• Le président élu François Hollande a choisi la DS5 hybride de Citroën comme véhicule pour son investiture à la présidence de la République le 15 mai, a-t-on appris mardi auprès de la marque aux chevrons.

    "C'est un honneur et beaucoup de fierté d'avoir un président de la République qui retient l'une de nos voitures", a déclaré une porte-parole à l'AFP.

    Le véhicule, de couleur "gris galéna" métallisé, est une berline routière à motorisation hybride électrique et diesel, dotée d'une puissance de 200 chevaux et qui émet 99 grammes de C02 par kilomètre.

    "Il s'agit d'un des fleurons de la marque", indique-t-on chez Citroën.

    Le modèle à hayon est en cours de transformation pour le doter d'un toit ouvrant, contrairement à celui qui est commercialisé qui ne dispose pas de cette option.

    La DS 5 a été lancée fin novembre en France et en janvier dans d'autres pays européens. Elle est commercialisée cette année en Chine et y sera produite à partir de l'année prochaine. A ce jour, 10.000 véhicules ont été commandés, indique Citroën.

    Elle est fabriquée à Sochaux (Doubs), sur les terres électorales de Pierre Moscovici, le directeur de campagne du président élu.

    Ce n'est pas la première fois qu'une Citroën est choisie par un président de la République en France. Les liens privilégiés entre la marque aux chevrons et l'Elysée remontent aux années 50 avec la "Traction Avant" de René Coty et surtout la fameuse DS décapotable chère au général De Gaulle.


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  • Si vous aviez investi l'équivalent de 1000 euros dans Berkshire Hathaway, la holding financière du légendaire investisseur Warren Buffett, vous auriez aujourd'hui 5 millions d'euros.

    Il n'y pas à dire, Warren Buffett a une chose ou deux à nous apprendre sur l'investissement boursier. Voici cinq de ses citations, qui sont autant de leçons.

    1: "Qu'il s'agisse de chaussettes ou d'actions, j'aime acheter la marchandise de qualité lorsque elle est soldée."

    Voyez la Bourse comme un personnage maniaco-dépressif qui alterne chaotiquement entre euphorie et dépression. Dans ses moments d'euphorie, le marché vous propose des prix exorbitants. Dans ses moments de dépression, il vous propose des prix cassés.

    Dans la vie, vous attendez bien la période des soldes pour vous offrir ce superbe manteau que vous avez repéré le mois dernier. Alors pourquoi la Bourse devrait-elle faire exception ? Pourquoi acheter lorsque les prix ont monté ? C'est totalement irrationnel.

    Attendez patiemment que le marché vous propose un bon prix. Et pour reconnaître un bon prix, apprenez à valoriser une entreprise.

    2: "Mieux vaut acheter une entreprise extraordinaire à un prix ordinaire qu'une entreprise ordinaire à un prix extraordinaire."

    Vous n'avez pas un pistolet sur la tempe. Rien ne presse. Soyez patient et investissez dans des entreprises de grande qualité lorsque leurs prix deviennent raisonnables. Vous prendrez moins de risques tout en obtenant de meilleurs résultats. Veillez seulement à ne pas payer trop cher.

    3: "Nous tentons simplement d'être inquiets lorsque les autres sont avides et avides lorsque les autres sont inquiets."

    La situation idéale est d'acheter des titres que les gens vendent pour des raisons qui n'ont rien à voir avec les fondamentaux de l'entreprise. Pour ce faire, vous devez absolument savoir faire deux choses : valoriser une entreprise et maîtriser vos émotions.

    4: "J'essaie d'acheter les actions d'entreprises si merveilleuses qu'un idiot pourrait les gérer. Parce que tôt ou tard, cela arrivera."

    Investissez dans des entreprises simples à comprendre et simples à gérer. Si l'activité d'une entreprise est trop complexe, restez à l'écart. Vous n'arriverez pas à la valoriser. Et si vous n'arrivez pas à la valoriser, vous ne saurez jamais si c'est une bonne opportunité ou non.

    5: "Le risque provient de ne pas savoir ce que l'on fait."

    Tout le monde pense (y compris les soi-disant experts) que le risque provient de la volatilité des cours. C'est normal, c'est ce que l'on apprend dans les écoles de commerce. Mais c'est idiot.

    Selon cette théorie, il serait moins risqué d'investir dans une entreprise en faillite, dont le cours de l'action serait stable, que d'investir dans l'indice CAC 40, naturellement plus volatile.

    Comme l'a dit le mentor de Warren Buffett, Benjamin Graham, le vrai risque d'un placement réside dans la probabilité de perte définitive de son capital. Et cette probabilité est d'autant plus grande que l'on ne sait pas ce que l'on fait.

    Quand il s'agit d'acheter une voiture, nous passons des semaines entières à comparer les offres et les prix. C'est du bon sens. Mais bizarrement, quand il s'agit d'acheter des actions, certains d'entre nous se permettent d'agir sur un coup de tête, sans avoir lu ne serait-ce qu'une ligne d'un bilan financier. Où est passé le bon sens ?

