• La récente maman de jumeaux Angelina Jolie et son ex-mari, Billy Bob Thornton devraient tourner ensemble dans une comédie.

    C'est l'acteur américain qui le confirme dans un entretien à Maxim US en déclarant que leur relation est redevenue sincère et amicale depuis leur divorce, et qu'ils envisageaient même de se retrouver sur le grand écran dès qu'ils auront trouvé un scénario adéquat.

    A quand un film entre Jennifer Aniston et Brad Pitt ?


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  • PARIS (Reuters) - Le secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le parlement, Roger Karoutchi, dément tout marchandage pour récompenser Jack Lang, seul parlementaire socialiste à avoir voté la réforme des institutions.

    "Vous pensez sincèrement que c'est le genre de type à qui vous dites 'si... alors tu auras...'? Il n'y a plus que Julien Dray ou François Hollande pour penser que l'on travaille comme ça peut-être parce que eux font ça", a-t-il déclaré sur Canal+, saluant le courage de l'ancien ministre de la Culture.

    Ancien membre du comité Balladur sur les institutions, Jack Lang "a été l'un de ceux qui a fait des propositions qui ont été reprises dans la réforme. Comment voulez-vous expliquer le lundi je les veux et ne pas les voter le mardi ? Cela n'a pas de sens", a-t-il ajouté.

    Roger Karoutchi a également récusé les accusations de chantage sur les élus de la majorité pour qu'ils votent "oui" lors de la réunion du Congrès lundi.

    "Les parlementaires sont des gens majeurs. N'imaginez pas que ce sont des gosses à qui on dit: 'Tu veux une petite sucette, un sucre d'orge'. Il y a longtemps que cela ne marche plus ou alors avec les naïfs et traiter les parlementaires de naïfs serait excessif", a-t-il dit.

    Ce sont les dirigeants socialistes qui ont fait pression sur les radicaux de gauche pour qu'ils ne votent pas la réforme en mettant dans la balance les investitures pour les sénatoriales de septembre, a-t-il en revanche affirmé.

    Laure Bretton, édité par Gwénaëlle Barzic


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  • LYON - Une femme de 51 ans, installée sur le siège passager avant d'une voiture immatriculée dans le Jura, a été gravement blessée lundi soir vers 21h30 sur l'autoroute A46 sud à hauteur de Mions (Rhône) par une pierre jetée d'un pont, a-t-on appris auprès de la CRS autoroutière de Rhône-Alpes Auvergne.

    Le pavé, d'une quinzaine de centimètres de long, aurait traversé le pare-brise de la voiture qui circulait en direction de Paris avant de s'écraser sur le thorax de l'épouse du conducteur.

    La CRS autoroutière Rhône-Alpes Auvergne recherchait mardi matin deux adolescents aperçus par des témoins sur un pont qui surplombe l'autoroute. Ils auraient filmé la scène avec un téléphone portable avant de prendre la fuite.

    La victime a été transportée consciente à l'hôpital Edouard-Herriot. Ses jours ne sont pas en danger. AP


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  • VIENNE (AFP) - L'entraîneur de l'Austria Carinthie (1re div. autrichienne) Frenkie Schinkels a écopé de 300 euros d'amende pour avoir brandi sur le bord du terrain un carton rouge à l'adresse de l'arbitre du match contre le Rapid Vienne samedi, a indiqué la Fédération autrichienne de football lundi.

    Schinkels estimait que le directeur de jeu avait commis de nombreuses "erreurs d'arbitrage" désavantageant son équipe.

    A la suite de ce geste d'humeur, l'arbitre lui avait rendu la pareille et avait envoyé le technicien suivre la fin de la rencontre depuis les tribunes.

    Dans un entretien au quotidien Österreich de lundi, Frenkie Schinkels a expliqué qu'il avait toujours un carton rouge dans une poche, sur les conseils de son père, car "je me fais ainsi moins de tort que quand j'ouvre la bouche".


