• Actuellement à Zurich en Suisse, un bâtiment de trois étages a été délocalisé pour permettre l'agrandissement d'une gare. C'est le plus grand déplacement de bâtiment jamais effectué en Europe ! 

    Quelque 500 personnes se sont réunis autour de la gare d'Oerlikon à Zurich pour assister à un spectacle assez rare ! Un vieux bâtiment de trois étages a été placé sur des rails pour être conduit 60 mètres plus loin afin d'agrandir la gare sans avoir à détruire l'immeuble. Du jamais vu en Europe ! Evidemment une telle opération prend du temps, de l'ordre de 4 mètres par heure, on ne bouge pas si facilement 6200 tonnes....

    Pour réaliser cela, il a fallu dans un premier temps rendre apparentes les fondations, ensuite remplacer une partie des murs porteurs par des poutres métalliques verticales, puis recouvrir celles-ci d'une paroi en béton sans toucher le sol. Une chape de béton a aussi été coulée sur toute la distance du déplacement, tout en posant dessus des rails. Enfin, des roues ont été ajoutées sur la longueur, actionnées par des presses hydrauliques afin de permettre la mobilité.

    Des mois de préparations se sont avérés payants, l'opération ayant été un succès. Rolf Iten, le responsable technique de l'opération confiait ses doutes avant le début du déménagement: "Ce qui nous fait souci, c'est le sol. Sur le nouvel emplacement nous ne savons pas s'il resistera au poids du bâtiment que nous amenons. On va surveiller ça de près mais c'est une source d'inquiétude". Comme le confirme Peter Lehmann, le directeur de Swiss Prime Site, tout le quartier s'est mobilisé pour sauvegarder ce bâtiment: "Il y a eu des gens du quartier qui ont forcé pour faire bouger l'édifice afin qu'on ne l'oublie pas. De plus, la ville avait vraiment envie de trouver une solution, chose faite après de longues discussions", rapporte RTS.


    Suisse: un bâtiment de trois étages déplacé 60 mètres plus loin par Gentside


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  • Avec près de 380 millions de dollars en 2011, Tim Cook devance largement Larry Ellison, le PDG d'Oracle, et Leslie Moonves, le patron de la chaîne de télévision CBS.

    Le directeur général d'Apple Tim Cook figure en tête de la liste des patrons américains les mieux payés en 2011, grâce à des options d'achat d'actions lui permettant de devancer de plus de 300 millions de dollars son plus proche rival, selon une enquête du Wall Street Journal.

    M. Cook, qui a assumé la direction générale d'Apple en août, deux mois avant la mort du fondateur et précédent patron Steve Jobs, affiche une rémunération de quelque 377,98 millions de dollars, selon un enquête publiée lundi.

    Sur ce total, M. Cook a gagné quelque 900.000 dollars en salaire et autant en prime de performance. L'essentiel de sa rémunération vient du million d'actions assujetties à des restrictions qui lui ont été accordées au moment de sa nomination.

    Le fondateur et directeur général d'Oracle Larry Ellison apparaît en deuxième place de ce classement, avec 76,01 millions de dollars.

    Ces chiffres, tirés des rapports annuels aux actionnaires, ont été compilés par Hay Group pour le compte du quotidien et portent sur les 300 plus grandes entreprises cotées aux Etats-Unis selon leur chiffre d'affaires.

    Le patron de la chaîne de télévision CBS Leslie Moonves est en troisième position avec 69,32 millions de dollars, suivi du directeur général de la chaîne d'habillement en difficulté JCPenney, Ronald Johnson (53,27 millions de dollars), recruté chez Apple en novembre.

    Le PDG de Motorola Mobility Sanjay Jha est cinquième avec 46,59 millions de dollars.

    Le top 10 comprend encore les patrons de Citigroup, Viacom, Motorola Solutions (équipements télécoms professionnels), Walt Disney et Ford, dont le patron Alan Mulally a gagné 28,89 millions de dollars.

