguer avec un groupe de jeunes d'un quartier sensible. "Tu me fais pas les poches", lui avait lancé le candidat à la présidentielle qui portait à cette époque les couleurs de l'UDF. François Bayrou avait estimé quelques jours après que cette gifle était "un geste de père de famille (...) sans gravité".

    "Ce surnom le stigmatise un peu vis-à-vis des forces de l'ordre, cela le rend visible, a expliqué à l'AFP l'avocat. Bien sûr, il tire une petite fierté d'avoir eu son heure de gloire mais cela lui a aussi porté préjudice." Il a notamment passé huit mois et demi en détention provisoire dans une affaire de trafic de drogue, avant d'être innocenté lors du procès en mars 2011, a rappelé Me Beaugrand.

    REGARDEZ la gifle administrée par François Bayrou en 2002



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  • L'OM a bien tenté, mais il n'a rien pu faire pour empêcher le Bayern Munich de se qualifier tranquillement pour les demi-finales de la Ligue des champions. Un but rapide d'Olic (13e), suivi d'un autre (37e) ont assuré la victoire des Allemands sur le même score qu'à l'aller (2-0).

    Olic, OM, Bayern, 2012 - 0

    De miracle, il n'y en a pas eu. De l'espoir, si peu. Car plus qu'un fossé, c'est un gouffre sans fond qui a séparé sur cette confrontation aller-retour Marseille et le Bayern Munich. 0-2 au Vélodrome, 2-0 au retour, sur un doublé d'Olic : l'OM n'a jamais pu y croire. Ce quart de finale de Ligue des Champions, l'OM l'attendait depuis 19 ans et c'est comme s'il n'avait jamais pris la mesure de l'évènement. Même si Marseille s'est avant tout heurté à ses limites actuelles, celles qui l'ont enfoncé dans une série de huit défaites en neuf matches. Marseille est simplement tombé sur beaucoup plus fort que lui. Un Bayern Munich serein qui a évolué quelques tons au-dessus des Phocéens et qui retrouvera sans aucun doute le Real Madrid en demi-finale.

    A l'Allianz Arena, ce mardi, la bande à Rémy a essuyé un tir continu sur son but en première période (17 tirs pour le Bayern, 9 pour l’OM au final). La rencontre a tourné rapidement et, paradoxalement, sur l'une des rares incursions de l'OM : un tir de Morel repoussé par Neuer, un contre express du Bayern, un débordement de Ribéry et un centre décisif pour Olic (13e) au premier poteau.  Sans Gomez ni Robben au coup d'envoi, les Allemands s'en sont remis à l'inspiration et aux accélérations d'un Franck Ribéry retrouvé. A l'origine des deux buts bavarois, le Français a pris sa revanche après une prestation timide au Vélodrome. Et c'est encore lui qui a initié le contre au terme duquel Olic a doublé la mise (37e).

    Rémy sort en boitant

    Un doublé qui a scellé le sort d'une rencontre maîtrisée sans ciller par des Bavarois sûrs de leur fait. Sans un Mandanda, auteur de quatre parades (27e, 28e et 30e) en quatre minutes, la domination aurait pu se transformer en humiliation. Car Marseille n'a pas montré grand chose offensivement. Son quatuor titularisé pour l'occasion (A.Ayew, Valbuena, Brandao, Rémy) n'a inquiété personne. Les belles promesses de la feuille de match se sont envolées aussitôt l'OM confronté à ses limites techniques. Marseille a dû s'en remettre à Benoît Cheyrou (13e), précieux malgré tout ce mardi, et Stéphane Mbia (17e) pour faire frémir l'Allianz Arena. Un frisson passager, rien de terrifiant.

    Quand le Bayern a pris le large à la marque, la rencontre a clairement perdu en intensité. Le Bayern a géré en seconde période, comme au Vélodrome. Marseille n'a rien eu à proposer, comme au Vélodrome, hormis une maladresse de Brandao seul face au but (66e). Il lui a manqué de l'agressivité, de l'audace, de la rigueur et bien plus que cela encore. Le constat est cinglant mais l'OM va devoir en tirer les leçons. La finale de la Coupe de la Ligue, dans dix jours, se présente plus que jamais comme la bouée de sauvetage des Phocéens. Car la fin de saison s'annonce morose et le remplacement d'un Loïc Rémy boitillant ne rassurera pas l'OM. Quand rien ne va...

    Martin MOSNIER / Eurosport


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