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  • BAGDAD (AFP) - Le candidat démocrate à la présidentielle américaine Barack Obama conclut mardi une visite en Irak, dont le Premier ministre Nouri al-Maliki a souhaité que les troupes américaines aient quitté son pays en 2010.

    "Le Premier ministre a dit que le moment était venu de commencer à réorganiser nos troupes en Irak -- y compris leur nombre et leur missions", a rapporté le sénateur dans un communiqué publié par son bureau à Washington.

    "Il a fait part de son espoir de voir les troupes américaines retirées d'Irak en 2010", poursuit le communiqué signé en commun avec deux autres élus qui l'accompagnent, Chuck Hagel et Jack Reed.

    M. Obama, en tête dans les sondages, prône un retrait en 16 mois à partir de sa prise de fonction en janvier, s'il est élu en novembre. "Cela sera l'été 2010 -- deux ans à partir de maintenant", a-t-il annoncé la semaine dernière.

    Le sénateur de l'Illinois était arrivé lundi matin à Bassorah, la grande ville pétrolière du sud de l'Irak, en provenance du Koweït.

    Après avoir rencontré des militaires américains mardi, il doit quitter l'Irak pour la Jordanie, où il va s'entretenir avec le roi Abdallah II.

    Une première étape l'avait conduit samedi en Afghanistan, pays qu'il considère comme "le front de la guerre contre le terrorisme" et où il préconise l'envoi immédiat de renforts.

    Lundi, M. Obama a rencontré à Bagdad le président irakien Jalal Talabani, après avoir été reçu par M. Maliki.

    "Le Premier ministre al-Maliki nous a dit que les Irakiens apprécient les sacrifices des soldats américains, mais qu'ils ne veulent pas d'une présence à durée indéterminée des troupes américaines", écrivent encore les trois sénateurs.

    "Les Irakiens veulent (...) une date claire pour le redéploiement des troupes américaines", affirme le texte.

    La question du départ des quelque 145.000 soldats américains déployés en Irak fait l'objet d'une négociation ardue entre Bagdad et Washington.

    La Maison Blanche a indiqué lundi qu'un accord à ce sujet ne serait pas signé comme prévu, au 31 juillet, mais qu'il n'était pas question de déterminer une date-butoir pour le retrait des troupes américaines. Elle a ajouté qu'une "date souhaitable" pouvait être envisagée.

    Il s'agit de la deuxième visite en Irak de M. Obama, 46 ans, après un rapide passage en janvier 2006.

    Elle intervient alors que la violence dans le pays est à son plus bas niveau depuis le début, en mars 2003, de l'intervention conduite par les Etats-Unis, à laquelle le sénateur américain s'était opposé.

    Le bureau de M. Maliki a souligné lundi que "l'Irak a su surmonter des défis sécuritaires (...). Il a remporté la victoire contre Al-Qaïda et les milices, et va maintenant réussir dans le domaine économique".

    Dans leur communiqué, les sénateurs citent une série de facteurs qui ont permis d'améliorer la stabilité en Irak, dont la stratégie de "sursaut", avec l'envoi à partir de février 2007 de renforts américains, que M. Obama avait dénigrée.

    "Grâce aux efforts extraordinaires de nos forces armées, à des forces de sécurité irakiennes plus efficaces, à la mobilisation des milices sunnites contre al-Qaïda, et au cessez-le-feu avec les milices chiites, la violence a été réduite en Irak de façon significative", souligne le communiqué.

    M. Obama, dont la crédibilité dans le domaine international est attaquée par son adversaire républicain John McCain, a rencontré à Bagdad le plus haut gradé américain, le général David Petraeus, crédité pour ce "sursaut".

    John McCain a espéré lundi que son rival, à l'issue de sa visite, aurait "l'occasion d'admettre qu'il s'est gravement mépris sur la situation et qu'il avait tort quand il a dit que la stratégie des renforts ne fonctionnerait pas", a-t-il déclaré sur la chaîne NBC.

    Après la Jordanie, M. Obama est attendu en Israël mardi, puis en Allemagne, en France et en Grande-Bretagne.


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