    Le Wall Street Journal a noté que la rémunération de M. Cook l'an dernier était la plus grosse qu'il ait jamais enregistrée depuis 2006. Mais le quotidien a aussi noté qu'Apple avait expliqué aux actionnaires que cet octroi d'actions était valable pour les 10 ans à venir, et non seulement pour l'année 2011. La moitié du million d'actions accordées devra être gardée jusqu'à 2016 au moins, le restant jusqu'à 2021 au moins.


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  • L'Australienne a triplé sa fortune en un an grâce à l'envolée des prix des matières premières et à deux contrats conclus dans le charbon et le minerai de fer.

    La hausse des matières premières n'est pas un problème pour tout le monde. C'est même une bénédiction pour Gina Rinehart. Cette multimilliardaire australienne, héritière des mines Hancock, est devenue en l'espace d'un an la femme la plus riche du monde.

    La riche héritière vient de doubler l'Américaine Christy Walton, la veuve d'un des fils du fondateur des célèbres supermarchés Wal-Mart.

    Ce sont les résultats de l'étude annuelle de la Business Review Weekly (BRW) publiée aujourd'hui mercredi 23 mai.

    Selon la liste des 200 personnes les plus riches établie par BRW, Gina Rinehart, 58 ans, dispose d'une fortune personnelle de 29,17 milliards de dollars australiens (22,48 milliards d'euros).

    Pourtant, en mars, le magazine Forbes établissait la fortune Gina Rinehart à 18 milliards de dollars, loin derrière sa concurrente Christy Walton, à 25,3 milliards de dollars.

     Le responsable de la liste de la BRW, Andrew Heathcote, a expliqué que l'héritière des mines Hancock avait quasiment triplé sa fortune en un an grâce à l'envolée des prix des matières premières et à deux contrats conclus dans le charbon et le minerai de fer.

    "La hausse de 18,87 milliards [de dollars australiens] de sa fortune est sans précédent. Elle résulte d'investissements étrangers dans de nouveaux projets, d'une hausse de la production (minière) et d'une reprise des prix du minerai de fer ces six derniers mois", a-t-il expliqué. Si le boom des matières premières se poursuit, "une fortune de 100 milliards de dollars n'est pas impossible", a-t-il ajouté.

    Les positions de Gina Rinehart font polémique en Australie : la multimilliardaire mène une campagne de lobbying vigoureuse contre l'introduction de nouvelles taxes minières.


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  • Un médecin pakistanais accusé dans son pays d'avoir aidé la CIA à débusquer Oussama Ben Laden, tué il y a plus d'un an par un commando américain dans le nord du Pakistan, a été condamné mercredi à 33 ans de prison par un tribunal tribal, a indiqué l'administration.

    Shakeel Afridi, un chirurgien accusé d'avoir mené une fausse campagne de vaccination à Abbottabad, la ville où se terrait le chef d'Al-Qaïda avec ses quatre femmes et ses enfants, pour prélever leur ADN, a été condamné en première instance par un tribunal tribal du district semi-autonome de Khyber, dans le nord-ouest du Pakistan, d'où il est originaire.

    Les tribunaux tribaux sont compétents dans les zones tribales semi-autonomes du Pakistan mais tout appel est ensuite jugé par les juridictions de droit commun, avec l'aide d'un avocat. L'accusé n'était pas présent à son procès et les tribunaux tribaux interdisent qu'il prenne un avocat pour se défendre.

    Certains juristes estiment cependant que pour de telles accusations, il ne peut être jugé par les tribunaux tribaux. Qui plus est, ils assurent que les faits reprochés ayant été commis dans un autre district que celui de Khyber, non tribal celui-là, la juridiction qui l'a jugé mercredi n'est pas compétente.

    "Il a été condamné à 33 ans de prison" notamment pour trahison et complot contre l'Etat, et conduit à la prison centrale de Peshawar, la grande ville du nord-ouest, a déclaré à l'AFP Mohammad Siddiq, porte-parole de l'administration du district de Khyber.