    En clair, s'il faut retenir une seule leçon, c'est qu'il absolument vital de savoir valoriser une entreprise. C'est le seul moyen de savoir si vous payez un juste prix. Sinon, ce n'est pas de l'investissement, c'est du casino.

    finance.yahoo.com


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  • Aux Etats-Unis, le président Obama soigne son image à 6 mois de l'élection présidentielle. A l'occasion du dîner annuel des correspondants à la Maison Blanche, devant un parterre de 2.000 journalistes et de quelques stars, il a fait le show...
    En effet, pour le traditionnel dîner des correspondants à la Maison blanche, Barack Obama a fait le show le samedi 28 avril.
    Devant un public de stars allant de Steven Spielberg à Eva Longoria, le président américain s'est moqué de lui-même et de ses relations avec Hilary Clinton. Il s'en est pris aussi à ses concurrents républicains, Mitt Romney et Newt Gingrich. Puis s'est moqué des services secrets faisant référence à l'affaire de prostitution de ses gardes du corps.



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  • Grosse sensation au Camp Nou mardi soir : le tenant du titre, le FC Barcelone, s’est fait sortir par Chelsea, pourtant réduit à 10 (2-2).

    Les Blues empêchent ainsi les Blaugrana de défendre leur titre et retrouvent une finale de C1, quatre ans après leur dernière.

    FC Barcelone-Chelsea 2-2
    FC Barcelone : Busquets (35e), Iniesta (44e)
    Chelsea : Ramires (45e+1), Torres (90e+1)

    Quelle sensation ! Au terme d’un match au scénario complètement fou, Chelsea est venu créer la sensation en allant arracher un nul au Camp Nou (2-2), qui les qualifie pour la deuxième finale de leur histoire en Ligue des Champions. De finale, le Barça n’en connaîtra pas de nouvelle et ne pourra pas défendre son titre, comme en 2010. La similitude avec ce dernier épisode est d’ailleurs incroyable. Comme l’Inter il y a deux ans, Chelsea est parvenu à tenir le choc à 11 contre…10, pendant 52 minutes. Menés à ce moment-là 1-0, grâce à un but opportuniste de Busquets, servi par le jeune Cuenca, titulaire surprise (1-0, 35e), les Blues, privés rapidement de Cahill, blessé (13e), semblaient partis pour vivre une soirée compliquée. Cette expulsion, stupide, de Terry pour un coup de genou volontaire dans le dos de Sanchez (38e) facilitait en effet considérablement la tâche des Blaugrana qui doublaient la mise par Iniesta, lequel concluait une action d’école avec ses compères Sanchez et Messi (2-0, 44e).

    Mais un véritable coup de théâtre survenait lorsque le lob astucieux et splendide de Ramires, trouvé dans le dos de la défense par Lampard, refroidissait les 96 000 supporters du Barça juste avant la pause (2-1, 45e+1). Un but qui changeait tout. D’autant qu’après la pause, Messi manquait un penalty, sa tentative trouvant la barre (49e). De quoi donner encore plus de regrets au Barça. Déjà pas en réussite jusque-là (4e, 20e), et trouvant ensuite le poteau sur une frappe à mi-distance (83e), l’Argentin était encore dans un mauvais soir et entraînait toute son équipe derrière lui, qui rencontrait toutes les peines du monde à trouver les espaces dans la surface adverse. Cuenca (62e) et Mascherano (90e) tentaient bien leurs chances mais trouvaient sur leur route un Cech impérial. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Torres, fraîchement entré, se permettait d’achever ses compatriotes et calmer le Camp Nou en allant tromper Valdès sur un contre rapide (2-2, 90e+1). De quoi faire exploser le banc londonien et un Di Matteo décidément porte-bonheur. Chelsea cherchera à décrocher son premier titre en Ligue des Champions, à Munich, le 19 mai prochain...

    Messi n'aime pas Chelsea

    En 8 matches face aux Blues, Lionel Messi n'est toujours pas parvenu à marquer un but.

    Les joueurs du match
    Comme au match aller, il a été quasiment infranchissable. Petr Cech semble retrouver la grande forme et s’est imposé en maître dans sa surface, malgré deux buts encaissés sur lesquels il ne peut rien. A l’autre extrémité, ou plutôt pas très loin de lui, Didier Drogba a encore livré un match exemplaire dans son repli et le combat qui l’a opposé à Puyol notamment. L’Ivoirien a été remplacé par un Fernando Torres décisif, lui qui était si malheureux ces derniers temps…

    On n’a pas aimé
    Le Barça a perdu de sa superbe. Triste visage affiché par des Blaugrana qu’on annonce en fin de cycle. Emoussés, en manque d’inspiration, de vitesse dans les enchaînements, les hommes de Guardiola n’ont jamais trouvé la clé pour déstabiliser davantage ce bloc londonien. A commencer par Lionel Messi, bien malheureux dans cette double-confrontation…

    sport24.com


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