    Oussama ben Laden a été tué le 2 mai 2011 par un commando de Navy Seals, des soldats d'élite américains, héliportés de nuit à Abbottabad, officiellement au nez et à la barbe des autorités pakistanaises selon Washington et Islamabad, qui avait protesté.

    Cette "violation de la souveraineté du Pakistan" selon Islamabad, est l'une des principales pierres d'achoppement au réchauffement des relations entre les Etats-Unis et le Pakistan, pourtant leur allié-clé dans leur "guerre contre le terrorisme" depuis fin 2001.

    Mais Washington soupçonne certains membres de l'armée ou du renseignement pakistanais d'avoir eu connaissance de la présence de Ben Laden à Abbottabad, une ville-garnison à deux heures de route d'Islamabad, voire de l'avoir aidé à s'y terrer au moins cinq années, ce que les autorités pakistanaises démentent avec fermeté.

    Le Dr Shakeel Afridi, un médecin du gouvernement, avait été licencié il y a deux mois. En plus de la peine de prison, le tribunal de Khyber lui a infligé une amende de 320.000 roupies (environ 2.700 euros). Son avocat n'a pas pu être contacté mais il est fort probable qu'il fasse appel.

    En tout état de cause, le sort du Dr Afridi demeure un mystère: il a été arrêté par les tout puissants services de renseignement pakistanais peu après le raid fatal à Ben Laden et personne n'a de nouvelle de lui depuis.

    En janvier dernier, le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta avait confirmé que le Dr Afridi travaillait pour le renseignement américain pour tenter de prélever de l'ADN des nombreux enfants présents dans une maison d'Abbottabad où la CIA soupçonnait Ben Laden de se cacher. Washington avait alors exprimé son inquiétude sur le sort du médecin et réclamé sa remise en liberté.

    "Il n'a commis aucun acte de trahison à l'égard du Pakistan", avait estimé M. Panetta sur la chaîne de télévision américaine CBS.

    "Je considère comme une réelle erreur de leur part d'agir ainsi à son égard alors qu'il aidait à lutter contre le terrorisme", avait ajouté le chef du Pentagone.


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  • Benjamin Castaldi commence à se livrer dans la presse à 3 jours du coup d'envoi de Secret Story 6 sur TF1. Il fait le point sur les rumeurs et nous donne les secrets de sa forme olympique!

    plurielles.fr

    La tension monte peu à peu à l'approche du lancement vendredi soir de la 6ème saison événement de Secret Story 6 sur TF1. A cette occasion, Benjamin Castaldi a bien voulu répondre aux questions de l'édition suisse de 20 minutes, et livre au passage quelques détails croustillants... sans trop en dire bien évidemment.

    Dès le départ, le journaliste demande à l'animateur-producteur si la rumeur d'un candidat suisse est vraie, et Benjamin Castaldi confirme l'information sans se faire prier, dans un éclat de rire. Par contre lorsqu'on lui demande si un des candidats sera un rescapé du naufrage du Costa Concordia comme le veulent les dernières rumeurs, Benji botte en touche et avoue ne rien savoir sur le casting de l'émission, tout en écartant d'un revers la possibilité d'un tel secret. Mais comme le dit si bien la Voix : "Méfiez-vous des apparences !".

    Si Benjamin Castaldi affirme ne pas être sous pression pour le moment, alors que Secret Story 6 démarre dans 3 jours à peine, le présentateur du show déclare avoir retrouvé une "condition physique impeccable", grâce à un entraînement intensif. Pour être au top de sa forme, l'animateur s'est d'ailleurs délesté de 14 kilos, ce qui lui permettra d'assurer les quotidiennes et les hebdomadaires en direct tout l'été. Le calme avant la tempête !

    Pour découvrir les candidats de Secret Story 6 et la liste des secrets, rendez-vous vendredi à 20h50 sur TF1. Le suspense est à son comble...


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